Rossignol Mon Mignon

spectres incertains; Vers les buissons errent les lucioles; Les chats-huants s'éveillent, et sans bruit Rament l'air noir avec leurs ailes lourdes, Et le zénith s'emplit de lueurs sourdes. Blanche, Vénus émerge, et c'est la Nuit. VII LE ROSSIGNOL Comme un vol criard d'oiseaux en émoi, Tous mes souvenirs s'abattent sur moi, S'abattent parmi le feuillage jaune De mon coeur mirant son tronc plié d'aune Au tain violet de l'eau des Regrets, Qui mélancoliquement coule auprès, S'abattent

condensées, qui déroulaient leurs blancs flocons sur les pointes des herbes. Nous pensions être en paradis». « les lumières pâlissent », « le jour sombre », les tilleuls sont « assombris », la flûte ne « lutte + si vivement avec les trilles du rossignol », tout le monde est pâle, le bouquet de Sylvie s’ »effeuille ». ó Quelque chose du passé est bien demeuré en Sylvie, mais la prise de conscience du décalage s’opère : « Sylvie, vous ne m’aimez+ »/ « Mon ami, il faut se faire une raison ;

modern belle going to the rooms at Bath, 1796 caricature by James Gillray satirizing the newest fashion of women wearing one or two vertical feathers in their headdresses. Dans le costume civil en France, les chapels de paons ornent les têtes des mignons dès le XIIIe. La noblesse du Moyen Âge a tendance à afficher sa richesse et son statut par le port de somptueux plumages. Ils sont l’ apanage de la virilité et sont surtout portée par les hommes. L’historien de mode Colin Mc Dowell souligne très bien

clairLes découpures du vert sombre.… Un chant ; comme un écho, tout vifEnterré, là, sous le massif…– Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre…– Un crapaud ! – Pourquoi cette peur,Près de moi, ton soldat fidèle !Vois-le, poète tondu, sans aile,Rossignol de la boue… – Horreur ! –… Il chante. – Horreur !! – Horreur pourquoi ?Vois-tu pas son œil de lumière…Non : il s’en va, froid, sous sa pierre.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Bonsoir – ce crapaud-là c’est moi.              Ce soir, 20 Juillet

Cophetua s'éprit de la mendiante !… Il n'entend pas, il ne remue pas, il ne bouge pas. Il faut que ce babouin-là soit mort : évoquons-le. Roméo, je te conjure par les yeux brillants de Rosaline, par son front élevé et par sa lèvre écarlate, par son pied mignon, par sa jambe svelte, par sa cuisse frémissante, et par les domaines adjacents : apparais-nous sous ta propre forme ! – 39 – Benvolio. – S'il t'entend, il se fâchera. Mercutio. – Cela ne peut pas le fâcher ; il se fâcherait avec raison, si je

s'éprit de la mendiante !... Il n'entend pas, il ne remue pas, il ne bouge pas. Il faut que ce babouin-là soit mort : évoquons-le. Roméo, je te conjure par les yeux brillants de Rosaline, par son front élevé et par sa lèvre écarlate, par son pied mignon, par sa jambe svelte, par sa cuisse frémissante, et par les domaines adjacents : apparais-nous sous ta propre forme ! BENVOLIO. - S'il t'entend, il se fâchera. MERCUTIO. - Cela ne peut pas le fâcher ; il se fâcherait avec raison, si je faisais surgir

camelotes, d’espérances et de comptes et dans la fièvre aussi, moite elle aussi. Cette pluie tellement dense qu’on en avait la bouche fermée quand elle vous agressait comme un bâillon tiède. Ce déluge n’empêchait pas les animaux de se rechercher, les rossignoles se mirent à faire autant de bruit que les chacals. L’anarchie partout et dans l’arche, moi Noé, gâteux. Le moment d’en finir me parut arrivé. (Voyage, p. 175) Retiré à l’intérieur des terres, Bardamu est touché de plein fouet par la saison des

Cophetua s’éprit de la mendiante !… Il n’entend pas, il ne remue pas, il ne bouge pas. Il faut que ce babouin-là soit mort : évoquons-le. Roméo, je te conjure par les yeux brillants de Rosaline, par son front élevé et par sa lèvre écarlate, par son pied mignon, par sa jambe svelte, par sa cuisse frémissante, et par les domaines adjacents : apparais-nous sous ta propre forme ! BENVOLIO S’il t’entend, il se fâchera. MERCUTIO Cela ne peut pas le fâcher ; il se fâcherait avec raison, si je faisais surgir dans

en souriant, mais tout le monde en a un ! » L’enfant reprit péniblement au milieu des spasmes de son chagrin : « Moi... moi... je n’en ai pas. » […] Guy de MAUPASSANT, « Le Papa de Simon » in la Maison Tellier, 1881. 13 QUELQUES FAITS DIVERS ROSSIGNOL. La perte de clé la plus catastrophique de l’histoire C’est peut-être parce que la vigie du « Titanic » n’avait pas accès à ses jumelles que le paquebot a coulé. Q UELQUES JOURS AVANT l’appareillage du Titanic pour son premier — et dernier- voyage

 non répertorié dans les dictionnaires à la fin du  XIXe s., se comprend d’après le contexte.) 3. Formidable : qui inspire ou qui est de nature à inspirer  une grande crainte. (C’est là le sens étymologique du  terme : du latin, formidare : craindre, redouter.) 3 13 QUELQUES FAITS DIVERS ROSSIGNOL. La perte de clé la plus catastrophique de l’histoire C’est  peut­être  parce  que  la  vigie  du  « Titanic »  n’avait  pas  accès  à  ses  jumelles  que  le  paquebot a coulé. Q UELQUES JOURS AVANT  l’appareillage  du  Titanic  pour  son  premier