Rousseau Contrat Social Renoncer à Sa Liberté

Liberté et contraintes sont-elles incompatibles ? De tout temps, la notion de liberté a été présente dans le monde. Que ce soit en droit, d’un point de vue moral ou dans le domaine de l’action. On ne naît pas libre mais on le devient. C’est ainsi qu’au cours de l’Histoire, il y a eu des prisonniers, des esclaves, des régimes dictatoriaux et tyranniques mais aussi des hommes libres et des démocraties. Alors est-ce que liberté et contrainte sont-ils incompatibles ? La liberté signifie-t-elle

des citations courtes et donc plus faciles à mémoriser en vue de l'examen. Les commentaires sont volontairement succincts (chacune de ces phrases pourrait donner lieu à toute une dissertation) et ne visent qu'à éviter les gros contresens. Une page avec classement thématique par notions ( et quelques citations complémentaires ) est également disponible. Ce dictionnaire ne demande qu'à être complété et si vous avez des suggestions à ce sujet, n'hésitez pas à m'écrire ! Citation Commentaire de la

Lecture analytique sur un extrait du « Discours sur l’origine (…) les hommes » (1755) de ROUSSEAU INTRODUCTION : Présentation du texte : Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien de langue française. Il est à l’origine de nombreuses œuvres comme le « Discours sur les sciences et les arts » datant de 1750, « Du Contrat Social » datant de 1762, « Emile » datant de 1762 et « Les Confessions » datant de 1765-1770

pitié que ceux-ci expriment alors est une consolation pour les faibles et les souffrants en tant qu’ils y reconnaissent avoir au moins encore un pouvoir, en dépit de leur faiblesse : le pouvoir de faire mal. Le malheureux prend une espèce de plaisir à ce sentiment de supériorité dont lui donne conscience le témoignage de pitié ; son imagination s’exalte, il est toujours assez puissant encore pour causer de la douleur au monde. » http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 125

matière non précise, arithmétique ! S’intéresser à un objet, ceux sur quoi il porte ! Cet objet c’est le pouvoir politique, spécifique aux autres formes de pouvoir ! C’est un pouvoir indispensable à toute société mais il est aussi potentiellement dangereux pour les libertés, les droits ! Puissance phénoménale, pour la direction d’une société. Parvenir à concilier pouvoir politique et protections des droits et libertés c’est cette problématique, c’est à finalité du droit constitutionnelle. Il faut limiter

MODERNES ET CONTEMPORAINS I- La philosophie politique classique (de la Renaissance aux Lumières) : 1) Morale et politique : a- Qu’est-ce-que la politique ? * La morale : C’est un ensemble de règles et de mœurs considérées comme bonnes et devant être appliquées en société ; c’est donc le principe philosophique de discernement du bien et du mal. La morale répond à une exigence personnelle et individuelle avant tout : orienter son comportement selon les normes (naturelles ou conventionnelles)

peut être tenu pour une personne morale quant à ses rapports avec les autres Etats. Cette définition de l'Etat en fait un synonyme de "pays" ; elle donne son sens à l'expression : "L'Etat, c'est nous." 2) L'Etat (au singulier et avec un article défini), c'est l'autorité souveraine qui s'exerce sur une population et un territoire déterminés. Cette définition plus restrictive désigne spécifiquement un des éléments de la définition précédente : à savoir l'autorité politique ou le pouvoir politique

sereinement. A quoi bon est une expression commune qui signifie "A quoi cela sert-il ?" ou même "Est-ce que cela vaut la peine ?", c'est une expression péjorative. Cela présuppose que vivre en société n'a pas d'intérêt. Se poser la question sur l'intérêt de vivre en société est légitime ; en effet, on peut se demander si cela en vaut la peine, après les difficultés et problèmes sociaux. En effet, la vie sociale présente des inconvénients. Mais que serait-on en dehors de toute vie sociale ? Toute société

n°1 : le 24 Octobre Interruption vacances de Toussaint Séance n°2 : le 7 Novembre Séance n°3 (débat-discussion) : le 14 Novembre Résumé : La question du libéralisme est évidemment au cœur des conceptions contemporaines de la liberté… L’idée d’un régime prônant la liberté de tous et de chacun est généreuse ; la réalité est souvent plus discutable… mais pour se prononcer, il faut d’abord se poser la question de quel libéralisme parle-t-on ? Jean-Robert Alcaras propose ici de revenir sur la genèse

signifie savoir, connaitre. De ce fait, littéralement la conscience signifie « accompagné le savoir ». Ainsi, la conscience apparait comme la faculté qui permet à l’homme de saisir ses états intérieurs. II) ARGUMENT POUR SOUTENIR LA NOTION DE CONSCIENCE � Argument 1 : la conscience apparait comme l’essence de l’homme. � Explication : c'est-à-dire ce qui le détermine, ce qui le fonde et justifie son existence. � Citation : « toute notre dignité réside dans la pensée » pensée BLAISE Pascal. � Explication