Ronsard Les Amours Marie Vous Avez La Joue

bretons – les sources des romans bretons se situent dans la Légende d’Arthur ; ils se caractérisent par l’accent mis sur l’Amour courtois; les principaux romans de cette catégorie : Tristan et Yseult (raconté vers 1170 et vers 1190), les Lais de Marie de France (écrits vers le XII-e siècle), les romans de Chrétien de Troyes entre 1160 et 1175 (Cligès, Erec et Enide, le Chevalier à la Charette, Perceval, le Chevalier au Lion), les romans en prose de Robert de Boron. ➢ les Romans idylliques et

déesses, par exemple, y est retracé aArec art : rien de plus voluptueux que l'apparition de Venus, éblouissante dans sa nudité, avec « ses lèvres coralines et bien joinfisses, qui d'elles mesmes sembloient semondre un baiser ». Le récit des amours de Paris et d'OEnone est une pastorale toute imprégnée d'un parfum délicat, encadrée dans les lignes d'un paysage Arraiment grec, et qui, par sa grâce en fleur, fait songer à Daphnis et Chloé. Enfin Le Maire est le pre- mier qui, à travers

Alain VIALA président du groupe d’experts, professeur des universités, universités Paris 3 et d’Oxford Membres Anne ARMAND Denis BERTRAND Anne-Marie CAZANAVE Jean-Pierre FOURNIER Jean JORDY Martine KAVOUDJIAN Isabelle MIMOUNI Muriel RESAL inspectrice générale de l’Éducation nationale professeur des universités, université Paris 8 professeur au lycée Marie-Curie, Tarbes professeur au collège Alexandre-Dumas, Neuville-les-Dieppe IA-IPR, académie de Toulouse IA-IPR, académie de Montpellier professeur

attribuées ou enlevées au fil des guerres, des alliances, etc. 6. Désigne de façon péjorative des domestiques armés pour protéger leur maître. 7. Nom familier d'un sabre court, ou même d'une lame de rasoir, soit d'une arme peu efficace. 8. Le terme joue sur les deux registres: désignation vulgaire du visage ou désignation ancienne d'un flacon. 9. Fusion burlesque de «passer par les armes» et «passer à la casserole». 10. Aliment classique du folklore grotesque, elle évoque à la fois les excréments

théâtre, 4e éd., Bordas, 2008. COUTY Daniel, REY, Alain, (dir.), Le Théâtre, Bordas, 1980. DANAN Joseph, RYNGAERT, Jean-Pierre, Éléments pour une histoire du texte de théâtre, Dunod, 1997. DEGAINE André, Histoire du théâtre dessinée, Nizet, 1992. HUBERT Marie-Claude, Le Théâtre, Armand Colin, 1988. RYNGAERT Jean-Pierre, Introduction à l'analyse du théâtre, Dunod, 1991. Sur l’alexandrin GRAMMONT Maurice, Petit traité de versification française, Armand Colin, 1965. MAZALEYRAT Jean, Éléments de métrique française

Et me faut, par couverture, Chanter que mon cœur soupire Et faire semblant de rire, Mais Dieu sait ce que j'endure Je ne sais comment je dure. Je ne sais comment je dure. « Je n'ay plus que les os, un squelette je semble… » Pierre de RONSARD   (1524-1585) Je n'ay plus que les os, un squelette je semble, Decharné, denervé, demusclé, depoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé, Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils deux grands maistres

Vallès, tandis que le narrateur est désigné comme un être de fiction, comme une créature littéraire : le narrateur abandonne la première personne brièvement et se met à distance « C’est là-dedans que mon père était maître d’études à vingt-deux ans, marié, déjà père de Jacques Vingtras. » : le mot « père », répété, est tour à tour sujet du verbe « être » et attribut du sujet « mon père » ; la première occurrence de « père » est accompagnée du déterminant possessif de première personne, tandis que la

de Dieu. Pg No.2 ---des poèmes dramatiques. Le théâtre est en effet très apprécié au Moyen Age. Les drames sont essentiellement des drames religieux que décrivent la création du monde par Dieu, la vie et la mort du Christ, la vie de la Vierge Marie. Leur titre est d’ailleurs significatif : les pièces (plays) s’intitulent ‘‘Miracles’’ ou ‘‘Mystères’’, et les représentations ont lieu dans les églises ou juste devant. ---une littérature populaire, qui comprend surtout des romans et des comédies

V. S. Table des matières Avant-propos 4 I. La vie unanime - l’enfant et sa mère 8 II. Mundus muliebris - le monde féminin de Baudelaire 13 II.I. Mère 14 II.II. La Vénus noire Jeanne Duval 19 II.III. Marie - La femme aux yeux verts 27 II.IV Madame Sabatier - La Vénus blanche 34 III. « L’Héautontimorouménos » - Misogynie, Ironie, Mélancolie et Sadisme 44 IV. Image de la femme dans le monde baudelairien 56 IV.I. La femme olfactive 56 IV.II.

exprime une qualité par rapport à un est le plus élevé des que les Pyréné es. Phrases 1 Jeanne paraît la mer immob rêveuse. Jeanne, songeu ile gant, lui paraît et transparente. Julien,se, contemple fort séduisa jeune et éléreuse. nt. Elle est tombée amou- Phrases 2 Ce sommet est lade est assez peu élevé mais très escarpé. Son difficile. esca- a. Je condu isis mon cheval d’un noir vers le bord et escarpé dans laquell lugubre étang. b.  La chamb e et très haute. je me trouvai était re très grande