Roc Subduction

TP 2 : Les marges passives Situation initiale : Il existe un contact entre la lithopshère océanique et la lithosphère continentale. On parle de marge passive lorsque que ces contacts se font sans activité tectonique. Questions : Quelles sont les caractéristiques d'une marge passive ? Retrouve-t-on des anciennes marges passives dans les Alpes ? I – Etude d'une marge passive 1 – Les caractéristiques structurales – Observer l’animation et repérer les caractéristiques de la marge entre la lithosphère

de la capitale (M. JAZCILEVICH, chercheur au Centre des sciences de l'atmosphère de l'Université nationale) Document n°11 - SEISME DU 19.09.1985 (Le Mexique, situé sur une Document n°12 - EXPLOSIONS A SAN JUAN IXHUATEPEC LE 19.11. 1984 zone de subduction entre la plaque Cocos et la plaque Nord Américaine la ville de Mexico est confrontée à une activité sismique importante) Série d’explosions survenues sur le site gouvernemental exploité par PEMEX dans une usine de stockage et de distribution de

la température du matériau traversée diminue, et vice-versa. La théorie de la tectonique des plaques est validée, et formulée comme suit : la lithosphère océanique cassante plonge dans le manteau asthénosphérique ductile, au niveau des fosses de subduction, comme le montre le schéma ci-dessous : Au milieu des années 1960, la notion de dérive des continents est remplacée par celle de la tectonique des plaques. Les idées de Wegener sont dont à niveau réhabilitées, et quelque

continentale, entrainant la destruction de la lithosphère océanique. Ainsi, ces mouvements de convergence se trouvent au niveau des frontières de convergence et sont de deux types. Si une plaque océanique s’enfonce sous une autre plaque, c’est une zone de subduction. Si les deux plaques en contact sont de même densité, c’est une zone de collision. Il existe également des mouvements de coulissages se localisant au niveau des failles transformantes. Il n’y a ni création, ni disparition de lithosphère mais seulement

vont s’affronter, dans d’autres elles vont s’éloigner, et enfin dans un dernier cas elles vont coulisser, le tout a des vitesses très faibles (de 1 à 10 cm environ par an). Il existe 3 grands types de volcanisme : - Le volcanisme de subduction : On parle de subduction quand deux plaques tectoniques rentrent en collision. Lorsqu’elles se heurtent, la plaque la plus dense (le plus souvent la plaque océanique) plonge lentement sous l’autre. La plaque subduite qui s’enfonce dans le manteau se mêle alors

s'éloignent l'une de l'autre. Les plaques se forment et s'écartent des dorsales. Frontière convergente : Ligne de rencontre entre deux plaques se rapprochant l'une de l'autre. Les plaques se rapprochent et disparaissent dans les fosses océaniques. Subduction : Passage d'une plaque tectonique sous une autre. La lithosphère océanique disparaît en s'enfonçant dans l'asthénosphère. Plaques : Vastes zones stables peu ou pas actives de la surface de la Terre délimitée par des séismes et des volcans. (12

Terre Terre Grande-Terre et Marie-Galante sont surtout constitués de roches calcaires datées de -2,5 Ma pour les plus récentes à -5 Ma pour les plus anciennes. Ces dernières reposent sur un socle volcanique provenant d’une activité magmatique de subduction. Le premier arc volcanique (voir carte page 1) se serait formé vers -100 Ma. L’arrêt, il y a environ 30 millions d'années, de l’activité volcanique de ce premier arc provoque l’immersion de l’île : la croûte qui forme le soubassement refroidit progressivement

plaque indienne de la plaque eurasienne avant la collision. Le document 3 permet de constater la présence de granitoïdes de subduction. Ces roches de composition granitique ont été formées suite à une subduction océanique qui a entraîné la fusion partielle du manteau. Le magma formé a ensuite refroidi dans la croûte continentale formant ainsi les granitoïdes. La subduction océanique est à l’origine de la fermeture de l’océan séparant les deux plaques. Le document 3 permet aussi de constater un

océaniques dans l’arc des Antilles. LEGENDE : Limite de plaque, la pointe du triangle indique la plaque qui chevauche. Mouvement des plaques Chapelet d’îles Document 8 : Modèle de répartition des isothermes en profondeur au niveau d’une zone de subduction 

Mouvements lithosphériques et distinction de l’asthénosphère  ● l’analyse des vitesses des ondes sismiques montre des anomalies à une frontière de subduction :   ○ ondes ​ rapides​  dans les structures ​ froides​ , plus denses  ● ● ○  et ​ lentes​  dans les structures ​ chaudes​  moins denses  isothermes​  en profondeur : une ​ structure froide plonge dans une structure chaude dans une  zone de subduction : ​ mouvement de convergence au cours duquel une plaque, le plus souvent  océanique, s’enfonce sous une autre plaque.