Rousseau Subjectivité De Lhistoire

Penses de B. Pascal (1623-1662). On compte toujours les dlicieux moments de rverie o les penses surgissent delles-mmes et nobissent aucune autre logique sinon celle de lopportunit ou du plaisir et ce sont Les rveries du Promeneur solitaire de J-J Rousseau (1712-1778). Du mme auteur, on compte encore lambition de sanalyser et sexposer en totalit pour se peindre en vrit, et ce sont les fameuses Confessions. On compte enfin, les multiples Lettres ou Journaux o lindividu se raconte dans son quotidien

(Kant, Freud) PAGEREF _Toc185584906 h 11 IV. Autrui et la morale PAGEREF _Toc185584907 h 12 A. Ltre-avec nous place dans la dimension de la moralit (Heidegger) PAGEREF _Toc185584908 h 12 B. Les sentiments moraux sont inspirs par autrui (Hume, Rousseau) PAGEREF _Toc185584909 h 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) PAGEREF _Toc185584910 h 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) PAGEREF _Toc185584911 h 15 Conclusion PAGEREF

critiques la philosophie de Descartes. 2. Critique de lintriorit (Husserl, Sartre) Dabord, lintentionnalit offre une conception de la conscience bien diffrente de la conception classique classiquement, on pensait la conscience comme une sphre de subjectivit, cest--dire comme une sorte de bote renfermant des tats subjectifs (penses, croyances, reprsentations, craintes, doutes, espoirs, dsirs, etc.). Sartre critique vigoureusement ce mythe de lintriorit partir de lide que la conscience est intentionnelle

sources. Cette pice parat elle-mme imite de la premire version dEuripide, lHippolyte voil, plus que de la seconde, lHippolyte porte-couronne. Snque recomposa lintrigue, transfra le sujet sur le plan humain, sintressant bien plus que le Grec la subjectivit personnelle. Il fit toujours dHippolyte un jeune homme indiffrent aux femmes, un mystique, fervent dArtmis, la chaste desse. Mais il centra son oeuvre sur Phdre, dont il approfondit Ianalyse, et dveloppa le rle, lui donnant le trait de caractre