Ronsard Sonnet 20

Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif ou mort ton corps ne soit que roses. Pierre de Ronsard Pourquoi ce texte appartient au mouvement littéraire : * C’est une poésie en langue française * Sonnet * Le sentiment amoureux Le Baroque Médée Médée [...] Quiconque sans l'ouïr condamne un criminel. Son crime eût-il cent fois mérité le supplice, D'un juste châtiment il fait une injustice

⇨ écriture idéographique (support durable) ⇨ temples (bas reliefs, sculpture) sur montagne ⇨ calendrier solaire (1 mois = 20 jours ; 1 an = 18 mois ; 5 jours sans nom ; = 365 jours ; 1 ère = 52 ans) ⇨ culture survie grâce aux aztèques nbreux dieux = syncrétisme religieux _ sacrifices sanglants empire divisé en plusieurs groupes ⇨ 1 groupe = 20 clans _ terres = propriété du clan 1 empereur entouré de 4 chefs élus = conseil peuple monogame = F à égalité de H légende de l’homme

1/ Le romantisme 2/ Baudelaire 3/ Mallarmé, Verlaine, Rimbaud, Lautréamont 4/ Apollinaire et le surréalisme 5/ La poésie africaine d’expression française 6/ Poètes du signifiant et poètes du signifié V. Envoi > p. 25 Bibliographie > p. 25 > p. 20 09108315_016_025.qxd 18/07/08 11:08 Page 17 DOSSIER L’évolution des formes poétiques au XIXe et au XXe siècles I. Ouvertures Pour aborder cette évolution, on peut relever un certain nombre de perceptions et de sentiments nouveaux qui vont expliquer

dans le but de les dépasser. Ils imposent l’alexandrin, l’ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures et abordent les quatre principaux thèmes de la poésie élégiaque : l’amour, la mort, la fuite du temps et la nature. Désireuse d'exploiter toutes les ressources de la langue française, l'école de la Pléiade développe une poésie fondée sur l'imitation des modèles antiques. Écrivains représentatifs : Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Pontus de Tyard, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau

l’expérience vécue (strophes 3 et 4). L’imparfait insiste sur la durée des actions et le passé simple sur le caractère bref et inattendu des moments vécus. Dans notre texte, le présent sert à l’observation générale et à la réflexion. À partir du vers 20, on note la présence d’apostrophes et de l’impératif présent. À partir du vers 29, les prières sont remarquables, ainsi que le subjonctif présent dans les trois dernières strophes (au début des vers). Il y a correspondance entre les temps : le présent

de Dieu « nos veines et frivoles entreprises ». « Tous nos efforts ne peuvent... » l.18 : négation, petitesse de l’ambition. Insistance sur la modestie de l’objectif recherché. Hiérarchisation des valeurs qu’on retrouve dans la référence à Platon (l.20) -> apparaît comme un élément d’autorité. Montaigne créé un dialogue avec l’Antiquité « c’est une nation » (l.32) -> échange (dialoguer sur un plan argumentatif) -> replacer le débat dans une perspective qui exclut l’ethnocentrisme européen car Platon

demander à chacun d’établir un florilège personnel (les poèmes qui paraissent les plus forts, en disant éventuellement pourquoi) *Surtout, faire lire des poèmes que l’on aime ; faire en sorte que cela passe, selon nos goûts propres, que ce soit Ronsard, Char, Cadou voire certains que d’autres trouveraient plus légers. Faire constituer aux élèves de 1re une anthologie poétique, en guise de lecture cursive, pendant la séquence sur l’objet d’étude « Poésie ». I.REMARQUES Les intérêts de cette

s’exprime à travers différentes marques du registre polémique : la modalité exclamative et l’hyperbole dans la phrase qui fait de cette abominable affaire Dreyfus (l. 15-17) une marque d’infamie, le vocabulaire de plus en plus dépréciatif (souillure, l. 20 ; crime social, l. 22), la vigoureuse antithèse : Puisqu’ils ont osé, j’oserais aussi, moi (l. 23), mettant en cause les juges de Dreyfus et d’Esterházy. ** 5. Dégager la moralité implicite d’une fable a. Le personnage du Chêne représente l’orgueil

Renaissance, la poésie se dissocie progressivement de la musique et les poètes deviennent des artistes reconnus et protégés par les grands seigneurs et rois. Les poètes de la Pléiade, Ronsard et du Bellay, enrichissent la littérature par l'imitation des poètes anciens et introduisent des formes nouvelles comme le sonnet. Par ailleurs, ces poètes n'hésitent pas en tant qu'humanistes à s'engager dans les conflits de leur époque. Le XVIIème siècle est divisé : d'une part l'art baroque qui privilégie

Cléante et Angélique, et l'opposition du père qui se renforce en traitant le père de la pièce de « sot», sans savoir que le père, dans cette fiction à clé (fiction dont l'histoire est vraie mais camouflée sous de faux prénoms), c'est lul.Réplique 19, 20: Cléante veut reprendre la pièce dans la pièce, on le voit par l'usage de l'italique, mais il est rapidement arrêté de force par le spectateur Argan qui explicite son désaccord (fort mauvais exemple», « impertinent, impudente ») sans savoir que les