Rite maçonnique

explorateurs du 18è et 19è siècle. Certains, pensent aussi qu’il y a assez de preuves pour affirmer que l’infibulation était pratiquée dans l’ancienne Egypte, et c’est peut- être en Egypte que la coutume a débuté. Mais il pourrait s’agir d’un ancien rite africain de la puberté, qui serait venu en Egypte avec les émigrations. L’infibulation est appelée au Soudan Circoncision Pharaonique, et en Egypte Circoncision Soudanaise. Certainement, cette pratique était répandue à l’époque préislamique en Egypte

lors d’une cérémonie religieuse au terme de laquelle ils reçoivent leurs noms. A trois ans, on leur coupe les cheveux et on leur remet leur châle de prière et leur première kippa, sorte de calotte. Vers treize ans, ils accomplissent leur bar-mitsva, rite d’initiation par lequel ils entrent dans le monde des adultes et dans la communauté des croyants : ils peuvent alors observer les commandements. A cette occasion, ils lisent un texte de la Torah et le commentent. Une fête est organisée avec les membres

Introduction : Candide est un conte philosophique de Voltaire qu’il a écrit de façon anonyme pour éviter la censure en janvier 1759 et qui est parue pour la première fois à Genève. Au sixième chapitre de l’œuvre, nous retrouvons le héros, Candide, et son instituteur et philosophe Pangloss, à Lisbonne après un tremblement de terre. Ils doivent faire face à l’Inquisition qui les condamne pour l’un à être fessé, et à mort pour l’autre, pour pouvoir donner à la foule « un bel auto-da-fé ». Nous nous

LE RITUEL Le rite est un cérémonial. Désignant un ensemble d'usages réglés par la coutume. Un rite sert de ciment à une communauté, conformément au double sens étymologique de "relier" et "se recueillir". Peuvent être distingués : les rites intercesseurs (pluie, moisson, maladie, guerre, fertilité etc.), les rites de passage (naissance, entrée consciente dans le religion, entrée dans la communauté des adultes, décès, intronisation, mariage etc.) et les rites de confirmation d'appartenance

Ces deux textes sont extraits du roman Bel-Ami de Maupassant, publié en 1885. Se déroulant lors de la Troisième république à Paris, ce roman appartient au courant réaliste dans lequel les auteurs cherchaient à reproduire la réalité - tel des savants- le plus fidèlement possible. Les romans réalistes ont un lien avec le contexte historique et politique, ils décrivent la société, la misère ainsi que l’ascension sociale de leurs personnages,...etc. Le premier texte étudié est l’incipit du roman, qui

l’autel ou sur le sol), ni pour un sacrifice. En revanche, il est nécessaire d’effectuer une ablution avant de pénétrer dans le sanctuaire afin de se purifier et d’effacer la souillure de la vie quotidienne. Penchons nous maintenant sur un type de rite bien particulier, la divination. B) L’influence des oracles. La mantique (divination), dont l’oracle est une des formes, est un des moyens pour les hommes d’entrer en contact avec les dieux et de les interroger sur des sujets divers de la vie

fait sa profession de foi biquotidienne, à déclamer lors de son dernier souffle[]. Le culte Les juifs prient le matin, l'après-midi et le soir, en groupe d'au moins dix hommes, la tête couverte avec un chapeau ou une kippah (calotte). Le rite commun à tous les services religieux juifs est une série de bénédictions, remplacées par des prières spécifiques les jours du Shabat et de fêtes. Le Shema ("Ecoute Israël") est également récité matin et soir. Des passages des textes sacrés (Bible

vêtements de jour, par exemple), ce qui a l'effet d'exclure les classes subalternes qui n'ont pas le bagage culturel qui leur permettrait de maitriser le discours sérieux. L'opéra devient une sorte de rite sacré comme une messe où, même si on ne comprend pas la Latin ni la théologie derrière le rite, les personnes savent qu'elles sont devant le sérieux, qu'elles doivent rester humbles et assumer leur rôle passif. On n'ose plus rire ou pleurer face au spectacle opéra; on est devant un 'grand' art,

La confrérie des Aïssawa est un ordre mystico-religieux fondé à Meknès au Maroc par Muhammad ben Aïssâ (1465-1526 / 882-933 H.), surnommé le « Maître Parfait » (Chaykh al-Kâmil). Les termes Aïssâwiyya (‘Isâwiyya) et Aïssâwa (‘Isâwa), issus du nom du fondateur, désignent respectivement la confrérie (tariqa, litt. « voie ») et ses disciples (fuqarâ, sing. fakir, litt. « pauvre »). À l’origine clairement orthodoxe, la confrérie des Aïssâwa est devenu un phénomène social complexe, à la charnière du sacré

(le baiser), sur la bouche du seigneur, en signe d’amitié et de paix. Le volo (déclaration de volonté): rite verbal par lequel le vassal se déclare l’homme de son seigneur, le seigneur le reconnaissant ainsi comme tel. « Veux tu devenir mon homme sans réserve? - Je le veux! ». Le geste est l’élément symbolique le plus important qui crée la relation. 2) La foi: le serment de fidélité: rite oral. Le serment de fidélité est prononcer sur une res sacra (reliques des saints, bible..). On observe 2