Rousseau Intérêt Et Désir De Distinction

actif. Il s'oppose au surmoi, qui représente les interdits sociaux (le père intériorisé, en quelque sorte) et au moi, qui fait l'intermédiaire entre les deux. Plus précisément, selon Freud nous refoulons nos désirs d'enfants. Par exemple tout garçon désire un jour tuer son père et épouser sa mère. C'est le triangle d'Œdipe. Si tout se passe bien, le petit garçon renonce à ces désirs socialement inacceptables, et reporte son amour pour sa mère vers les autres femmes, parvenant ainsi à une sexualité normale

sociabilité 2. L’analyse de la société politique C. Les théories contractualistes au fondement des sociétés politiques 1. La première théorie contractualiste : HOBBES 2. La société civile et la naissance du libéralisme : LOCKE 3. ROUSSEAU le second état de nature et la décadence de la société II. L’Etat comme instance nécessaire à la société A. La théorie hégélienne de l’Etat, une critique de la société civile HEGEL B. La théorie marxiste de l’Etat, de la nécessité transitoire

Le critère du pouvoir légitime La tâche principale du souverain d’après Rousseau est de décider des règles sous lesquelles il veut vivre, c’est-à-dire de voter les lois14. Comment la mener à bien ? Tout citoyen qui fait partie du souverain doit se renseigner sur le critère qui lui permet d’accepter ou de refuser une loi. C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter

autorisées par la loi naturelle – c'est une question de droit. Cette dualité se retrouve dans le titre de l'œuvre de Rousseau puisqu'il distingue l'origine ( fait ) et les fondements ( droit ). Cette distinction a été expliquée en cours. On remarque également que la référence à l'idée de loi naturelle disparaît. L'explication se trouve dans la préface au discours ( p.17 à 20 ) où Rousseau analyse les difficultés de la question posée. La première concerne la question de la connaissance de la nature de

crainte, où la guerre se nourrit d'elle-même, la question des "origines" de la guerre semble secondaire. Elle a pourtant selon Hobbes deux origines : la rivalité pour la possession des biens d'une part, mais surtout la rivalité pure, fondée sur le désir de pouvoir. Cette seconde cause est primordiale. Là réside l'ambiguïté morale de la vision hobbienne : des hommes définis explicitement comme des "aristocrates" (en lutte pour le pouvoir, l'honneur et le prestige), qui se conduisent au moment décisif

Le plaisir s’éprouve dans la sensation. Le plaisir des sens est intéressé. Le plaisir esthétique est désintéressé. L’agréable renvoi à la faculté de désirer. Le beau est plus que l’agréable. Mais aucune œuvre ne fait l’unanimité. Aucun savoir relationnel n’existe dans le domaine de l’art. Il s’agit d’un acte de foi. L’art, enfant du désir et de l’imagination, met en scène des situations particulières et parle au cœur. L’œuvre d’art est la manifestation sensible du vrai. LE LANGAGECOURS :

DROIT PUBLIC Introduction : distinction droit privé / droit public 2 grands systèmes de droit dans le monde : Droit romain et germaniste et droit anglo-saxon : On qualifie les pays de droit anglo-saxon de common laws => lois communes, car la structure est unique => il n'y a qu'un seul droit applicable. Donc, pas de différence entre droit privé et droit public. Toutes personnes se voient appliquer le même droit. Ce sont des pays de droit jurisprudentiel. (Jurisprudence : jugement des tribunaux

s’enracine dans la connaissance du Bien ou Vérité première. II/ Hobbes 1) L’état de nature La plus fondamentale aspiration de l’homme est selon Hobbes le désir de se conserver ce qui va déterminer chacun à s’approprier tout ce qu’il juge utile à cette conservation de soi. Le désire se conserver se ramenant en dernière analyse au désir de puissance. La raison en est que dans l’état de nature, la puissance est le seul moyen pour l’homme de garantir sa jouissance future. Dans l’état de nature,

et « il en est le grand architecte ». Pour lui Dieu s’est retiré de la création du monde et a laissé l’Homme libre de ses actions, libre de ses pensées. Le déisme de J. Rousseau met en avant la bonté du créateur. Pour Rousseau, Dieu est un roi bon et tolérant qui est guidé lui-même par la raison. Cette conviction permet à Rousseau de critiquer les textes évangéliques. Quelque soit leurs foi, tous contestent la religion catholique, l’Eglise. Et on voit bien le danger de la remise en cause de la monarchie :

le meilleur parti de l'Etat, cette structure toujours prête à sacrifier ses sujets lorsque ses intérêts propres sont en jeu, cette structure que Nietzsche qualifiait de "plus froid de tous les monstres froids" ? Les principaux problèmes :           La force de l'Etat est-elle nécessaire à la liberté des citoyens ? Ce que la morale interdit, l'Etat peut-il le prescrire ? Les intérêts de l'Etat justifient-ils le recours à des pratiques immorales ? L'Etat doit-il reconnaître des