Robespierre Et La Terreur

Les autres animaux sont les ouvriers, les paysans, le peuple laborieux : Malabar « je vais travailler plus dur »p35. - Les chiens=les neuf molosses constituant la garde personnelle de Napoléon permettent à ce dernier d’instaurer un régime de terreur. Dans le cadre d’un rapprochement avec l’URSS de Staline, ils représentent la police secrète (Tcheka, GPU, OGPU, NKVD) - Les moutons=ils sont chargés de la propagande, ils acclament systématiquement les cochons, et entonnent le refrain révolutionnaire

constitutionnelle, ils sont attirés par certains aspects du modèle anglais, la grande figure est Siéyès. Au centre des patriotes, il y a des hommes qui cherchent un compromis entre le roi et la nation ( il y a Mirabeau et La Fayette ). A gauche, il y a Robespierre, l' abbé Grégoire mais surtout trois hommes qui vont dirigés ce partis ( Barnave, Duport, Laneth ) ). 1- La question du véto Dès septembre 1789, les monarchiens et les patriotes s' affrontent. Le véto consiste à accorder ou non un droit de

Rennes (2†). 11-12 mars Émeutes frumentaires à Reims. 23 mars Émeutes frumentaires à Marseille. 24 mars Émeutes frumentaires à Aix. 25 mars La Fayette est élu député de la noblesse d'Auvergne aux États Généraux. 26 avril Maximilien de Robespierre est élu député du Tiers-état d'Artois. 27-28 avril Émeute des ouvriers de la manufacture royale de papiers-peints Réveillon. 30 avril Première réunion du Club breton à Versailles. 30 avril La foule s'empare de trois forts à Marseille. 2

le Roi n'est plus propriétaire, la propriété privé est là. Influence des physiocrates (lois Le Chapelier brisent le corporatisme). Apparition d'une monnaie papier, l'assignat (qui foire en 1792). La plupart des politiques sont monarchistes (Robespierre; Danton; Marat). Les Républicains sont dans les salons jusqu'en 1791. 1791 est une année charnière, notamment par la tentative de fuite du Roi à Varennes. Couronne l'échec des monarchistes à accepter le renouveau. L'arrestation du Roi met la

jamais appliquée [modifier] Le 10 octobre 1793, la Convention consacrait apparemment l'établissement d'un régime de Terreur, déclarant : « Le gouvernement provisoire de la France sera révolutionnaire jusqu'à la paix ». Il avait été convenu que la paix revenue, la constitution serait ressortie de son arche de cèdre pour être appliquée. Et nul n'en douta tant que Maximilien Robespierre fut de fait l'organe officiel du Comité de Salut Public. La guerre intérieure, extérieure et surtout le renversement

monarchie est abolie. On fait alors enfin l’expérience d’une république. En 1793, la première République naît avec la Constitution de l’an I. Les hommes doivent être vertueux, ceux qui ne le sont pas doivent disparaître avec l’usage de la guillotine. Robespierre finira par être contesté, considéré comme un tyran, il sera ainsi guillotiné lui-même le 9 thermidor par les thermidoriens. Ces derniers ont voulu continuer l’expérience du régime en place mais devant le mauvais fonctionnement de ce système, ils

l’institution religieuse et de la foi dans les sociétés démocratiques que les Lumières ont imaginées. Pour tenter de définir cette place, pléthore de mesures plus ou moins équilibrées ont été prises : la spoliation des biens du clergé par Robespierre sous « La Terreur », le Concordat de 1801 qui allège l’influence du Saint Siège sur l’Eglise de France, la restauration de la monarchie qui consacre à nouveau la religion catholique religion officielle de la France, ou les mesures promouvant la laïcité dès

période que datent l'hymne national («La Marseillaise») et le drapeau tricolore français. Néanmoins, la Révolution se caractérisa également par des actes sanglants, des manifestations extrêmes de pouvoir et de violence, dictées par l'intolérance et la terreur, le désespoir et la soif de justice, la famine et la peur... En bref, les troubles et les menaces se multiplièrent, sous la bannière tantôt des royalistes, tantôt de la «commune», tantôt des alliances étrangères et des «émigrés», voire des Montagnards

fraternité : Le premier à avoir formulé cette devise fut Maximilien de Robespierre dans son Discours sur l'organisation des gardes nationales imprimé mi-décembre 1790 et diffusé largement dans toute la France par les Sociétés populaires3, même s'il ne fut jamais prononcé.  On la retrouve également dans la bouche de Camille Desmoulins. Jacques Guilhaumou rappelle la devise imputée par les thermidoriens aux partisans de la terreur : " la fraternité ou la mort ". Aujourd'hui : Étude réalisée

ce qu’il lui permet surtout de publier ses livres librement lorsqu’elle était marié il fallait l’accord de son marie à cause de lois de son époque. Cependant, elle prend parti du roi en se proposant pour le protéger et donc contre Robespierre pendant la terreur. Ce qu’il lui vaut de se faire guillotiner le 3 novembre 1793. Par une lycéenne 2023 2 ,Olympe de Gouge le 3 novembre 1793 Olympe de Gouge était déjà très avancé sur son époque. Elle avait déjà des idées et ambitions qui pour certains