Royalisme

rétablit, en 1830), refus exprimé le 5 juillet 1871, fit (pitoyablement) capoter l'affaire. Les monarchistes laissèrent passer leur chance, et ne cessèrent de voir leur nombre décliner, d'autant que nombre d'orléanistes passèrent sans coup férir du royalisme libéral et modéré, au républicanisme conservateur. * Les Républicains, profitant du désarrois des royalistes qui n'arrivent pas à s'accorder sur leur roi, proposent en parallèle des idées libérales qui s'adaptent mieux à la modernité en cours

Cependant, à ce malaise et à ces débordements de l’imaginaire, la conjecture politique va parfois donner l’occasion de se concrétiser, faisant évoluer le romantisme vers une plus grande implication politique. • Le romantisme en politique : du royalisme au libéralisme Les bouleversements rapides de la révolution et de l’Empire succédant à un ancien régime caractérisé par une grande stabilité inquiètent et ébranlent les romantiques, ce qui les conduit souvent à adopter dans un premier temps des

le pays. La réaction à la Terreur robespierriste et, dans les campagnes, les soulèvements contre la famine, provoquent des troubles tout au long de l'année 1795. Des troubles qui, dans l'historiographie, ont longtemps été associés à un retour du royalisme et auxquels on a donné, peut-être à tort, le nom de Terreur blanche. II) La Terreur blanche Il n'existe en réalité non pas une, mais des réactions à la Terreur, aux origines multiples, s'exprimant de diverses façons. A. Les actions de la convention

temps et l’évolution des mentalités que mené directement à de réelles réformes. B)Des romantiques loins d’être unanimes : un mouvement politique d’une identité discutable Si en France le Romantisme politique semble évoluer globalement d’un royalisme contre-révolutionnaire à un libéralisme soucieux de progrès scientifique aussi bien que social, force est de constater que tous ces adeptes ne suivent pas le même cheminement. De fait, si beaucoup de Romantiques s’engagent en politique, ce n’est

l'opposition cléricale, quelque nom qu'elle prenne. LA DROITE ROYALISTE PURE ET L'ESPRIT LÉGITIMISTE Le parti royaliste du XIXe siècle, au temps de sa force, contient deux éléments principaux: l'un, de matière solide aux arêtes vives, véritable roc du royalisme, qui comprend le légitimisme et, dans l'orléanisme, tout ce qui est royaliste avant d'être libéral; l'autre, touché par l'atmosphère contemporaine et en somme voisin de la République conservatrice, qui comprend, dans l'orléanisme, tout ce qui est

visant à obtenir ou retrouver des avantages collectifs ou particuliers. Quelques décennies plus tard, l'instrumentalisation du Siège de 1793 a changé. Au-delà des utilisations politiques ou morales de l'épisode, de la querelle sur le girondisme ou le royalisme des assiégés, on a l'impression que le discours sur le Siège est désormais capable de donner à ses auteurs autre chose que les profits matériels espérés par leurs prédécesseurs du début du XIX° siècle. En d'autres termes, il semble que le Siège soit

Synthèse La Réformation (1640-1649) Sous Jacques I, le Parlement anglais s’est renforcé. En effet, celui-ci avait beaucoup moins d’influence que les Tudors puisqu’il était avant tout un roi Ecossais. Charles I, son fils lui succède et ses nombreuses erreurs seront les causes de la Révolution anglaise. Une de ces erreurs fondamentales sur le plan religieux est d’avoir favorisé William Laud et d’avoir impose avec lui le Book of Common Prayer aux écossais. C’est ce qui déclenchera en 1639 la

Conversation avec Blackborne – Samuel Pepys (1663) Introduction : Le discours sur la royauté et sur ses prérogatives, sur la personne du roi et le rôle que le peuple attend qu’il joue est omniprésent dans la littérature politique de l’Angleterre à la période moderne[1]. Journaux, traités politiques, textes religieux, tous gravitent autour de l’idée monarchique qu’il s’agit de préciser, de promouvoir, mais parfois aussi de décrédibiliser pour l’écarter du pouvoir. A ce titre, l’extrait

donc il faut la réinstaller. La solution est basée sur l’expérience du pays. Lorsqu’on parle du nationalisme intégrale, on parle même du Néo-royalisme c’est-à-dire que l’action Française ne sont pas royaliste parce qu’il aime la Monarchie mais parce qu’ils sont attaché à leur pays et que leur pays a besoin de la monarchie pour être fort. Ce sont des royalismes de tête plutôt que de cœur. La religion catholique était celle qui unifiait la France. Et si on veut un pays fort il faut qu’il soit unifié

menacé par le pouvoir en place. Ils sont sur la réserve. Ils sont favorables au drapeau tricolore et défendent l’idée d’un patriotisme français et sont issus des milieux urbains et étudiants. HISTOIRE POLITIQUE ET SOCIALE CONTEMPORAINE 4 c) Royalisme : divisé en plusieurs courants : A gauche : (Benjamin Constant) Monarchistes libéraux. Leur influence se renforce au cours de la restauration. Ils sont favorables aux idées de la Révolution de 1789. Ils considèrent que le roi devrait