Rois de Sparte

scène 1 de l’acte I, celle-ci envahit l’espace : Oreste et les Grecs voient en Astyanax « l’ennemi de la Grèce » (v 70), redoutent le :« Reste de tant de rois sous Troie ensevelie » (v 72) paroles rappelant non seulement le conflit par « ennemi », mais aussi la puissance illustre de la royauté troyenne et l’issue des combats avec  « tant de rois » et « Troie ensevelie ». De même, Pyrrhus évoque le sort de la ville « en héros si fertile » et ne voit « [...]  que des tours que la cendre a couverte

Grèce antique , ouvrage dans lequel il explique que l'on a beaucoup surestimé l'impact que pouvaient avoir les destructions de récoltes effectuées par des armées sur le territoire de leur adversaire (par exemple les raids organisés par les armées de Sparte contre l'Attique lors de la première phase de la guerre du Péloponnèse.) Il a également travaillé sur la matérialité des combats, dans la lignée des études de John Keegan. Toutefois, l'idée qu'il existerait un ethos occidental de la guerre, qui serait

de ses lecteurs et étaient tellement consensuel que l’histoire en devenait mythologique. La Grèce Archaïque fut donc une Grèce dépourvut de débats et politiquement divisée en deux formes de citées. D’un coté, les diarchies comptant deux rois comme celle de Sparte et de l autre, les tyrannies ou des dicteurs utilisaient la force pour imposer leurs vues. La période classique découvrit le phénomène des citées. Comme à Athènes ou la démocratie fit son apparition accompagnée de nouveaux idéaux, tels

pris sous l'autorité du Dieu Sanas -1792-1750 av. JC : code du roi Hammurabi (code dicté par le Dieu Samas), c’est le plus développé (code pris vers 1954 avant JC) -> Tous ces codes mésopotamiens ont un lien très puissant avec la religion, tous les rois sont institués par les dieux donc origine divine du pouvoir, ce sont les dieux qui instaurent, révèlent la législation. Pour autant ce n’est pas un droit sacré, ce n'est pas un droit religieux, on ne retrouve pas principalement des règles religieuses

naît de « l’union » d’Héphaïstos (quoique involontaire, orthodoxe et à sens unique) et de la terre. Athéna adopte alors le nouveau-né et charge Cécrops de l’élever et celui-ci le confie à ses propres ses filles et l’enfant entre dans la dynastie des rois d’Athènes. Symbolique : les Athéniens sont les enfants d’Athéna. Deviendra Érechthée quand il sera couronné. Mythe de Thésée Synœcisme II- De la royauté aux réformes de Clisthène : l’évolution des institutions athéniennes A. La Politeia

consentement mais il est désormais indissoluble ( prophète puis châtiments). Il y a l'idée d'une théocratie, dieu légifère et gouverne. Il n'auront jamais de constitution. Les limites du système seront mise en évidence lors des guerre ( il auront donc des rois sans institution bien défini c'est a dire tyrannie et anarchie). Les puritains voudrons au 16eme siècle par l'intermédiaire de ces pasteurs. Il y a un héritage sur l'autorité. Le fondement de l'autorité: il y a un dieu unique les roi/prince doivent

Perses ont mis à sac l'Erétrie et se rapproche. Pour ses seize ans, on coupe les cheveux de Timoklès. Le garçon décide qu'il faut envoyer un message à Sparte, pour obtenir le soutien de son armée. Le coursier ayant disparu, c'est au garçon de porter le message le plus vite possible. 13 . Le trésors des Athéniens (p 261) Arrivé à Sparte, les rois acceptent d'apporter leur aide à Athènes mais l'armée ne partira, au désespoir du garçon, que dans dix jours. Déçu, il quitte la ville et s'endort dans

guerre opposait Sparte à Athènes. La domination politique, économique et culturelle est telle que seul Sparte pouvait s’opposer à son hégémonie. L’entrée en guerre des deux cités a été principalement causée par l’opposition de Spartes au modèle oligarchique ainsi que par l’inquiétude de la domination athénienne grandissante. Selon les récits de Tucydide, le vrai déclenchement de cette guerre se trouve plutôt du côté des alliances de chacune des cités. La victoire a été accordée à Sparte après plus d’un

bataille de Chéronée en -338, où le jeune Alexandre s'illustre à la tête de la cavalerie, exterminant le célèbre Bataillon Sacré de Thèbes. A l'issue de cette victoire, Philippe établit la Ligue de Corinthe, unifiant toutes les cités grecques – sauf Sparte – sous son autorité, avec l'objectif d'envahir l'empire perse. Olympias (-375, -316) est la fille du roi d'Epire, puissant royaume barbare d'une région montagneuse des Balkans, mais où de nombreuses colonies grecques sont présentes. Elle était

en compagnie d’Énée, Pâris est accueilli à Sparte par le roi Ménélas, époux d’Hélène, qui le comble d’attentions.     Mais, celui-ci devant s’absenter en Crète, sa femme le remplace auprès de ses hôtes. Pâris en profite, enlève Hélène et regagne Troie avec Énée et la reine séduite ou contrainte (les avis diffèrent à ce sujet ; chez Homère, elle apparaît surtout comme le jouet d’Aphrodite et regrette d’être cause de la guerre). De retour à Sparte, Ménélas, constatant son infortune, prévient