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plusieurs auteurs, la photo de Robert Capa Mort d’un soldat républicain est prise à l’instant exact de la mort de Borrell. On voit le soldat au moment de sa mort, tombant en arrière, vraisemblablement après avoir été blessé. Il est vêtu en civil, mais porte une ceinture-cartouchière, et le fusil qu’il tient de la main droite lui échappe. Les photos prises plus tôt dans la journée montrent le même homme, en vie, aux côtés de ses camarades de la Colonne Alcoiana. Les clichés de Capa sur les combattants

Mort d’un milicien est une photographie de reportage prise le 5 septembre 1936 par Robert Capa. Elle représente la mort, présentée comme réelle et prise sur le fait, de Federico Borrell García, un anarchiste combattant dans les rangs républicains durant la guerre d'Espagne. Cette photo a immédiatement provoqué des débats, notamment sur le fait de savoir si elle a été posée1. Les dernières publications sur le sujet penchent vers cette version des faits, et établissent avec une quasi-certitude que

com mun. En effet, quoi de plus opposé à l'idée de modernité que la répétition mécanique d'une formule toute faite, d'un langage stéréotypé ? La modernité ne consiste-t-elle pas dans la nouveauté, c'est-à-dire, dans une tentative de rompre avec les clichés du passé et d'échapper, autant que possible, à la mémoire culturelle ? Le lieu commun n'est-il pas, au contraire, la clôture même de cette mémoire dans ses pires automatismes, le sillon, à l'intérieur du langage, d'un déjà-lu, déjà-vu, déjà-dit? Comment

Ainsi, les deux vers suivants sont des métaphores et non des comparaisons : Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage Mais ta chevelure est une rivière tiède (Baudelaire) (Mallarmé) Baudelaire 1 Toutes les définitions son extraites du Petit Robert, version CD-Rom et/ou des Figures du discours, Pierre Fontannier (1768-1844), Champs Flammarion, Paris, 1997 S. Métral / narratologie /figures / 1/5 http://tecfaseed.unige.ch/ls/ L E S F I G U R E S D E R H E T O R I Q U E 3

pleut des cordes ou “les bienveillantes” pour parler des nazis) Antonomase : nom propre employé comme nom commun ou inversement (ex : “c’est un Einstein” pour “il est intelligent” ou a l’inverse “le père de la tragédie française” pour “Corneille”) Cliché : image vu et revu (ex : la neige étend son blanc manteau) Hypallage (type de métaphore) : qualificatif décalé (ex : “Qu’au son des guitares nomades/La gitane mime l’amour” d’Aragon) Métonymie : remplacement d’un terme par un autre équivalent ou

la métaphore filée (vers 3 : « ancre, navire, mers »). 2ème identification à un clown (le titre) qu’on retrouve à la fin. 1-L’image du navire. Projet dans un futur indéterminé. L’idée de partir et rompre avec ses attaches est présente. C’est un cliché de la poésie (Ex : Mallarmé dans Brise Marine : « La chair est triste, hélas ! Et j’ai lu tous les livres. Fuir ! Là bas fuir ! [...] » Vers 6 : Série de verbes d’action marquant une violence. Vers 9 : Il désire de changer de vie, devenir qqun d’autre

identification à un marin par le biais v3 "l'ancre",les 2 thèmes sont identifiés par le clown 1)L'image du navire - c'est un projet dans un futur indeterminé, ce projetconsiste à rompre avec ses attaches, ses repères " ancre" symbole -c'est un cliché de la poésie, un milieu commun de la poésie " brise marine.... lu tous les livres"" fuir! là bas fuir" -le voyage de michaux: v9 il exprime le désir de changer de vie et être quelqu'un d'autre, une série de verbe d'action marquant une violence.

efficace qui fait mouche ! Elliot Erwitt s'est aussi servi de l'ironie pour sa photographie intitulé « Félix, Gladys et Rover » faite en 1974, « Quel drôle de photo ! », « Quel chien étrange ! »,  sont les premières réactions que peut susciter ce cliché à la fois étonnant, comique et bizarre. Photographie singulière donc, au titre d’ailleurs tout aussi cocasse, qui tout à la fois amuse et surprend. Ensuite nous retrouvons le rire sous forme de dérision, comme avec cette campagne de publicité de

exagérant à outrance les gestes et mouvements féminins. Ces princesses rentrent donc dans les critères de leurs époques et deviennent de plus en plus érotisées. ° Psychologique : Comment parler du caractère d’une princesse de Disney sans tomber dans le cliché ? En effet, ce n’est pas l’intelligence qui marque vraiment ces personnages. Celles-ci sont même plutôt artificielles et n’ont souvent que pour seul but de trouver l’amour. Aucune de ces héroïnes ne se démarque réellement par une intelligence telle