Roulis

www.ccdmd.qc.ca OCÉAN […] Je suis, dans l’ombre étoilée, La figure échevelée De l’inconnu ; Ma vague, qu’Éole augmente, Est, quand il lui plaît, charmante Comme un sein nu. […] Je m’appelle solitude, Je m’appelle inquiétude, Et mon roulis Couvre à jamais des navires, Des voix, des chansons, des rires, Ensevelis. Je suis funeste et salubre. Je suis le fileur lugubre Des noirs vallons Que l’orage sans fin mouille, Et qui file à sa quenouille Les aquilons. Je suis dans l’écume

la passante et de ressentir, en un instant fugace, son intense pouvoir de séduction. « La chevelure » (XXIII) est un poème sensuel, imagé, évocateur à la fois de la femme et de son parfum capiteux, du mouvement incessant de la mer, de son roulis enivrant, des langueurs et de la chaleur des contrées lointaines. Oh l’Afrique brûlante…l’Asie lointaine…l’évasion des voyages décrits en sept strophes…quel talent ! Goutez maintenant, cher lecteur, à un tout autre thème, celui du spleen et

minutieuse du baraquement • Introduction à tous les personnages du roman qui font leur entrée dans le baraquement – introduction théâtrale. (Candy = homme à tout faire, le patron, Curley= fils du patron, la femme à Curley = la prostituée, Slim = le roulier sorte de chef d’équipe, Carlson= un débardeur (ouvrier agricole) + le chien + mention de Crooks) • Décrit par leur physique, fonction et statut. À travers le discours de Candy ou par le regard de Georges et Lennie • Personnage stéréotypés par leur

leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l'éternelle chaleur. Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d'un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes. Dans l'ardent foyer de ta chevelure, je respire l'odeur du tabac mêlé à l'opium et au sucre; dans la nuit de ta chevelure, je vois resplendir l'infini de l'azur

mort par la suite. Curley maintient son autre main dans un gant enduit de vaseline pour « avoir la main douce lorsqu'il caresse sa femme » ce qui est sujet de moquerie de la part des ouvriers. Slim : Homme qui a une voix très grave, il est le roulier du ranch, sympathise avec George, allure du cow-boy parfait. C'est le seul qui puisse effrayer Curley, avec son père. Lorsque Curley demande à Slim où est passée sa femme, Slim lui dit qu'il n'a pas que ça a faire. Curley est effrayé et s'excuse,

réalise au début des planeurs légers (1,20 m. d'envergure) et des avions à train tricycle munis d'un profil plat du type "Clark Y" adapté au vol lent (extrados convexe, intrados plat), avec du dièdre positif (6° à 8°) pour améliorer la stabilité en roulis. Le centrage est entre 20 et 40 % de la corde. Pour augmenter la maniabilité, on peut installer des ailerons "fulls pan" qui occupent tout le bord de fuite. Pour réaliser un aéromodèle on peut partir d’une conception personnelle, utiliser des plans

leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l’éternelle chaleur. Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d’un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes. Dans l’ardent foyer de ta chevelure, je respire l’odeur du tabac mêlé à l’opium et au sucre ; dans la nuit de ta chevelure, je vois resplendir l’infini de l’azur

mouvement d’expansion de l’imagination, à tel point que la chevelure finit par contenir l’Univers tout entier (macrocosme est contenu dans le microcosme). Une idée, une image, une sensation en appelle d’autres. L’image de l’océan appelle la sensation de roulis, de bercement. Pas d’incohérence de ce texte mais une unité poétique. La rêverie à partir de la chevelure fait donc naît un ensemble d’image qui compose un « éblouissant » rêve, une sorte de monde paradisiaque et d’atmosphère semblable à ceux d’un

comme les odeurs et la chaleur mais pas de description précise sur un lieu. Le thème du voyage est évoqué dès la ligne 6 « mon âme voyage » puis développé avec le champ lexical maritime « voilures, mâtures, grandes mers, océan, navires, beau navires, roulis, port ». => Le port est un lieu de départ, d’arrivée, de rencontres, de mélanges du coup une source de rêverie poétiques. Le port est aussi un lieu viril, même si Beaubeau parle de la chevelure d’une femme : « homme vigoureux de toutes nations

En France, le magazine pour enfant Le Journal de Tintin tire un article sur le roll'surf en mai 1966, montrant des figures inspirées du surf, de la gymnastique et de l'athlétisme (saut en hauteur). Au Québec, toujours en 1966, Claude Jutra réalise Rouli-roulant, un court-métrage sur la passion de jeunes montréalais pour ce sport et la loi qui en interdit la pratique dans les rues. La première compétition date de 19632. À cette même date, les premiers skates font leur apparition en Europe et en France