Rougon Macquart

.Il expose le monde du travail (commerce, industrie…), les paysages urbains et s’inspire beaucoup du machinisme et de la Révolution Industrielle. 6) En s’inspirant de La Comédie humaine de Balzac, Zola écrit une grande fresque du nom de Rougon-Macquart. Elle comporte vingt romans dont La Curée (1872), L’Assommoir (1877), Nana (1880) , Au Bonheur des Dames (1883) , Germinal (1885) , L’Œuvre (1886) ou encore La Bête humaine (1890) .

tempérament sur le comportement des individus. II Le roman face à diverses confrontations : · L'histoire : · La Curée et le Second Empire (les événements ; l'empereur). · La société sous le second Empire vue par Zola dans La Curée. (le projet des Rougon-Macquart ; la bourgeoisie ; la vie quotidienne des élites…) · Paris vu par Zola (sa vision des projets d'Haussmann ; la description de Paris ; la géographie sociale inscrite dans le roman….) · La peinture : · Les descriptions impressionnistes de Zola

contrat qui le lie à l’éditeur Georges Charpentier lui assurant cinq cents francs par mois, que commence véritablement sa carrière littéraire, mais il ne renonce pas au journalisme. Le succès de L'Assommoir, publié en 1877, septième volume des Rougon-Macquart, lui confère à la fois la notoriété et l’aisance Les grands romans de Zola, Nana en 1880, Au Bonheur des dames en 1883 Germinal en 1885 L'Oeuvre en 1886 Convaincu que le véritable coupable de l’affaire Dreyfus est le commandant Esterhazy, qui

il est chef de la publicité aux éditions Hachette. À l'âge de 27 ans, en 1867, il publie son premier roman réaliste nommé Thérèse Raquin et un an après il publie « l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire » nommé Rougon-Macquart avec lequel il obtient le succès. Cette série de 20 livres l'occupe pendant 25 ans. Ces livres montrent l'affrontement des forces naturelles soumises à l'environnement social, qui gouvernent le destin des personnages. C'est le 7e livre appelé

à trois. Il devient rapidement l’ennemi de Gasparine, « l’autre madame Campardon ». Venant de Marseille, pour avoir une situation dans le haut commerce, il a déjà des rentes et de l’argent à placer (très important pour la suite de la saga Les Rougon-Macquart). Campardon lui trouve rapidement un emploi chez les Hédouin, qui dirigent Au Bonheur des Dames, un petit magasin qui n’a alors pas vraiment pignon sur rue. Octave, qui est arrivé avec la ferme idée de conquérir la Parisienne, fait déjà son choix

qu’il mène de front avec le journalisme auquel il ne renonce pas. Peu à peu ses romans lui valent l’amitié d’écrivains comme Flaubert, les frères Goncourt, Daudet et Tourgueniev. Le succès de L’Assommoir, publié en 1877, septième volume des Rougon-Macquart, lui confère à la fois la notoriété et l’aisance. Sa maison de Médan devient, le lieu de rendez-vous de jeunes écrivains tels que Huysmans ou Maupassant. Ses grands romans, Nana en 1880, Au bonheur des dames en 1883, Germinal en 1885, l’Œuvre

Neuvième de la série Les Rougon-Macquart, il traite le thème de la prostitution féminine à travers le parcours d'une courtisane dont les charmes ont affolé les plus hauts dignitaires du Second Empire. L'histoire commence en 1868. Née dans la misère, Nana est la fille de Gervaise et de Coupeau (voir L'Assommoir). Le début du roman nous la montre dans la gêne, manquant d'argent pour élever son fils Louiset qu'elle a eu à l'âge de seize ans, faisant des passes pour arrondir ses fins de journées.

adolescence) Puis influencé par les études de Prosper Lucas et de - Maupassant (Ecrivain de l’époque) Charles Letourneau sur l’hérédité et la psychologie des passions, il écrit les Rougon-Macquart composés de 20 tomes. Ensuite, il se lance dans une carrière de journaliste engagé et publie le 13 janvier 1898 «  j’accuse » dans le journal l’Aurore pour venir en aide à Dreyfus accusé d’espionage . Date de naissance : 2 avril 1840 à paris

cette symbolique de modernité détournée et pervertie par Zola répond ici une vision toute allégorique du pouvoir, et plus précisément de la fin de l’Empire. Située entre 1869 et 1870, l’intrigue de La Bête humaine transforme la fin du cycle des Rougon-Macquart en chronique d’une mort annoncée : sous la ruée, des hommes, des capitaux et du progrès, se révèle l’instinct de mort qui fait imploser la société. Aussi est-ce à plus d’un titre que l’image finale de La Bête humaine peut être considérée comme

un des premiers et des plus frappants exemples de Naturalisme littéraire. Inspiré par l’exemple de La Comédie Humaine de Balzac, Zola dressa en 1868-1869 les plans d’une série de romans qui deviendront plus tard les vingt volumes du cycle des Rougon-Macquartl, histoire naturelle d’une famille sous le Second Empire ,et qui constitueront sa préoccupation la première pendant les 25 années suivantes .La série retrace la vie des membres d’une même famille dans des contextes sociaux et politiques variés