Rousseau Emile Fables De La Fontaine

en classe, et le texte proposé en corpus. Apparaissant avec les fables en prose d’Ésope, en vers de Phèdre, -qui personnifient pour la première fois des animaux, les humanisent- puis avec les paraboles de l’Évangile; l’apologue a traversé l’histoire depuis l’Antiquité jusqu’à aujourd’hui. Il est caractérisé par un court récit à valeur morale et didactique et apparaît sous différentes formes: fables, contes philosophiques ou contes de fées, paraboles (biblique). Il a pour but d’instruire

Séries technologiques* LA FONTAINE, Fables (1668-1693), livre VIII, fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I, 1, débat entre Armande et Henriette, "Mon Dieu, que votre esprit... qui sont de la matière." MONTESQUIEU, Lettres persanes, lettres 161 (1721) CONDORCET, Cinq Mémoires sur l'Instruction publique (1791), I, 4, "Il est nécessaire... crainte est fondée." SIMONE DE BEAUVOIR, extrait de Le Deuxième sexe (1949) LA FONTAINE, Fables (1668-1693), livre VIII, fable

comme Ulysse, les points de vues de La Fontaine et de du Bellay sont plutôt négatifs vis-à-vis du voyage. La Fontaine, dans sa fable, narre la décadence d’un pigeon lors d’un voyage précipité. Le vocabulaire utilisé est ainsi dépréciatif avec des termes tels « assez fou », « cruel », « malheurs ». Les péripéties s’enchainent : la pluie, le las, le vautour, l’enfant et l’oiseau finit, à la fin du voyage, en piteux état « demi-morte et demi-boiteuse ». La Fontaine est contre le voyage et il le montre

• • • LA FONTAINE, Fables (16681693), livre VIII, fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I, 1, débat entre Armande et Henriette, "Mon Dieu, que votre esprit... qui sont de la matière." MONTESQUIEU, Lettres persanes, lettres 161 (1721) CONDORCET, Cinq Mémoires sur l'Instruction publique (1791), I, 4, "Il est nécessaire... crainte est fondée." SIMONE DE BEAUVOIR, extrait de Le Deuxième sexe (1949) Séries technologiques* • • • • • LA FONTAINE, Fables (16681693)

combat contre les injustices, qu'il s'agisse des fables, des apologues ou du roman réaliste, historique ou autobiographique. Dans un deuxième temps, au-delà des distinctions entre les nombreux genres littéraires, nous montrerons que l'expression des sentiments et des convictions, tout comme le rire satirique contribuent, de la même façon, à la dénonciation des maux de la société. Les ressources multiples de la fiction A. Le didactisme des fables, apologues et autres contes... *l'apologue

pour le meilleur comme pour le pire.) Prévôt (Abbé) : Manon Lescaut (Petit livre narrant les mésaventures du jeune Des Grieux, tombé amoureux de Manon, jeune fille séduisante, mais légère, qui lui en fera voir de toutes les couleurs). Rousseau : Les Confessions (Sans doute le premier écrivain à avoir osé se "mettre à nu" à ce point dans l'autobiographie, confessant par exemple un mensonge particulièrement honteux commis jadis, ou certains goûts érotiques). Voltaire : Candide .- Zadig

Pierre corneille ( 1606-1699 ) Classicisme → Jean De La Fontaine ( 1621-1695 ) Classicisme → Molière ( 1622-1673 ) Classicisme → Jean Racine ( 1639 – 1673 ) Classicisme → Jean De La Bruyère ( 1645 -1696 ) Classicisme 18eme → Montesquieu ( 1689 – 1755 ) Siècle des Lumières → Voltaire ( 1694 – 1778 ) Siècle des Lumières → Louis De Jaucourt ( 1704 – 1779 ) Siècle des Lumières → Jean-Jacques Rousseau ( 1712 – 1778 ) Siècle des Lumières 19eme → Alphonse De

été pour la littérature française une époque fabuleuse , qui commence avec Balzac, et, passant par les deux périodes les plus brillantes, celle de la jeunesse de Descartes, de Corneille ou de Molière et avec maturité de Boileau , de Racine , de La Fontaine , de Sévigné .Ce siècle est marqué en littérature par deux courants importants, le Baroque et le Classicisme.Le Classicisme cultive le bon goût de l'élégance , c'est le retour des règles strictes. Le mot Baroque vient du portugais «barroco»

d’apprentissages, innovateurs pour l’époque. Il y fait l’éloge de la pratique des langues « Les tout-petits y accèdent sans aucun effort » (l4, p395), « les jeunes enfants y sont poussés (…) par le plaisir naturel de l’imitation » (l6-7), tout comme celui des fables, qui sont des récits véhiculant une morale, qui selon Erasme est un « préceptes philosophiques » (17), « Leurs séduisants attraits charment les oreilles enfantines » (l9-10), « (…) les adultes y trouvent le plus grand profit, pour la connaissance

vraisemblance. Écrivains représentatifs : Nicolas Boileau, Jean Racine, Jean de La Fontaine, Madame de La Fayette, Molière, et Corneille qui passe du baroque au classicisme. On peut ici inclure La Fontaine, il manque tout-de-même un élément primordial : l'articulation entre plaire et instruire, en apparence à l'avantage d'instruire, en vérité, souvent à l'avantage de plaire (voir La Fontaine, préface aux Fables) XVIIIème siècle : Les Lumières tirent leurs noms du combat qu'elles mènent contre