Ronsard Marie Qui Voudrait Votre

Page 9 Souvenir. Pages 10 11 12 13 14 Pierre Ronsard (1524-1585) est un des poètes les plus influents de la Renaissance en France. Dans son recueil « les amours de marie » (1556) l’auteur décrit son amour malheureux pour Marie, une jeune paysanne. « J’ai l’âme de regrets touchée » est un sonnet qu’il utilise pour décrire sa bien-aimée. Il regrette le temps où il pouvait la voir et la

Objet d’études : Des goûts et des couleurs, discutons-en. Sommaire 2 1.Les canons de la beauté à travers le temps 2 1.L'Antiquité : corps athlétiques et jeunesse magnifiée 2 Les canons égyptiens 2 2.Le Moyen Âge : l'âge des jeunes filles nubiles 2 La nymphe médiévale 3 3.La Renaissance : une femme charnelle 3 Du corps idéalisé...

                                            1 Lorsqu’il écrit les Amours de Marie, Ronsard joue sur cette idée : Marie, qui voudrait votre beau nom tourner, // Il trouverait Aimer : aimez-moi donc, Marie, (...) Symbole par excellence de l’expression des sentiments, le verbe aimer est aussitôt l’objet d’un jeu formel avec le nom Marie... 

d'horreur et d'humour,2009. Rachel BOUÉ, L'Eloquence du silence, Celan, Sarraute, Duras et Quignard, 2009. Chantal Magalie MBAZOO KASSA, La femme et ses images dans le roman gabonais, 2009. Henri VERGNIOLLE DE CHANT AL, Tchekhov: rêverie et liberté, 2009. Marie-Françoise CANEROT et Michèle RACLOT, Julien Green: Littérature et spiritualité, 2009. Rodolphe SOLBIAC, Neil Bissoondath : migration multiculturalisme dans I 'œuvre, 2009 Jean-Yves MAGDELAINE, Les chasseurs d'espaces. De l'explorateur des espaces géographiques

peu qu’on ne les occulte pas. C - C’est sous ce signe - un jeu sur et avec les mots - qu’on peut réunir aussi bien certaines productions des grands rhétoriqueurs (voir manuels du XVIe s.), de Marot, de Ronsard : « Marie, qui voudrait votre nom retourner, Il trouverait aimer : aimez-moi donc, Marie, Votre nom de nature à l’amour vous convie… » (même jeu anagrammatique sur le nom avec Maurice Scève entre Délie et l’Idée) de Musset (avec sa ballade à la lune), de Hugo, qui ne recule pas devant le calembour

même nature et qui expriment une même idée. Ex. : Maison, logement, habitation, chaumière. Figures de surimpression ANAGRAMME (une) : Mot obtenu par la permutation des lettres d’un autre mot. Ex. : Marie, qui voudrait votre nom retourner, Il trouverait AIMER : aimez-moi donc, Marie. (Ronsard) CONTREPÈTERIE (une) : Permutation des phonèmes. Ex. : Beaux corps sur les billards, vous serez peaux sur les corbillards. (Desnos) ÉQUIVOQUE (une) : Introduction, dans une phrase qui avait déjà

(XVII et XVIII) 4ème année Programme de littérature française III 4ème année Guide pour le contrôle de connaissances 1.Humanisme et Renaissance. L’École lyonnaise. Rabelais. (p.2) 2.La Pléiade. Ronsard et Du Bellay. (p.6) 3.La crise de la renaissance. Le baroque. Montaigne. Agrippa d’Aubigné. Du Bartas. Sponde. Chassignet. (p.11) 4.Le XVIIème siècle. L’écrivain et la société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant

province. Que fait alors ce cadet qui, traité durement par ses parents, était allé tenter la fortune au loin? Il leur envoie des secours; il se hâte d’arranger ses affaires. Il revient opulent. Il ramène son père et sa mère dans leur domicile. Il marie ses sœurs. Ah, mon cher Rameau ; cet homme regardait cet intervalle comme le plus heureux de sa vie. C’est les larmes aux yeux qu’il m’en parlait : et moi, je sens, en vous faisant ce récit, mon cœur se troubler de joie et le plaisir me couper la parole

Dieu que tous nous veuille absoudre !Se frères vous clamons, pas n'en devezAvoir dédain, quoique fûmes occisPar justice. Toutefois, vous savezQue tous hommes n'ont pas bon sens rassis.Excusez-nous, puisque sommes transis,Envers le fils de la Vierge Marie,Que sa grâce ne soit pour nous tarie,Nous préservant de l'infernale foudre.Nous sommes morts, âme ne nous harie,Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !La pluie nous a débués et lavés,Et le soleil desséchés et noircis.Pies, corbeaux nous ont

propice à la description des sentiments de l'auteur. Le Lac est considéré, aujourd’hui encore, comme le fleuron de la poésie romantique. Ce poème fut inspiré à Lamartine par la liaison amoureuse qu’il eut en 1816-1817 avec Julie Charles, une femme mariée atteinte d’un mal incurable qui l’emporta en 1817. Lamartine revient seul revoir les lieux qu'il a visités autrefois avec elle. Le Lac de Lamartine est devenu le poème immortel de l'inquiétude devant le destin, de l'élan vers le bonheur et de l'amour