Ronsard Syntaxe

Questions sur les poèmes Louise Labé : questions sur le manuel p.109 Ronsard • Etudiez la figure de style sur laquelle repose le poème. Comment cette figure d’analogie s’inscrit-elle dans la structure syntaxique et métrique ? • Etudiez plus précisément la correspondance entre les deux termes de la figure d’analogie. • Comment le poète a-t-il exprimé le charme et la fraîcheur de la rose ? • Comment a-t-il, par les mots et le rythme, évoqué le déclin de la fleur ? • Quels termes employés

Commentaire : Sonnets pour Helene , Ronsard Ronsard déjà vieillissant consacre deux livres de sonnets à Hélène de Surgère, fille d’honneur de Catherine de Médicis. Il chante la beauté de la jeune fille et l’amour qu’elle lui inspire dans un largue codifié et à travers des images raffinées. Ronsard, poète humaniste du XVIème siècle, doit l’usage du sonnet à Pétrarque (le Canzoniere ) il est entré autour d’une figure féminine célébrée, qui répond au prénom rayonnant de Laure. Pétrarque lui donnât

l’histoire, mais provoque sa fin (cf char de torture de l’enfer de Jugement). - intermède poétique, pause décorative, mythologique q tranche sur l’inspiration historique. Nous interroger sur sa poéticité. Palinodie. Description, «fleurs poétiques» (Ronsard). Ornements après l’imitation des psaumes = problématique. - violent effet de collage = quand l’histoire fait irruption dans la fiction poétique. - merveilleux chrétien //merveilleux païen q établissent différents rapports au monde - portée métalinguistique

poète • Si la poésie est apte à exprimer les sentiments => personnalité du poète : être plus sensible que les autres. Il ressent les sentiments d’une manière plus intense et il parvient à les mettre en mots (Cf. « Mignonne allons voir si la rose » de Ronsard : dépasse le thème conventionnel (la jeune fille belle à l'image de la rose) : donne de l'amour l'image d'un jeu intelligent mettant en œuvre des images gracieuses, évocatrices et des raisons pour séduire.) • Pour Eluard, vivre c’est aimer et être

(prenez des exemples de votre corpus). Dialogue sentimental, tutoiement et désignation directe de la femme aimée : Lou chez Apollinaire, Elsa chez Aragon Expression du sentiment amoureux (Hugo, Ronsard,…) : ex « Marie, qui voudrait votre beau nom tourner, / Il trouverait Aimer : aimez-moi donc, Marie ». Chez Ronsard, référence à l’antiquité : le culte de Vénus vient remplacer celui de Marie (Rime avec prie au vers suivant : prière de l’aimer) Travail sur la forme le sonnet …. Rapport entre la poésie

préconisée par Aragon nous suggère aussi de briser les règles de grammaire. La syntaxe devrait donc selon lui disparaître rendant ainsi les mots indépendants de la phrase dans laquelle ils s’inscrivent. C’est le cas dans tous les poèmes du recueil Alcools où aucune ponctuation n’est présente, à l’exception des poèmes du bestiaire. Ces poèmes ne sont plus composés de phrases s’inscrivant dans une strophe comme à l’époque de Ronsard, mais de mots se succédant les uns les autres sans début ni fin. Le langage

pour mieux attribuer les caractéristiques d’une célébrité à un être humain. (ex : « Johnny Depp est un apollon ») L'ANTITHESE Elle met en rapport deux termes de sens opposés (ex. : «Sa face riait, sa pensée non», Hugo). L'OXYMORE Elle allie par la syntaxe deux termes incompatibles par le sens (ex. : «Cette obscure clarté qui tombe des étoiles», Corneille). ALLITERATION. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots (ex : allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : « Cassandre

Comme on voit sur la branche, de Ronsard En 1555, Ronsard est tombé amoureux d’une jeune paysanne de Bourgueil, Marie Dupin, âgée de quinze ans. Il lui a dédié des poèmes simples et clairs, sonnets et chansons. Il lui a consacré la moitié des sonnets de la Continuation des Amours, 1555 et toute la Nouvelle Continuation des Amours, 1556. Il a véritablement aimé Marie, il jalousait ses rivaux et souffrit de se voir préférer le gentilhomme qu’elle épousa. Le « servage de Bourgueil » dura jusqu’en

I- Un langage poétique libre et original. 1. Une oralité renforcée par l'emploi d'un registre de langue populaire. La syntaxe est également escamotée dans les phrases où disparaisse les adverbes de négations comme dans ce même vers 33, ainsi qu'au vers 43 « si tu le fais pas ». L’effet d'oralité généré par ses élisions intempestives contribue à assoir la modernité du poème. A ce sujet on peut encore noter, l'interjection « ah ah » qui se dispense des marques du discours direct. On trouve aussi

pénalisée à hauteur de 2 points. Cette pénalisation globale sera appliquée à partir de plus de 10 erreurs graves par page. Il est essentiel que toutes les copies soient traitées équitablement dans ce domaine. Si la copie manifeste également une syntaxe et un lexique défaillants au point d’altérer l’intelligibilité de certains passages, elle pourra être globalement sanctionnée de 4 points. Ce barème s’applique à l’ensemble de la copie. Si une pénalisation s’impose, elle sera mentionnée sur la