Rivière Saint-Maurice

qu’une image fait appel à la un savoir (biblique, littéraire et mythologique), touche un public cultivé afin de comprendre les histoires La légende dorée (texte écrit aux XIIIe siècle par Rovajineu) • Montre la vie et la mort des principaux saints bibliques mais surtout les martyrs de ces personnages —> Pour peindre un thème religieux, on s’inspire de ces histoires (importance de la religion et des sources littéraires • Produire des images et remis en question par les protestants

coopération), l’habitat, la vie sociale, les loisirs (culture et sport), l’aide aux petites communes, etc. En janvier 2007, la CAR a accueilli 8 nouvelles communes du plateau Est (Gouy, Montmain, La Neuville-Chantd’Oisel, Saint-Aubin-Celloville, Boos, Les Authieux-sur-le-Port-Saint-Ouen, Ymare et Quévreville-la-Poterie). Grâce à ses divers projets et ses ambitions pour les années à venir, la Communauté d’agglomération rouennaise ne cesse d’évoluer et apporte au fur et à mesure des années une plus grande

.................................. 38 LA REUNION............................................................................................................................. 49 SAINT-MARTIN ....................................................................................................................... 61 SAINT-BARTHÉLEMY............................................................................................................. 65 LA NOUVELLE-CALEDONIE ................................

Commune de SAINT-PIERRE Hôtel de Ville – B.P. 342 97448 SAINT-PIERRE Cedex  0262 35 78 00 – Fax 0262 35 78 09 Plan de gestion du risque requin à Saint Pierre Mai 2007 Rapport Définitif Réalisée par Gaëtan LERCETEAU SOMMAIRE 1. 2. 3. Introduction ................................................................................................................................................... 4 Analyse des attaques de requin récentes à Saint Pierre : ...............................

La e e Ulnzalne littéraire 3F Numéro 84 Du 1- au 15 décembre 1969 un inédit de • arl e Le père de Jacquou le Croquant ·Claude Roy. Le Journal d'Anaïs Nin SOMMAIRE a LE LIVRE DE LA QUINZAINE Claude Roy Moi Je par Maurice Nadeau 5 TELEVISION Eugène Le Roy Jacquou le Croquant L'Ennemi de la mort par Michèle Albrand 8 ROMANS FRANÇAIS Jacques Henric Michel Huriet Rachel Mizrahi Archées La Fête de la dédicR('e Harry par Josane Duranteau . par Alain Clerval par Marie-Claude de Brunhoff

que l'on n'a jamais vu qu'à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de Saint-Pierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d'une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant dans la lointaine île de France (future île Maurice). Comme tous ces héros relèvent d'une certaine idéalité, ils ont aussi ce pouvoir de permettre au lecteur de s'évader du monde réel peuplé

la poudre d'iris, du musc, de la civette, de l'eau de myrte déjà désignée sous le nom d'eau des anges, était à peine suffisant pour exprimer les grâces cavalières, les teintes un peu crues du temps, que nous ont conservées certains des sonnets de Saint-Amand. Plus tard, avec la myrrhe, l'oliban, les senteurs mystiques, puissantes et austères, l'allure pompeuse du grand siècle, les artifices redondants de l'art oratoire, le style large, soutenu, nombreux, de Bossuet et des maîtres de la chaire, furent

/Paul et Virginie/ est souvent considéré comme un roman à thèse maladroit, dont l'organisation narrative contredirait en partie le message philosophique, lui-même passablement confus. L'excentricité de la pensée morale et religieuse de Bernardin de Saint-Pierre peut expliquer la réputation d'incohérence idéologique qui s'est attachée à cet énigmatique apologue. La mise en relation intertextuelle de /Paul et Virginie/ et des /Études de la nature/ éclaire en réalité nombre de difficultés de lecture celles

l’aube, le poète Nerval est trouvé pendu à une grille, rue de la Vieille-Lanterne, au Châtelet, un manuscrit dans sa poche. (…) Son père était médecin militaire dans la Grande Armée, sa mère était la fille d’un marchand de linge du quartier Sainte-Eustache. Elle était allée rejoindre le médecin militaire en Allemagne et mourut, à vingt-cinq ans, en Silésie. Elle restera pour l’enfant élevé par son grand-oncle à Mortefontaine, dans le Valois, et qui aura déjà six ans quand le père rentrera de

trouvé son art, il n’a plus qu’à l’étoffer, il continue sur les mêmes sujets; les paysages de sa région natale, les portraits, etc., mais aussi au nu dans la nature. Ceux-ci auxquels il s’intéresse car mélancolique de ses baignades d’enfance dans les rivières de la campagne d’Aix. Durant cette période ses peintures ne seront que très rarement montrées au public. En 1895, un jeune marchand d’art de 27ans, Ambroise Vollard, organise une rétrospestive de Cézanne. Rejeté de toutes les expositions et très