Robespierre

DDHC est velléitaire (sans audace, hésitant, etc.) elle instaure une égalité fictive entre les citoyens. Sous la terreur, il est aussi critique envers Robespierre. En octobre 94, il commence à publier un journal qui s’appelle le tribun ( le porte-parole) du peuple, il veut son journal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était opposé à Robespierre, il critique avec virulence la convention thermidorienne, il est emprisonné à Arras et rencontre ceux qui seront ces complices dans la conjuration des

1795/5/10 le 1er prairial Après la chute de Robespierre le 9 thermidor an II (27 juillet 1794), les sans-culottes qui n’avaient pourtant guère réagi pour le soutenir, sentirent très vite que la réaction thermidorienne allait à l’encontre de leurs intérêts. La liberté des prix retrouvée après la suppression de la loi du maximum général (4 nivôse an III, 24 décembre 1794) entraîna une flambée qui, ajoutée à de mauvaises récoltes et à un hiver très rigoureux, provoqua un sursaut des classes populaires

Biographie Robespierre : Nom et prénom : Maximilien Marie Isidore de Robespierre, ou Maximilien Robespierre. Date et lieu de naissance : Né le 6 mai 1758 à Arras. Date et lieu de mort : Mort le 28 juillet 1794 à Paris, place de la Révolution. Circonstances de la mort : Robespierre est mort guillotiné. Origines sociales : À sa naissance, son père, issu d’une lignée d’hommes de loi de la petite bourgeoisie artésienne, est avocat. Sa mère, est pour sa part issu d’une

Lorraine. Roi de Pologne de 1704 à 1717, puis de 1733 à 1734. Duc de Lorraine et de Bar de 1738 et ce jusqu’à sa mort. Emmanuel-Joseph Sieyès (1748 - 1836), rédacteur du serment du Jeu de paume, et l'un des auteurs de Constitution, Maximilien de Robespierre (1758 - 1794), révolutionnaire français, Georges Jacques Danton (1759 - 1794), révolutionnaire français, Mirabeau (1749 - 1791), révolutionnaire français, Marquis de la Fayette (1757 - 1834), Louis XV, roi de France (Versailles, 1710 - Versailles

positives (ex : La liberté de penser, l’abolition des privilèges, la déclaration des droits de l’homme, etc.) et des conséquences négatives (ex : La guerre contre l’Europe royaliste, les dictatures, la guillotine, etc.). 2) De 1795 à 1799 : Robespierre, avocat et homme politique Français, a été lui-même renversé en Thermidor an II (juillet 1794). Un nouveau régime fut créé, le Directoire, formé de cinq Directeurs. Il ne s’agissait plus d’une dictature, dans la mesure où il n’y avait plus un seul

printemps 1793 (invasion et guerre civile), le deuxième étant le comité de sûreté général. Maximilien Robespierre (1758-1794) Membre Jacobins (députés), l’été 1793, il devient le chef du Comité de Salut Public ; met en place la terreur. Le 27 juillet 1794 la convention veut stopper la peur et arrête Robespierre le 27 juillet 1794 et fut guillotiné le jour suivant. Le roi Louis XVI né le 23 aout 1754 a été

l’esclavage. Et puis, les pétitions des villes maritimes ont elles aussi pesé dans cette sinistre décision. Toutefois, sur son banc, un député s’insurge : « Les Droits de l’Homme sont encore bafoués ! » Ce député intrépide et pugnace s’appelle Maximilien Robespierre. Par ailleurs ce décret prévoit également la création d’assemblées coloniales et de ce fait, les problèmes ne vont pas tarder à surgir. Bientôt, la guerre civile éclate en juin 1790 sur l’île de la Martinique puis, le mois suivant, à Saint-Domingue

territoire de la République. Document 3 : La déchristianisation File:Fête de l'Etre suprême 2.jpg Fête de l’Etre suprême au Champ de Mars Source : Wiki | La déchristianisation, déjà entamée avec le culte de la Raison, s’intensifie. Robespierre présente, au nom du comité de salut public un calendrier de fêtes républicaines devant remplacer les fêtes catholiques, à travers lequel sont affirmées les valeurs républicaines et respecté le sentiment religieux de la majorité des Français de l’époque

Gensonné. Les Girondins, modérés, occupent le devant de la scène Révolutionnaire jusqu'en 1793. Mais calomniés par les Montagnards et la Commune, ils sont arrêtés le 2 juin 1793 sur ordre de la Convention, notamment sous l'impulsion de Danton et de Robespierre, qui s'inquiètent de voir les Girondins vouloir sauver le Roi et s'élever contre la mise en place du Tribunal Révolutionnaire. Les Girondins seront guillotinés entre le 31 octobre et le 8 novembre 1793. Jean-Marie Roland qui a réussi à s'enfuir

lui-même le théâtre. Le bassin rond fut utilisé pour la cérémonie de l'Être suprême le 8 juin 1794. On y avait placé des effigies représentant l'Athéisme entouré de l'Ambition, de l'Égoïsme, de la Discorde et de la Fausse-Simplicité. Maximilien de Robespierre y mit le feu, dans une apothéose de cris et d'applaudissements. Le cortège se dirigea ensuite vers le Champ-de-Mars. Le 10 octobre, ce même bassin accueillit le cercueil de Jean-Jacques Rousseau, drapé d'un drap parsemé d'étoiles (exhumé d'Ermenonville