Rossignol Mon Mignon

veuve Vauquer appuyait ses calomnies. Quelques mois après le départ de cette désastreuse comtesse qui avait su vivre pendant six mois à ses dépens, un matin, avant de se lever, elle entendit dans son escalier le froufrou d'une robe de soie et le pas mignon d'une femme jeune et légère qui filait chez Goriot, dont la porte s'était intelligemment ouverte. Aussitôt la grosse Sylvie vint dire à sa maîtresse qu'une fille trop jolie pour être honnête, mise comme une divinité , chaussée en brodequins de prunelle

bouchon vient de sauter. — Je comprends rien ! s’écria Jim. Tout ce que je peux vous raconter, c’est ce qui s’est passé. C’était il y a deux jours, un soir très tard. Caroline est venue et… elle ne m’a jamais vraiment attiré, vous savez ! Elle est mignonne, c’est sûr, et mes parents étaient en voyage, mais je n’ai jamais été le genre de mec à… — Laisse tomber. Parle-nous plutôt de Caroline et d’Isobel. — Eh bien, Caroline est arrivée dans une tenue… le haut était quasiment transparent. Et

blancheur, la sienne était rousse ! Tous ces élégants gentilshommes étaient merveilleusement gantés, et il avait des gants de gendarme ! Celui-ci badinait avec une canne délicieusement montée. Celui-là portait une chemise à poignets retenus par de mignons boutons d'or. En parlant à une femme, l'un tordait une charmante cravache, et les plis abondants de son pantalon tacheté de quelques petites éclaboussures, ses éperons retentissants, sa petite redingote serrée montraient qu'il allait remonter sur

veuve Vauquer appuyait ses calomnies. Quelques mois après le départ de cette désastreuse comtesse qui avait su vivre pendant six mois à ses dépens, un matin, avant de se lever, elle entendit dans son escalier le froufrou d'une robe de soie et le pas mignon d'une femme jeune et légère qui filait chez Goriot, dont la porte s'était intelligemment ouverte. Aussitôt la grosse Sylvie vint dire à sa maîtresse qu'une fille trop jolie pour être honnête, mise comme une divinité, chaussée en brodequins de prunelle

veuve Vauquer appuyait ses calomnies. Quelques mois après le départ de cette désastreuse comtesse qui avait su vivre pendant six mois à ses dépens, un matin, avant de se lever, elle entendit dans son escalier le froufrou d'une robe de soie et le pas mignon d'une femme jeune et légère qui filait chez Goriot, dont la porte s'était intelligemment ouverte. Aussitôt la grosse Sylvie vint dire à sa maîtresse qu'une fille trop jolie pour être honnête, mise comme une divinité, chaussée en brodequins de prunelle

veuve Vauquer appuyait ses calomnies. Quelques mois après le départ de cette désastreuse comtesse qui avait su vivre pendant six mois à ses dépens, un matin, avant de se lever, elle entendit dans son escalier le froufrou d’une robe de soie et le pas mignon d’une femme jeune et légère qui filait chez Goriot, dont la porte s’était intelligemment ouverte. Aussitôt la grosse Sylvie vint dire à sa maîtresse qu’une fille trop jolie pour être honnête, mise comme une divinité, chaussée en brodequins de prunelle

veuve Vauquer appuyait ses calomnies. Quelques mois après le départ de cette désastreuse comtesse qui avait su vivre pendant six mois à ses dépens, un matin, avant de se lever, elle entendit dans son escalier le froufrou d’une robe de soie et le pas mignon d’une femme jeune et légère qui filait chez Goriot, dont la porte s’était intelligemment ouverte. Aussitôt la grosse Sylvie vint dire à sa maîtresse qu’une fille trop jolie pour être honnête, mise comme une divinité , chaussée en brodequins de prunelle

veuve Vauquer appuyait ses calomnies. Quelques mois après le départ de cette désastreuse comtesse qui avait su vivre pendant six mois à ses dépens, un matin, avant de se lever, elle entendit dans son escalier le froufrou d'une robe de soie et le pas mignon d'une femme jeune et légère qui filait chez Goriot, dont la porte s'était intelligemment ouverte. Aussitôt la grosse Sylvie vint dire à sa maîtresse qu'une fille trop jolie pour être honnête, mise comme une divinité, chaussée en brodequins de prunelle

MEYNIER, Les noms de lieux romans en France et à l'étranger. Mém. de la Soc. d'Emulation du Doubs LIII (1897), 329-368 ; LIV (1898), 57-178 ; LV (1899), 13-109 ; LVI (1900), 113 ; LVII (1901), 17-54. Tirage à part Besançon, 1901, 431 pp. 749. M. MIGNON, Sur quelques noms de fleuves français cités par Dante dans la "Divine Comédie". Mélanges géographiques offerts au doyen Ernest Bénévent (Gap, 1954), 391-393. 750. R. PARMLY, The geographical references in the "Chanson de Garin le Loherain". New York

Mourlevat (Mango Jeunesse). On pourra faire relever aux élèves, dans tout l’album, les nombreuses images qui connotent la lectureécriture, dans cette étrange bibliothèque : une plume d’oie, un encrier, un labyrinthe, un manuscrit où l’on peut lire : « Mignonne allons voir si la rose… », un trousseau de clés, un aéroplane qui pourrait bien être celui du Petit Prince, etc. Une autre activité consisterait à leur faire retrouver les vrais titres d’œuvres, ici détournés : Les Trois Mousses à terre, Trois Hommes