Rousseau Bonheur Cinquieme Promenade

....................................................230 Livre quatrième – Javert déraillé ......................................... 237 Chapitre I Javert déraillé ........................................................ 238 –3– Livre cinquième – Le petit-fils et le grand-père ................... 254 Chapitre I Où l’on revoit l’arbre à l’emplâtre de zinc ............. 255 Chapitre II Marius, en sortant de la guerre civile, s’apprête à la guerre domestique .............................

...........................................................230 Livre quatrième – Javert déraillé ......................................... 237 Chapitre I Javert déraillé ........................................................ 238 –3– Livre cinquième – Le petit-fils et le grand-père ................... 254 Chapitre I Où l’on revoit l’arbre à l’emplâtre de zinc ............. 255 Chapitre II Marius, en sortant de la guerre civile, s’apprête à la guerre domestique ..............................

peindre moi-même. » (cf. introspection) ; « Ce ne sont pas mes actes que je décris, c’est moi, c’est mon essence3. » Saint Augustin dans ses Confessions retraçait l'itinéraire d'une âme passée de la jeunesse aux erreurs de la dévotion. Jean-Jacques Rousseau cherchera à se justifier devant ses contemporains ; Stendhal cultive l'égotisme ; avant ces deux-là, Montaigne a une autre ambition que de « se faire connaître à ses amis et parents » : celle d'explorer le psychisme humain, de décrire la forme de

trois sœurs : Anna, née en 1836, Mathilde, née en 1839, et Marie, née en 1842. En 1929, les Verne s'installent au 2 quai Jean Bart où naissent Paul, Anne[N 2] et Mathilde. En 1840, nouveau déménagement dans un imposant immeuble de la rue Jean-Jacques Rousseau, proche du port. C'est là que naît Marie, en 1842, dernière enfant de la famille[N 3]. En 1834, à l'âge de six ans, ses parents le mettent en pension dans une école tenue par une certaine Mme Sambin[2]. Cette dernière attend son mari, capitaine

que j'ai eu , de tout temps, la plus profonde horreur pour la solitude . Ce pendant la place que j'occupe et la gravité de mon habit me forcent à rester dans ce château pendant trois mois d'hiver et trois mois d'été. Il est impos sible de faire le bonheur des hommes en général , et celui de ses vassaux en particulier , sans donner par fois à son valet de chambre l'ordre rigoureux de ne laisser entrer personne . Qu'il est austère et difficile , le recueillement de l'homme d'État ! et quel plaisir ne

sphère de ses idées en lui donnant des besoins nouveaux, et en multipliant ses rapports avec les êtres environnants. Quatrième vue : Le conduire à l'usage de la parole en déterminant l'exercice de l'imitation par la loi impérieuse de la nécessité. Cinquième vue : Exercer pendant quelque temps sur les objets de ses besoins physiques les plus simples opérations de l'esprit en déterminant ensuite l'application sur des objets d'instruction. Rapport sur les nouveaux développements de Victor de l’Aveyron

de ses idées en lui donnant des besoins nouveaux, et en multipliant ses rapports avec les êtres environnants. Quatrième vue : Le conduire à l'usage de la parole en déterminant l'exercice de l'imitation par la loi impérieuse de la nécessité. Cinquième vue : Exercer pendant quelque temps sur les objets de ses besoins physiques les plus simples opérations de l'esprit en déterminant ensuite l'application sur des objets d'instruction. Rapport sur les nouveaux développements de Victor de l’Aveyron  : (1806)

- «valoche» (page 271) : valise ; - «valser» : être projeté : «il alla valser à l’autre bout du carré en renversant des verres» (page 247) ; - «en vélo » (page 21) : à vélo (on ne se déplace pas à l’intérieur du vélo !) ; - «virée» (page 245) : promenade ou voyage rapides, tournée des cafés, des boîtes, etc. ; - «zigouiller» : tuer : «Mettons qu’il ait violé une dizaine de petits garçons et qu’il en ait zigouillé trois ou quatre» (page 69) - «J’ai zigouillé comme ça trois à quatre cents personnes»

inscrit dans l'un des quatre carnets d'ébauches, le Carnet de 1908 publié par Ph. Kolb, disant à propos d'une jeune fille: "Dans la deuxième partie du roman, la jeune fille sera ruinée, je l'entretiendrai sans chercher à la posséder par impuissance du bonheur." Situation qui n'est pas sans analogie avec celle du roman publié. Nous pouvons même remonter bien avant les premières ébauches pour rencontrer dans les premiers écrits proustiens la présence de l'homosexualité et de la jalousie. Un essai paru dans

« valoche » (page 271) : valise ; - «valser» : être projeté : «il alla valser à l’autre bout du carré en renversant des verres» (page 247) ; - « en vélo » (page 21) : à vélo (on ne se déplace pas à l’intérieur du vélo) ; - «virée» (page 245) : promenade ou voyage rapides, tournée des cafés, des boîtes, etc. ; - « zigouiller » : tuer : «Mettons qu’il ait violé une dizaine de petits garçons et qu’il en ait zigouillé trois ou quatre» (page 69) - «J’ai zigouillé comme ça trois à quatre cents personnes»