Rossignol Délocalisation

Quels sont les fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ? Notions : Avantage comparatif, dotation factorielle, libre-échange et protectionnisme, commerce intra-firme, compétitivité prix et hors prix, délocalisation, externalisation, firmes multinationales, spécialisation. En partant d’une présentation stylisée des évolutions du commerce mondial et en faisant référence à la notion d’avantage comparatif, on s’interrogera sur les déterminants des échanges internationaux

social de l’entreprise investie. En deçà (en dessous) de 10% on parle simplement d’investissement international de portefeuille. On distingue 4 types d’IDE: L’implantation ou l’agrandissement d’un site de production à l’étranger c’est une usine La délocalisation c’est à dire la fermeture d’une usine en France pour la ré-ouvrir à l’étranger La fusion acquisition internationale , on rachète une entreprise à l’étranger Le joint-venture (coentreprise) c’est une usine détenue en commun avec une autre entreprise

Quel est le nombre d’employés ? 2/ Produisez-vous à Romans ? Si oui, pourquoi choisir de produire à Romans ?  3/ Vendez-vous ailleurs qu’à Romans ? France ? Monde ? 4/ Avez-vous subi des délocalisations ? Ou avez-vous été tenté de délocaliser et pourquoi ? 5/ Avez-vous connu des crises ? Si oui, comment vous en êtes vous sortis ? 6/ Qu’avez-vous fait pour faire face à la concurrence ? 7/ Quelle est

paraphraser les documents fournis. Documents fournis : 4 articles des Echos Durée de l’épreuve : 2 heures 1  Les Echos, jeudi 4 novembre 1999, p. 17 Tricotage des Vosges fait du réassort rapide l'une de ses priorités Refusant la fatalité de la délocalisation, Jacques Marie, ancien PDG de Dim, a fêté le cinquième anniversaire de sa société Tricotage des Vosges. Et compte dégager des bénéfices dès l'an prochain. Lorsque, à cinquante-six ans, Jacques Marie a quitté son poste de PDG de Dim, il aurait

l’innovation et éviter la croissance en volume Correction : plus ils produisent, moins ils gagnent d’argent par employé (taylorisme = perte créativité/qualité). Deux choix s’offrent à eux : Rentrer dans une logique de grand groupe : ouverture du K, délocalisation, … Diminuer la production, relancer créativité, embaucher de designers (jouer sur l’innovation), retrouver la qualité ; il aurait aussi pu revenir vers sa « corp competence » à savoir vieillir le bois (et non plus uniquement les meubles) et ainsi

(Seattle) et surtout industrie aérospatiale (NASA) → Multinationalisation des entreprises américaines : marché à fort pvr d'achat, délocalisations, contournement barrières douanières → 40% des 500 premières FTN : américaines → Industrie « challengée » par les pays émergents : textile, sidérurgie, chantiers navals → régions difficultés (Cleveland) + délocalisations + menace pour le « made in America » Renouveau dans les années 1990 avc montée en gamme dans la DIT (Dell, HP, IBM) C) Un capitalisme

; le rapport de force s’inverse et les syndicats sont obligés de diminuer leurs revendications devant l’ampleur que prend la crise. Ce partage se fait donc souvent de manière conflictuelle, grèves pour les salariés, menaces de licenciement de délocalisation de la part des entreprises aujourd’hui. c. Des enjeux de politique économique Les gouvernements doivent souvent gérer ce problème de partage de la valeur ajoutée. Ce sont des choix de politique économique. Au début des années 80, pour rétablir

et de l’Est est plus faible que dans les pays développés ou avancés. 1. Dans les nouveaux pays emergents comme l’Inde, la Chine ou l’Afrique, le cout du travail est plus faible que dans les pays avances (doc. 1), ce qui explique certaines delocalisations notamment pour les activites intensives en main-d’oeuvre. 2. De meme, au sein de l’Europe, certains nouveaux Etats membres ont des couts horaires beaucoup plus faibles que des pays comme la France, la Norvege ou la Suede. En Norvege, le cout

 Mondialisation, emploi et salaires 1) Grace au document proposé, on constate que les délocalisations sont une des causes des fortes pertes d’emploi en France. En effet, beaucoup d’emplois dans les pays du Nord sont désormais substitués par des emplois dans les pays du Sud à cause de la délocalisation dans des pays ou la main d’oeuvre coûte moins cher. En 2003 par exemple, le nombre d’emplois perdus au bénéfice des pays du Sud était d’environ 1,5 millions de personnes tandis qu’en 2008 le nombre

de localisation d’une nouvelle implantation d’une filiale (document 1). En effet, le coût salarial est le coût principal de la production, surtout pour des activités fortement utilisatrices de main-d’œuvre peu qualifiée. Ce coût explique les délocalisations dans l’industrie textile, le coût horaire d’un salarié pakistanais étant plus de 60 fois moins élevé qu’en Allemagne (document 2). Cependant, il faut nuancer cet écart de coût salarial car la productivité des salariés allemands du textile est