Rousseau Commisération

Jean-Jacques Rousseau (1712 -1778) [pic] "Chaleur, mélodie pénétrante, voilà la magie de Rousseau. Sa force, comme elle est dans l'Emile et le Contrat Social, peut-être discutée, combattue. Mais par ses Confessions, ses Rêveries, par sa faiblesse, il a vaincu; tous ont pleuré." Jules Michelet, Histoire de la Révolution française 1847 Le XVIIIe siècle est avant tout pour le lecteur moderne celui de l'Encyclopédie, de la Raison contestataire et libératrice, prélude aux bouleversements de 1789. C'est

rationalisme français. Les romantiques expriment « le mal du siècle » et exaltent le moi. Le mouvement romantique, né à la fin du XVIIIème siècle en Angleterre et en Allemagne succède au mouvement des lumières et précède le réalisme. Si Goethe et Rousseau sont des précurseurs du mouvement, Musset, Hugo, Chopin et Delacroix en sont des représentants. Les romantiques ont pratiqué différentes formes d’expression : la poésie, le drame, le théâtre, l’action politique, la peinture, la musique, la sculpture

Laclos (les Liaisons dangereuses, 1782) et finalement Sade (Justine ou les Malheurs de la vertu, 1797).  - Les romans du sentiment s’imposent dans la deuxième moitié du siècle avec la Nouvelle Héloïse (1761), le roman par lettres de Jean-Jacques Rousseau (sur le modèle anglais du Pamela de Richardson) qui sera le plus gros tirage du siècle en séduisant par sa peinture préromantique du sentiment amoureux et de la nature, ou Paul et Virginie (1787) de Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814).  - Les

siècle, le sentiment s'exprime de plus en plus et prend ainsi une place plus grande. (c'est plutôt dû à la remise de l'homme au centre de l'attention) L'amour devint de plus en plus présent dans les romans. « Julie ou la Nouvelle Héloïse » (1761) de Rousseau, « Manon Lescaut » (1731) de Prévost. Le sentiment de liberté commence aussi a prendre de l'ampleur. Les hommes des Lumières s'engagent contre les oppressions religieuses « Encyclopédie » (1751-1772) de Diderot , morales et politiques. Ils combattent

Biographie de J-J Rousseau. Jean-Jacques Rousseau est né à Genève en juin 1712. Sa mère meurt à sa naissance; il est donc élevé par son père, puis par un pasteur genevois, jusqu'à ce qu'il soit recueilli par Mme de Warens à Annecy (Rousseau a alors seize ans). Il s'installe à Paris en 1742. Il invente une méthode de notation musicale mais ce fut un échec. Après cela, il fréquente le milieu littéraire et rencontre notamment Diderot, Condillac, Grimm, d'Alembert avec qui il se lie. Rousseau rédige des

Dissertation Plan concessif ou « discussion » Sujet: Pensez-vous comme Jean-Jacques ROUSSEAU que certaine lecture peuvent être dangereuses ? La lecture peut être parfois une sorte d'obligation mais elle reste quand même une forme de détente et d'évasion pour l'homme. Jean -Jacques ROUSSEAU philosophe du XVIIIe siècle s'est intéressé a l'enfance et à écrit un manuel de pédagogie dans lequel il nous met en garde contre certaines lectures. Biens que l'information ait un immense succès, les

du religieux sur le politique: sans la liberté, on ne peut vivre une vie pleinement humaine, "la liberté ou la mort!". Une telle idée est bien la fille de l'encyclopédie et de la Révolution française, mais aussi du Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau qui nous avertit que la liberté suit le sort des lois et qu'il n'y a pas de lois sans liberté. = La grandeur de la laïcité est incontestable, c'est cependant ce qui permet de comprendre ses difficultés. Parce qu'elle a la grandeur d'un idéal

rendre plus lumineux le savoir, d’allumer le brasier de la connaissance dans le monde qu’il soit populaire, bourgeois ou noble. Ainsi des gens comme Montesquieu et son Esprit des lois, Diderot et ses nombreuses œuvres philosophiques ou scientifiques, Rousseau et sa remise en question des inégalités, de la pédagogie et bien sûr Voltaire sont quelques-uns des nombreux esprits qui vont faire changer le monde, LEUR monde. Ainsi ils vont s’attaquer à l’ennemi héréditaire de la comédie et de la littérature

l’ancienneté permet d’acquérir du grade faute de guerre, Choderlos de Laclos décide de s’investir dans la littérature et l’écriture. Il crée alors quelques pièces, dont le succès reste mitigé. Il apparaît comme un grand admirateur de Jean-Jacques Rousseau et de son roman, la Nouvelle Héloïse. Les liaisons dangereuses, dont la première édition s’est faite en 1782, est l’œuvre majeure de Choderlos de Laclos, puisqu’elle est aujourd’hui mondialement connue. Mais elle a aussi rencontré un immense

opérations spéculatives ce qui lui permettra de s'installer en 1759 au château de Ferney entouré d'une cour de beaux esprits. Il est néanmoins chicanier et parfois féroce avec ses adversaires comme Jean-Jacques Rousseau. Considéré par la Révolution française - avec Jean-Jacques Rousseau, son adversaire - comme un précurseur (il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau), célébré par la IIIe République (dès 1870 à Paris un boulevard et une place portent son nom, puis un quai, une rue