Rousseau Et Les Fables De La Fontaine

détour de la fiction (fable (La Fontaine), conte (Perrault), les comédies de mœurs ou de caractère de Molière…). Tous sont des moralistes (ils observent, décrivent, analysent la nature humaine et les mœurs, les démasquent, pour les hommes de leur temps, mais aussi de tous les temps (visée universelle)). **XVIIIème siècle : les Lumières, foisonnement d’idées, contestation, critique de la société, préparent la Révolution. Montesquieu, Voltaire, Rousseau, Diderot (

roman comique (Scarron) 1667 Andromaque (Racine) 1670 Les Pensées (Pascal) 1673 Le malade imaginaire (Molière) 1674 L'Art poétique (Boileau) 1677 Phèdre (Racine) 1678 La Princesse de Clèves (Madame de La Fayette) 1668-1678 Fables (La Fontaine) 1688 Les Caractères (La Bruyère) 1699 Les Aventures de Télémaque (Fénelon) LE XVIIIe siècle Au temps de Louis XIV, toutes les créations artistiques doivent converger vers le roi, mettre en valeur sa personne, promouvoir

meilleur des mondes d'Aldous Huxley 27 La peste d'Albert Camus 28 Dune de Frank Herbert - x 29 L'herbe bleue Anonyme 31 L'écume des jours de Boris Vian - x 32 Paroles de Jacques Prévert 33 L'alchimiste de Paulo Coelho - x 34 Les fables de Jean de La Fontaine - x 35 Le parfum de Patrick Süskind - x 37 Vipère au poing d'Hervé Bazin 38 Belle du seigneur d'Albert Cohen 39 Le lion de Joseph Kessel 40 Huis clos de Jean-Paul Sartre 42 Antigone de Jean Anouilh 43 Les lettres de mon moulin d'Alphonse

la suite. Exemple : Les deux coqs, La Fontaine - Elle permet d'éviter la censure. Exemple : Le lion, le loup et le renard, La Fontaine - Le récit est accessible à un plus grand nombre. Exemple : Zadig, Voltaire Il y a deux grandes façon d'argumenter, l'argumentation directe que l'on retrouve par exemple dans un essai, où le propos et l'idee sont exposés clairement sans détour. Et l'argumentation indirecte qui se trouve, elle, dans les contes, les fables, ou bien d'autres genres narratifs. L'idée

domaines philosophique et littéraire, la place de l'auteur reste déterminante pour appuyer ou réfuter une argumentation. Certains auteurs, lorsqu'ils jouissent d'une popularité et d'une légitimité reconnue comme Diderot, Voltaire, Montesquieu ou Rousseau à l'époque des Lumières, peuvent se permettre par exemple de citer leurs propres œuvres et exercer ainsi un argument d'autorité pour appuyer leur propre point de vue. Dans ce type de contexte et à leur place, on peut alors se demander quel est l'intérêt

Oraisons Funèbres (1653-1687) - Racine, Andromaque (1667) - Molière, Tartuffe (1664) - La Fontaine, Fables (1668-1693) - Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves (1678) - La Bruyère, Les Caractères (1688) - Montesquieu, Les Lettres Persanes (1721), De l’esprit des lois (1748) - Voltaire, Lettres Philosophiques (1734), Candide (1759) - Buffon, Histoire Naturelle (1749-1789) - Rousseau, Discours sur l’origine de l’inégalité (1755), Du contrat social(1762) - Diderot, L’Encyclopédie

Mouvement 1 : la douleur du Roi vers 1 à 16 - Mouvement 2 : Intervention de La fontaine vers 17 à 23 - Mouvement 3 : Les Obsèques de la Lionne vers 24 à 51 - Mouvement 4 : La morale vers 52 à 55 Mouvement 1 : La douleur du Lion • Comme dans de nombreuses fables, LF plante le décor dans le premier mouvement. • Si le titre renseigne le lecteur sur le thème développé par la fable (la reine est morte et sera enterrée), force est de constater que c’est en fait

analyse les rapports de pouvoir et tente de comprendre comment le peuple peut accepter la domination des puissants. Il est néanmoins optimiste puisqu'il croit à la liberté de chacun de ne pas se soumettre. Biographie de Rousseau Fils d'un horloger et orphelin de mère, Jean-Jacques Rousseau est mis sous la protection de Madame de Warens, à l'âge de 16 ans. Elle devient pour lui une bienfaitrice et une mère bien qu'elle ne soit que de six ans son aînée. Il apprend la musique sur son conseil. Après l'avoir

d’apprentissages, innovateurs pour l’époque. Il y fait l’éloge de la pratique des langues « Les tout-petits y accèdent sans aucun effort » (l4, p395), « les jeunes enfants y sont poussés (…) par le plaisir naturel de l’imitation » (l6-7), tout comme celui des fables, qui sont des récits véhiculant une morale, qui selon Erasme est un « préceptes philosophiques » (17), « Leurs séduisants attraits charment les oreilles enfantines » (l9-10), « (…) les adultes y trouvent le plus grand profit, pour la connaissance

3 : Les Obsèques de la Lionne Fables de la Fontaine N.B : Le premier recueil est dédié a monseigneur le Dauphin, fils de Louis XIV. Le deuxième (1668-1694) est une dédicace à Madame de Montespan (la maitresse en titre du roi). Elle est mariée au marquis de Montespan, qui toute sa vie, refusera cette situation de cocu royale. Il va ajouter à ses armes deux énormes Cornes de Cerf qui exhibent aux yeux de tous, sa qualité de cornard. Jean de la Fontaine (1621-1695) commence sa carrière