Rousseau Contrat Social Que La Souveraineté Est Indivisible

garanties de la liberté des individus. Chapitre 1 : L’Etat Ce qui définit l’Etat est la souveraineté, l’Etat est une organisation qui tend a rationaliser l’exercice du pouvoir, d’aménager les rapports entre les individus. Jean Bodin a écrit six ouvrages sur le concept de la souveraineté et de l’Etat. Le territoire étatique est né seulement au 16eme siècle. Avec la révolution, c’est la ou la souveraineté est devenu nationale. C’est l’institutionnalisation du pouvoir. L’Etat est une notion clé du

est, en quelque sorte, subi. 1) L'État, produit d'un acte de volonté : le Pacte social Selon cette conception, la formation de l'État est le fruit d'un accord de volonté des hommes, soucieux de mieux défendre leurs intérêts et de garantir les libertés au sein de la société. Ils s'associent de façon délibérée par une sorte de contrat, pour vivre ensemble et unir leurs droits. La volonté est donc à la base du PACTE SOCIAL, par lequel les hommes renoncent à l'état de nature pour constituer un État, au

institutionnalisé (volonté d’assurer paix sociale) Conditions : Pouvoir continu, pacifique et Impersonnel + La souveraineté : Etat a le droit de faire les lois (donner, la modifier ou l’annuler) 3 critères de souveraineté : * Puissance de commandement publique qui s’impose a tous. * Puissance de commandement perpétuelle. Souveraineté imprescriptible. * Puissance de commandement absolue et inconditionnelle. Souveraineté inaliénable. + Limite de la souveraineté : Absolu ne signifie pas illimitée

philo po montre des interrogation sur ce terme d’orga po. Le courant de la philosophie po s’interroge sur les origines de l’Etat.Plus tard elle s’interroge sur la nature ds pvr exercé par l’Etat A) Les origines de l’Etat : les theories du contrat social 1)les theses naturalistes Elles analyse la formation des Etats comme un processus naturel Weber explique que ls Etats resultent du processus par lequel 1 groupe po acquiert ce qu’il appelle le monopole de la justice ,le monopole de

produisent souvent entre le roi et l’Eglise car l’Eglise veut que le roi obéisse aux volontés du Vatican. L'Etat est souverain mais le monarque l’est également, par conséquent ils vont s'affronter (Eglise/Etat). Puis se développe l’idée de la souveraineté étatique et religieuse. En France apparaît le Gallicanisme, qui prétend à l'indépendance vis à vis du divin, le temporel prétend ne pas se voir opposer des ordres par le pouvoir religieux. Cette doctrine du lien entre écriture divine, politique

l’intérêt d’une classe sociale déterminée ? 4 pages r Taf : Pour la semaine prochaine, faire un commentaire sur l’un des documents de la fiche 4 Présentation générale de la science politique La science politique est constituée de 3 branches : la politique publique, la philosophie politique (par exemple l’étude de l’Etat), les relations internationales. Notre cours s’intéressera aux deux premières branches. Gérard Mainet, Le principe de souveraineté Jean Bodin (souveraineté absolue de l’Etat)

« La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum » La souveraineté est le principe de l’autorité suprême, c’est le droit absolu d’exercer une autorité sur une région, un pays ou un peuple. La souveraineté est indivisible, limité dans le temps, c’est sont caractère inaliénable et non définitif, c’est son caractère imprescriptible La souveraineté nationale quant à elle se définit comme étant l’autorité suprême détenue par le peuple par

La souveraineté de l’état Introduction : Pendant longtemps la souveraineté était divine avec la théorie théocratique de la souveraineté. La philosophie des lumières a introduit l’idée que la source du pouvoir se situait dans les hommes, théorie dite démocratique. Il faut distinguer entre la nation et le peuple ce qui permet de différencier la souveraineté nationale de la souveraineté populaire. Pour qu’il existe un état il ne suffit pas d’un territoire déterminé, d’une population soumise

Souveraineté nationale : La Souveraineté se définit, en droit, comme la détention de l’autorité suprême, c’est-à-dire d’un pouvoir absolu (dont tous dépendent) et inconditionné (qui ne dépend de qui que ce soit). Dans les régimes despotiques, la Souveraineté est le plus souvent détenue par un seul homme. Dans les démocraties, elle est détenue par le peuple, constitué en un corps politique, la nation : on parle dès lors de Souveraineté nationale. Souveraineté populaire : La souveraineté populaire

seul, elles tendaient toutes à même fin » . La souveraineté est le principe qui donne à l’exercice du pouvoir sa légitimité : la souveraineté a toujours été pensée comme absolue, perpétuelle et inaliénable. Les arguments employés par Kant (philosophe allemand, 1724-1804), qui veut interdire toute forme de révolte contre le pouvoir législatif, se fondent sur cette nécessité d’une souveraineté durable. Le pouvoir exécutif est l’agent de la souveraineté, qui doit être continue. C’est dans ce contexte