Rimbaud Jadis

Ce corpus est composé de trois textes, le premier étant un poème de Boileau extrait de l'Art poétique, écrit en 1674. Le deuxième est un texte de Verlaine issu de Jadis et naguère, 1884. On a enfin un poème de Tristan Tzara, extrait de Sept manifestes dada, de 1924. Tous ces textes sont des arts poétiques, et donc donnent les règles d'un mouvement poétique particulier. Montrez en quoi ces textes sont des « arts poétiques », donc des programmes d'écriture. Tout d'abord, un art poétique est

Poèmes Saturniens. Et son auteur Francis Ponge née en 1844 et mort en 1896 l'a écrit alors, à peine âgée de 22 ans il est également connu pour avoir écrit : « Jadis et Naguère » et « Parallèlement ». C'est un homme qui a beaucoup souffert puisque il va perdre sa première femme ? Détruite sa relation avec Mathilde et qu'il va blesser Arthur Rimbaud avec qui il mena par la suite une vie affective. Son poème est un sonnet qui évoque à la fois sa propre nostalgie et la fuite du temps. Un thème romantique

ans, il publie à compte d’auteur les Poèmes saturniens (1866) et, en 1869, Fêtes galantes. Il rencontre Mathilde Mauté à l’âge de vingt-cinq ans (1869) et l’épouse en 1870. Le siège de Paris, les troubles de la Commune (1871), et la rencontre de Rimbaud en 1871 bouleversent sa vie : les deux poètes vivent une relation passionnée et partent en Angleterre et en Belgique (Verlaine écrit alors Romances sans paroles). En juillet 1873, Verlaine tire sur son ami et est emprisonné en Belgique. Lorsqu’il

vingt-deux ans, il publie à compte d’auteur les Poèmes saturniens (1866) et, en 1869, Fêtes galantes. Il rencontre Mathilde Mauté à l’âge de vingt-cinq ans et l’épouse en 1870. Le siège de Paris, les troubles de la Commune (1871), et la rencontre de Rimbaud en 1871 bouleversent sa vie : les deux poètes vivent une relation passionnée et partent en Angleterre et en Belgique (Verlaine écrit alors Romances sans paroles). En juillet 1873, Verlaine tire sur son ami et est emprisonné en Belgique. Lorsqu’il

pour ensuite revenir à Paris, où ils s’installent chez la famille de Mathilde. Un mois plus tard, le mari, le futur père, mais surtout l’artiste, s’engage dans l’aventure qui va anéantir son mariage ; ayant reçu quelques poèmes d’un certain Arthur Rimbaud, jeune et insolent, un enfant de seize à dix-sept ans, déjà nanti de tout le bagage poétique qu’il faudrait que le vrai public connût , il l’invite à la capitale. L’hôte, venu de Charleville, sera hébergé – au plus grand surpris de Mathilde et ses

Verlaine, Jadis et naguère, « Jadis » (1884) Yves Bonnefoy, Hier régnant désert, « le Chant de sauvegarde » (1958) Lamartine, « l’Automne » Victor Hugo, Les Contemplations, livre 4, « Pauca meae », 14 (1856) William Cliff, Atobiographie, « Enfance » (1993) Louise Labé, Sonnets, 14 (1555) Elie Ehrenbourg, Madrid Anonyme, (xx), le Chant des marais Anne- Marie Bauer, Fusillé Robert Desnos, Le Legs Edith Thomas, Terre Eugène Guillevic, Le Goût de la paix Paul Verlaine, Jadis et naguère

de recueil de poème de quatre auteurs de 19ème siècle. Ainsi les poème Rêverie de Victor Hugo issue du recueil Les orientales (1828); Rêve parisien de Baudelaire issue du recueil Les Fleurs du mal (1861); Sonnet Boiteux de Verlaine issue du recueil Jadis et naguère (1884) et le poème de Verhaeren issue de Les villes tentaculaires (1895) sont ici présentés. Ces quatre poème ont pour thème commun la ville. Nous allons étudier quel image de la ville se dégage de ces textes. Dans une première partie nous

l’introduire dans mon anthologie. • Sur les poèmes, « Le printemps » et « L’Hiver » de Theodore de Banville, c’est surtout le mouvement dont il fait partie (parnassien) qui m’a convaincu : Je préfère la forme, plutôt que le fond. • « L’allégorie » Jadis et Naguère de Paul Verlaine, est portée sur la décadence c’est une poésie du pessimisme c’est la fin d’une poésie classique qui fait place à un nouveau mouvement plus moderne, symbolique. •Dans le poème « Automne », Apollinaire décrit l'Automne

ANTHOLOGIE POETIQUE Les feuilles d’automne Victor HUGO Jadis et Naguère Paul VERLAINE SOMMAIRE 1) Préface Page 2 2) Pierrot Page 3 3) Art poétique Page 6 4) Pantoum négligé Page

Mon rêve familier, Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrantD'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime,Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la mêmeNi tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparentPour elle seule, hélas! cesse d'être un problèmePour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l'ignore.Son nom? Je me souviens qu'il est doux et