Rousseau Contrat Social Renoncer à Sa Liberté

PAILEREAU – Pierre – ECE1 – Philosophie La politique doit-elle renoncer à tout idéal normatif ? Si on observe lucidement la réalité politique, comme le font Machiavel et Hobbes, la vie politique obéit à la loi du plus fort, mais pas n'importe comment : cette loi ne peut s'imposer, comme le montre Rousseau, qu'en transformant la force en loi. En cela la politique semble être l'art de persuader les dirigés de se soumettre volontairement à la force des dirigeants, s'ils veulent être protégés et non

 II. La loi comme émanation de la volonté générale Contrat social qui permettra de conserver la liberté de chacun. => Rousseau . *Abolir la frontière entre le peuple et le pouvoir ,en faisant en sorte que le pouvoir réside dans l'ensemble du peuple .Chacun participera aux décisions.Ils obéiront à eux meme . L'originalité de la conception de l'oeuvre de Rousseau Rousseau s'est inspiré de John Locke( connu pour ses deux traités sur le gouvernement civil écrit en 1689,il est un anti Hobbes)Chez

solutions, voir page suivante ) Être libre, est-ce agir spontanément ? Reformulation : être libre, et non pas seulement le paraître, est-ce agir spontanément, c'est-à-dire, sans aucune passivité, faire immédiatement et sans contrainte ce que notre nature nous pousse à faire ? Problématique : être libre, est-ce faire sans réfléchir tout ce à quoi nous pousse notre nature, indépendamment de toute contrainte, ou bien n'est-ce pas plutôt agir selon un choix réfléchi et donc vraiment volontaire ? La volonté

institution sociale est une sorte d'autorité qui organise la société. Mais qu'est-ce qu'une société? Une société est un rassemblement d'individus ayant des objectifs communs, notamment leur survie, et étant dépendants les uns des autres. L'institution du social correspond d'une certaine manière à la mise en place d'un pouvoir politique car elle permet le respect de règles qui sont bénéfiques aux individus vivant en société (règles leur permettant de manière sure d'assurer leur survie et de répondre à leur

« les Lumières » est un mouvement européen, le rayonnement de la France est à son apogée. En Angleterre : Newton, Halley, Locke, Look, Watt, Smith En Allemagne : Goethe,Leibniz, Kant ( auteur de « Qu’est-ce que les Lumières ? » LE PHILOSOPHE : au XVIIIème siècle est un écrivain ENGAGE. « C’est un honnête homme qui agit en tout par raison et qui joint à un esprit de réflexion et de justesse les mœurs et les qualité sociales. » (Dumarsais, article Philosophe de L’Encyclopédie) Voici en sept points

Collectif – Paris Moulin Avril 2011 FICHE – PHILOSOPHE JEAN-JACQUES ROUSSEAU 1. BIOGRAPHIE Quand ? (chronologie de base) – Où ? (lieu et itinéraires, si voyages) 1712-1778. Né à Genève, orphelin de mère (morte à sa naissance). Enfance livrée à elle-même, adolescence chaotique, s’enfuit à 16 ans, il court les routes à pied. Recueilli en Savoie par Madame de Warens, pieuse et originale, chez qui il reviendra trois fois, repartant entre temps sur les routes, apprenant la musique, vivant

donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». (Modifier l'article) Jean-Jacques Rousseau Philosophe occidental Époque moderne des Lumières Pastel de Maurice Quentin de La Tour, Jean-Jacques Rousseau, en 1753, (alors âgé de 41 ans) Données clés Naissance 28 juin 1712 République de Genève Décès 2 juillet 1778 (à 66 ans) Ermenonville, Royaume de France École/tradition

Sujet : Obéir aux lois est-ce perdre sa liberté ? « Obéir » et « liberté » sont deux termes fondamentalement opposés. « Obéir », qui vient du latin oboedire, signifie « se soumettre à la volonté de quelqu’un, à un règlement », tandis que « liberté », du latin libertas, représente « l’état d’une personne qui n’est pas soumise à la servitude », ce qui sous-entend qu’en aucun cas nous pouvons être libre en obéissant à une quelconque loi. Sur ce sujet il convient de se demander si, toutefois, il

LIBERTE EST-ELLE PLUS QU’UN CAPRICE ? La liberté est, si on la définit d’une manière générale, un pouvoir de faire ou de ne pas faire. C’est ce qu’on appelle le libre arbitre, capacité à être le propre principe de ses actions, sans être contraint par rien d’extérieur à nous. Nous réclamons et revendiquons souvent notre liberté en souhaitant pouvoir faire ce que nous désirons. Les hommes semblent donc avoir un goût pour la liberté. La liberté pourrait, en ce sens, se rapprocher du caprice. Ce dernier

latin, obligatio désigne une modalité précise de la parole : la parole qui noue un lien, autrement dit la parole que l'on donne à autrui et qu'on ne peut reprendre sans le consentement de l'autre, c'est-à-dire la promesse. C'est cette étymologie qui explique le sens de l'expression selon laquelle on est l'obligé de quelqu'un : quand un homme me rend service, je suis en dette à son égard, je lui dois quelque chose en échange (par exemple, mon aide lorsqu'à son tour il sera dans le besoin). Tant que je