Rousseau Du Contrat Social Chapitre 4

profondeur avec la souveraineté internationale. Attention : i l faut éviter toute histoire téléologique (= qui repose sur l’idée de finalité) car l’Europe s’est construite au travers de guerres et de compromis et non de manière linéaire et pacifique. Chapitre I LA NAISSANCE DE L’ETAT MODERNE DANS L’HISTOIRE DE LA PENSEE POLITIQUE : MACHIAVEL, BODIN ET HOBBES Pour comprendre la naissance des Etats nationaux jusqu’à la construction d’institutions européenne communes : on commence au XVIe siècle.

oxidans les régimes qui organise l'état sont des régimes démocratique fondé sur le principe éléctif et qui garantie a chaque citoyen des droits individuelles. Cette partie se divisera en 4 catégories ; -L'état -La constitution. -La démocratie. -Les différentes catégories de régimes politique Chapitre I: L'état Section1: la notion d'état. L'état est une réalité, il est présent dans la vie quotidienne des citoyens et il va encadré de nombreux domaine d'activités d'une société il est le

chacun. Les lois peuvent donc permettre de renforcer notre liberté et non pas nous la faire perdre. Un « contrat social » a été rédigé par Jean-Jacques Rousseau, publié en 1762, dans lequel il fait référence à plusieurs philosophes de différentes époques (Hobbes, Kant, Aristote, Grotius, Voltaire …), la liberté est donc une vertu transcendante (traversant les époques). La doctrine politique de Rousseau a pour idéal la liberté. D’après lui, l’institution du gouvernement civil se fait au prix de la liberté

DestinéeIllustration de Julie,ou la Nouvelle Héloïse LE XVIII° SIÈCLE SOMMAIRE : Page 2 : Frise chronologique d'un point de vue politique et culturel Page 3-4 : La Philosophie des Lumières Pages 5 : Synthèse biographique de Voltaire Page 6 : Zadig Page 7 : Micromegas Page 8 : Synthèse biographique de Rousseau Page 9 : La Nouvelle Héloïse Page 10 : Les confessions La Philosophie des Lumières Pour les intellectuels européens du XVIIIe siècle, l'homme se caractérise

 Plan de l’exposé INTRODUCTION I. LES DIFFERENTES DOCTRINES DE LA PHILOSOPHIE MODERNE 1. Le rationalisme 2. l’empirisme 3. controverse entre le rationalisme et l’empirisme 4. les lumières 5. l’idéalisme allemand II. QUELQUES AUTEURS PREPONDERANTS DE LA PHILOSOPHIE MODERNE. conclusion Introduction On appelle philosophie moderne la philosophie qui, en Occident, s'étend sur ce que les historiens appellent l'époque moderne (1492-1789), incluant une partie de la Renaissance, le XVIIe siècle

faut donner une définition générale de la justice. La volonté politique c’est un problème qui est liée à la modernité, c’est a dire qu’elle est née des conceptions décontractualistes (Rousseaux) c’est a dire ceux qui on fondé les théories du contrat sociale. Le concept de volonté et d’histoire sont des concepts nouveaux.Ce qui ne veux pas dire qu’il n’y pas de temporalité. Il n’y a pas notion de l’histoire au sens de l’homme, mais principalement au sens de la nature. La perfectibilité chez les Grec

la souveraineté de la loi (Autrefois et jusque la Révolution c’est la coutume qui prévalait), l’idée de l’individu (Dans le droit des anciens royaumes, les acteurs du droit étaient les ordres, les communautés… Le droit était conçu pour des groupes sociaux. Avec la révolution, c’est l’individu qui est l’objet du droit.), la séparation des unités spirituelles et temporelles, l’absence de prise de position religieuse (Jusqu’alors, le droit de la famille, le mariage étaient régis par les autorités religieuses

ordre » constitue sans doute le sens premier du mot cosmos. Cf. Jaeger et Vernant. Aristote luimême emploie parfois cosmos au sens de politeia (cf. Pol. V 7, 1307b6), mais préfère taxis (dont la connotation artificialiste a été soulignée par Hayek). 4 A condition d’entendre par là des choix inséparables d’une délibération rationnelle, et non au sens où l’entendrait sans doute C. Schmitt (cf. Théologie politique, p. 20 : « L’ordre juridique repose, comme tout ordre, sur une décision et non sur une

constituent des manifestations, parmi les plus hautes, de la liberté humaine ? Au sens le plus général, l’échange désigne un mouvement d’action réciproque entre deux termes. En ce sens, l’échange déborde la sphère purement économique, il peut être social (nous échangeons des paroles, des regards), amoureux (échange de caresses ou de marques de tendresse), voire biologique, l’être vivant échange avec son milieu. Envisagé sous cet angle, il pourrait sembler en apparence que tout puisse s’échanger

Tradition, 1966) Édition de poche, PUF, « Quadrige », 2000. Notes de lecture Première partie : Concepts et contextes Nisbet se livre dans ces deux premiers chapitre à un véritable « discours de la méthode » dans lequel il va préciser les objectifs, les enjeux du livre, et les méthodes et outils qu’il compte utiliser dans sa recherche. Chapitre 1 : Les concepts élémentaires de la sociologie 1.1 Idées et antithèses : chacun des concepts opératoire retenus par Nisbets fonctionne par couple antithétique