Rhodésie

Birmanie, le Brésil, le Canada, Ceylan, le Chili, la Chine, Cuba, les États-Unis, la France, l’Inde, le Liban, le Luxembourg, Norvège, le Nouvelle-Zélande, le Pakistan, les Pays-Bas, la Rhodésie du Sud, le Royaume-Uni, Syrie et Tchécoslovaquie. Certains ont disparu depuis, comme la Tchécoslovaquie ou la Rhodésie du Sud, d’autres se sont retirés comme la Chine, puis ont adhéré beaucoup plus tard à l’OMC, comme la Chine, d’autres n’en font plus partie comme la Syrie. S’agissant des dispositions relatives

possessions d'Afrique : la Gold Coast en 1956 (aujourd'hui Ghana) sous l'impulsion du leader nationaliste Kwame Nkrumah, le Nigéria en 1960, et plus tard les colonies d'Afrique de l'Ouest, d'Afrique orientale et australe (Zambie, Tanzanie). Seule l'ex Rhodésie du Sud (Zimbabwe) fera exception à cette évolution pacifique : en 1965, la minorité blanche proclamera unilatéralement l'indépendance de ce pays, indépendance qui ne sera pas reconnue par la communauté internationale. En 1979, un accord politique

éclate la guerre entre Israël et les pays arabes (guerre du Kippour/Ramadan). Le 17 octobre, les pays arabes producteurs de pétrole décident d’un embargo pétrolier contre les soutiens d’Israël (Etats-Unis, Portugal, Pays-Bas, Afrique du Sud et Rhodésie). Cet embargo sera levé en juillet 1974, après avoir échoué. En effet, les grandes compagnies pétrolières, maîtresses des flux d’approvisionnement mondiaux en pétrole, avaient réparti la pénurie entre tous les pays industrialisés, ceux visés par

qui fournissaient des mercenaires et à des « concessionnaires », les senhores, qui entretenaient leurs propres armées. Un autre chapitre pourrait traiter des conflits d’Afrique australe et retracer les itinéraires des mercenaires anglo-saxons en Rhodésie du Sud (1974-1980) et en Afrique du Sud (1975-1990). L’armée rhodésienne, qui ne pouvait compter que sur quelques milliers de soldats blancs et autant de Noirs, a recruté des Australiens, des Britanniques, quelques Français… Autant de « soldats de

- Le NPI fait le jeu de l’occupant nippon, en vue de l’indépendance B. En Afrique - Dans les colonies britanniques - Indirect Rule qui permettra une décolonisation « en douceur » - Des situations diverses - En Rhodésie, les colons participent à l’administration - En Afrique occidentale (Nigeria, Gold Coast, Sierra Leone), pouvoir confié à des chefs locaux - Emergence de mouvements d’émancipation dans l’entre-deux-guerres - Congrès national

de pays renferme de petites quantités d’or, même celui de la France. L’Empire britannique est bien partagé puisqu’il compte non seulement les exploitations du Transvaal et du Canada, mais encore celles de l’Australie, des Indes anglaises, de la Rhodésie, de la Guyane et des colonies occidentales d’Afrique. Dans le temps, la production s’est poursuivie par brusques saccades. Les découvertes ont donné des coups de fouet à l’économie mondiale : au XVIe siècle en Amérique espagnole, au milieu du

par la Belgique, 1908. En 1908, le Congo est cédé à la Belgique en tant que colonie. Dans cette colonie, les Belges et les indigènes n’auront jamais les mêmes droits. En 1909, le prince hériter, Albert 1er va faire un voyage au Congo jusqu’en Rhodésie. Dans ses carnets, il va dire tout le mal qu’il pense de l’administration telle qu’elle a été bâtie par son oncle (car il y a beaucoup d’abus). Mais lorsque le Congo devient une colonie Belge, il avertit clairement les puissances étrangères que

l'Etat juif. C'est pourquoi il s'adresse à celui qui s'est révélé le maître de ce genre d’opération : le trafiquant colonial Cecil Rhodes, qui, de sa Compagnie à charte, sut faire une Afrique du Sud, l'une de ses composantes s'appelant de son nom : la Rhodésie. Théodore Herzl lui écrit, le 11 janvier 1902 : "Je vous en prie, envoyez-moi un texte disant que vous avez examiné mon programme et que vous l'approuvez. Vous vous demanderez pourquoi je m'adresse à vous, Monsieur Rhodes. C'est parce que mon programme

(ex. : la Flandre n’est pas un Etat). L’existence d’une collectivité prétendant à une qualité étatique est une pure question de fait, et non de droit. Ce n’est pas parce qu’un Etat est né dans des conditions illicites qu’il n’existe pas (ex. : la Rhodésie du Sud a fait sécession et son indépendance a été proclamée par une minorité blanche en 1965, au mépris du droit des peuples coloniaux à disposer d’eux-mêmes). Ce qui est déterminant, c’est que l’Etat parvienne à imposer son existence dans le monde

notion de sécurité internationale et ont conduit le Conseil à évoquer des problèmes qui, de prime abord, ne concernent plus uniquement des conflits interétatiques. La double stratégie La déclaration unilatérale d’indépendance par le régime raciste du Rhodésie du Sud avait été qualifiée de « menace pour la paix » en 1965. Depuis, le Conseil de sécurité a fréquemment utilisé une double stratégie consistant à se référer à l’impact international d’une crise pour gérer un problème essentiellement interne et