Royaume de Bohême

LA SECONDE GUERRE Il faut distinguer les causes profondes et lointaines de la cause immédiate. A- Les héritages de la Première Guerre mondiale À la conférence de la Paix réunie à Paris, de janvier à mai 1919, le "conseil des quatre" (France, Royaume-Uni, Italie et États-Unis) avait imposé la volonté des vainqueurs aux vaincus, respectant peu les principes annoncés dans les Quatorze Points du président Thomas Wilson. Ainsi, les rancoeurs furent nombreuses et alimentèrent les problèmes des relations

la conférence de Munich (septembre 1938) espérant contenter Hitler et éviter ainsi la guerre. La paix est momentanément sauvée. • En mars 1939, Hitler annexe la Bohême-Moravie (mars 1939). L’absence de réactions des démocraties le pousse à aller plus loin. Le 1er septembre 1939, la Wehrmacht envahit la Pologne. Face à cette nouvelle provocation, le Royaume-Uni et la France déclarent la guerre à l’Allemagne le 3 septembre. Vingt ans après la fin de la Première Guerre mondiale, un conflit d’une horreur sans

Cette reconstruction du pouvoir royal au Moyen Âge fut à la fois idéologique et institutionnelle. Nous allons voir comment dans ce chapitre en étudiant successivement : 1. La fonction royale 2. Le gouvernement capétien 3. L’administration du royaume. Section 1 La fonction royale (ministerium regis) La définition de la fonction royale (ministerium regis¸ministère/métier royal) est à rechercher dans les écrits de certains canonistes carolingiens, notamment l’abbé Abbon de Fleury († 1004)

des flagellants. A la fin du XIVe s., on découvrit à Fribourg des vaudois; on fit en 1430 un procès pour les éradiquer, car on craignait qu'ils ne s'associent aux hussites dont le mouvement s'était étendu rapidement, dans les années 1420, hors de Bohême. A Fribourg, la persécution des vaudois dans les années 1430 fut presque immédiatement suivie de celle des sorciers et sorcières; c'est en Suisse romande et dans le Dauphiné qu'eurent lieu les premiers procès médiévaux pour sorcellerie. Les cathares :

1939-1939 = suite d’évènements 1939 : 2 camps se dessinent = démocrates et dictateurs 2e guerre mondiale en perspective (choc des idéologies) Forces qui s’affrontent ont des idéologies antagonistes : Les puissances de l’Axe : Slovaquie, Finlande, Bohème-Moravie, Hongrie, Roumanie, Italie, Allemagne + collaboration de la Norvège… Idéologies : Nazisme. Japon = nationalisme, expansionnisme, militarisme ; Italie = fascisme Les puissances alliées : France, Etats-Unis, Angleterre, Belgique, Pays-Bas

noblesse, il leur octroi des privilèges, et apparaît ainsi une nouvelle noblesse, non plus celle d'épée mais celle de robe.. Pour cela il fallait alors acheter la charge administrative. Le Roi a cependant certaines limites : les lois fondamentales du royaume. Il ne peut pas aliéner le territoire, il doit le respect des individus, il est protecteur de l'église (gallicanisme), il intervient dans tous les domaines : politique, culturel, religieux, et économique. Il est au centre de toute la vie des artistes

achevée par l’armistice du 11 novembre 1918 et la victoire des Alliés sur l’Allemagne, l’Empire Austro-hongrois et l’Empire Turc-Ottoman. La seconde guerre mondiale a débuté le 3 septembre 1939 par la déclaration de guerre de la France et du Royaume-Uni à l’Allemagne d’Hitler après l’agression sur la Pologne ( couloir de Dantzig). Elle s’est achevée en Europe par la capitulation de l’Allemagne nazie et de l’Italie fasciste le 8 ami 1945 mais s’est vraiment achevée le 2 septembre 1945 en Asie

guerre coûte cher et les dépenses de la cour sont importantes. La France est en déficit. Les caisses du royaume sont vides. La situation religieuse de la France est difficile car Louis XIV qui détenait ses pouvoirs de Dieu défend le catholicisme et il est partisan du gallicanisme (doctrine qui voulait l’indépendance de l’église catholique à l’égard du Pape). Il veut l’unité religieuse du royaume. Ainsi il décide de supprimer le jansénisme et le protestantisme et d’interdire la liberté de culte. En

succèdent, mais sans jamais entraîner de larges couches populaires. Le pays reste morcelé en dix États. Il y a quatre États principaux : le Piémont-Sardaigne, la Lombardie-Vénétie, les États du Saint-Siège (ou États pontificaux) et le Royaume de Naples (ou Royaume des Deux-Siciles), ainsi que des principautés moins étendues : Parme, Modène, Florence (ou Grand Duché de Toscane). Autant de régimes politiques, tous dominés plus ou moins directement par l’Autriche. Leurs économies sont arriérées, cloisonnées

effet Charles Quint tire sa puissance de ses nombreux héritages, comme il le souligne dès le premier paragraphe, des lignes 7 à 10 : «  L'année suivante, qui fut la seizième de mon âge, mourut le roi Ferdinand, mon aïeul, père de ma mère, dans le royaume duquel je commençai à régner parce que ma mère bien-aimée, qui est morte depuis peu, était restée après la mort de mon père avec le jugement égaré et n'avait jamais assez retrouvé de santé pour gouverner elle-même ». En effet Isabelle de Castille