Rue du Louvre

d’œuvres dans les musées de province. Il s’agit de lutter contre l’inégalité culturelle et de rééquilibrer l’offre culturelle entre Paris et les régions grâce à la décentralisation des musées. Avec son ouverture en 2010, deux années avant l’ouverture du Louvre II à Lens, l’antenne Beaubourg à Metz est la première expérience française de décentralisation organisée par un établissement national. L’architecture du musée a été réalisée par les architectes Shigeru Ban et Jean de Gastines qui ont été retenus

Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple C’est un tableau datant de 1830, une huile sur toile, dont les dimensions sont 260x325 cm. Il est actuellement exposé au Musée du Louvre à Paris. Ce tableau représente la Révolution des Trois Glorieuses (27, 28, 29 juillet 1830), le but de cette révolution était de renverser le roi Charles X et de passer d’une monarchie à une république. Ce but n’a pas été atteint mais ils ont pu obtenir un nouveau roi. Delacroix démontre son appartenance au courant

premier temps nous nous intéresserons a l’artiste Eugène Delacroix, précurseur du mouvement et ce à travers son œuvre nommée «  Femme d’Alger dans leur appartement » réalisé en 1834 (actuellement exposé au musée du Louvre). Puis dans une seconde partie nous étudierons l’œuvre «  Une rue à El- Laghouat » réalisé en 1859 par l’artiste peintre Eugène Samuel Auguste Fromentin, qui connut à l’époque un fort succès. Ferdinand Victor Eugène Delacroix est né le 26 Avril 1798 à Charenton Saint Maurice

Situé au 4, rue de la Colombe dans l'île de la Cité à Paris, anciennement Taverne St Nicolas, puis Bistrot Desmolières, La Colombe, plus vieux bistrot de Paris devient le célèbre cabaret « rive gauche » à Paris qui de 1954 à 1964, sous la direction de Michel Valette fit débuter 200 chanteurs à texte parmi lesquels Guy Béart, Anne Sylvestre, Pierre Perret, Jean Ferrat, Maurice Fanon, Francesca Solleville, Hélène Martin, Jean Vasca, Henri Gougaud, Georges Moustaki, Marc Ogeret, Philippe Avron et Claude

Devenant ministre en 1624, Richelieu souhaita s’installer à proximité du palais du Louvre. Il se fit construire par Lemercier un hôtel, l’hôtel de Richelieu, qu’il habita de 1629 à 1633. Richelieu acquiert en 1633 les terrains voisins provenant de la démolition de l’enceinte Charles V et fait construire de 1634 à 1639 un palais et un vaste jardin, limité par les rues de Richelieu, des Petits-Champs, des Bons-Enfants et Saint-Honoré : c’est le Palais-Cardinal. En 1636, Richelieu fait par anticipation

enfer. Une longue description qui retarde l'histoire. Henri De Marsay, un jeune homme élégant, fils de Lord Dudley fait un jour la rencontre d'une jeune femme, aux Tuilleries qui était autre fois un quartier de Paris, situé entre le palais du Louvre, la rue de Rivoli, la place de la Concorde et la Seine. Fasciné, il en tombe amoureux. « J’aurai décidément cette fille comme maîtresse » se dit-il. Cette jeune femme n'est pas comme toutes les autres, celle-ci à des yeux d'or d'où son surnom, La Fille

vers fin 1839. Suit des études de droit et fréquente l'atelier du peintre Charles de Steuben . (Charles de Steuben : était un peintre français fils d'un officier de l'armée russe, peintre officiel de l'Empire)(photo) Se rends ensuite au musée du Louvre pour s'inspirer des plus grands.Il admire beaucoup les peintres espagnols comme Vélasquez, Zurbaran et Ribera(photo+dessin x 3) Mais ses artistes préférés sont Géricaud et Delacroix. Géricaud(photo) --> sculpteur et peintre français , oeuvre la

gens »[4]. Il fait donc sienne la devise Castigat ridendo mores (en riant, elle châtie les mœurs) qui apparaît sur les tréteaux italiens dès les années 1620 en France, au sujet de la comédie. Fils de Jean Poquelin, riche marchand-tapissier établi rue Saint-Honoré à Paris, et nommé tapissier du roi, Jean Poquelin est baptisé le 15 janvier 1622 à la paroisse Saint-Eustache, vraisemblablement né le même jour ou la veille[5]. Deux ans plus tard, l'enfant, à la suite de la naissance d'un frère cadet

protection de la Curie et abritant les trésors, le dépôt sacré et les archives de l’Eglise. Il décide donc d’entreprendre la construction d’un chantier monumental. Le maître d’œuvre du Palais Neuf est un entrepreneur de maçonnerie francilien, Jean de Louvres. Il est nommé maître des Œuvres du Pape et Sergent d’armes, restant au service de la papauté jusqu’à sa mort en 1357. Cependant Il n’est pas architecte et cela va poser problème quant à l’équilibre architectonique, au poids des voutes et à leur poussées

puis en bas de celle-ci, l’image du corps de l’amiral qui est émasculé. Les restes sont ensuite jetés à la Seine comme si il s’agissait de détritus.  Ce qu’on retrouvera sera pendu au gibet de Montfaucon (en haut à l’extrême droite du tableau).  Le Louvres (au fond au centre) conserve son aspect médiéval. La porte de Saint-Honoré est fermé par une porte de bois (porte Lucy) avec des soldats : il n 'y a aucun point de fuite, on ne ressort du tableau que mort.  François Dubois utilise le système du