Rouge Poison Michèle

........................................................ 70 XLVII. – Harmonie du soir ........................................................71 XLVIII. – Le flacon.................................................................... 72 XLIX. – Le poison ..................................................................... 73 L. – Ciel brouillé ........................................................................ 74 LI. – Le chat.................................................................

noir mugit comme un orgue de fer ! Les loups vont répondant des forêts violettes : A l'horizon, le ciel est d'un rouge d'enfer… Holà, secouez-moi ces capitans funèbres Qui défilent, sournois, de leurs gros doigts cassés Un chapelet d'amour sur leurs pâles vertèbres : 13 Ce n'est pas un moustier ici, les trépassés ! Oh ! voilà qu'au milieu de la danse macabre Bondit dans le ciel rouge un grand squelette fou Emporté par l'élan, comme un cheval se cabre : Et, se sentant encor la corde raide au cou

l'éveilla à la musique ; son père, qui dessinait et peignait volontiers, lui avait transmis ses dons picturaux ; sa mère l'emmena très tôt au théâtre, où il contracta ce que, dans “La difficulté d'être“, il appela «le mal rouge et or», par allusion au rideau traditionnel en velours rouge et à frange d’or qu’il avait vu se lever lorsqu’il assista à une première représentation au Châtelet du ‘’Tour du monde en quatre-vingts jours’’. Dans sa chambre, il improvisait des spectacles où il réinventait le monde

l'adversaire ? Lorsque le Tour de France est passé chez nous, la foule n'a-t-elle pas applaudi Indurain, Rominger, Chiappucci et Bruyneel dans un même élan ? Devant la carence de la formation des jeunes, l'Union belge de football et son secrétaire général, Michel D'Hooghe, proposent une série de mesures : les clubs de division 1 disposeraient d'au moins quatre entraîneurs diplômés ; pour les équipes d'âge, ce nombre étant ramené à deux pour les autres clubs. Dans l'enseignement, il serait demandé aux communautés

physique de l’homme. Avec EA U SAUVAGE, dans sa communication grand public, Dior habille l’homme d’une simple serviette nouée autour de la taille. L’homme expose sa nudité dans les pages des magazines et par là même affirme sa sexualité à l’instar de Michel Polnareff qui n’hésite pas à exhiber en 4X3M son postérieur pour la sortie de son titre « je suis un homme ». Est-il besoin de rappeler que mai 1968 c’est surtout et avant tout la libération sexuelle. EAU SAUVAGE, dans sa création olfactive, développe

répond à l’idée, chère à Victor Hugo et aux romantiques, que le poète a pour mission d’exprimer les préoccupations de son époque et de guider les hommes vers la liberté et le bonheur. Pour introduire ce sujet, je vais vous montrer un texte écrit par Michel Piquemal , un écrivain français né en 1954 qui s’intitule « Poésie engagée», de son œuvre Paroles de révolte écrit en 1995. Poésie engagée Toujours l'Homme se dresse pour refuser l'insoutenable. Et les mots jaillissent de sa bouche, durs et beaux

Berg scénographie et costumes Pierre-André Weitz lumières Elie Romero régie plateau Marine Molard musique Gabriel Philippot assistanat à la mise en scène Léo Cohen-Paperman avec Loïc Brabant La duègne, Ricardo Vanessa Fonte doña Sol Jean-Michel Guérin don Ruy Gomes Marine Molard don Sanchez Antoine Philippot Hernani Pierre-Benoist Varoclier don Carlos directeur de production Vincent Marcoup administration Anne Delépine Coproduction ici et maintenant théâtre / Espace Jean Vilar

PATAKIS, ATHÈNES, AVRIL 1991 Résumé Un pays sans ciel. Un gouvernant cupide avec un télescope en or et une plume noire. Un conseiller infernal. Une loi qui interdit la semaine du Carnaval et les anniversaires. Un magicien sournois. Un coquelicot rouge et des nombreux oreillers qui sont fabriqués pour priver les citoyens des rêves. Mais les rêves ne disparaissent pas si facilement. En revanche, ces petits rêves, qui ne font pas grande impression, se multiplient jusqu’à ce qu’ils deviennent une trombe

Berg scénographie et costumes Pierre-André Weitz lumières Elie Romero régie plateau Marine Molard musique Gabriel Philippot assistanat à la mise en scène Léo Cohen-Paperman avec Loïc Brabant La duègne, Ricardo Vanessa Fonte doña Sol Jean-Michel Guérin don Ruy Gomes Marine Molard don Sanchez Antoine Philippot Hernani Pierre-Benoist Varoclier don Carlos directeur de production Vincent Marcoup administration Anne Delépine Coproduction ici et maintenant théâtre / Espace Jean Vilar

l'opacité d'images rayonnantes. Il faut se laisser porter par l'enchaînement de métaphores solaires, dans l'évocation d'un accouchement cosmique, préparant l'image heureuse de l'arbre de la négritude (« le kailcédrat royal ») plongeant «dans la chair rouge du ciel » et « dans la chair ardente du ciel». » Cela permet au poète de s’opposer à la culture blanche, à «l’Europe colonisatrice [...] comptable devant l’humanité du plus haut taux de cadavres de l’Histoire», de dégager des figures universelles de