Rhodésie

de l'or, des compagnies commerciales anglaises travaillaient en Afrique occidentale et orientale. Toutefois, de 1870 à 1880, l'exploration de l'Afrique progresse: on découvre des richesses intéressantes, or et diamants d'Afrique du Sud, cuivre de Rhodésie. Les Européens voient miroiter, à tort souvent, l'image d'une Afrique noire riche et peuplée. Le point de départ des ambitions européennes se situe au Congo. Le roi des Belges, Léopold II, qui s'intéresse aux questions coloniales et gère une

la République de Chine, de la République de Cuba, des Etats-Unis d'Amérique, de la République française, de l'Inde, du Liban, du Grand-Duché de Luxembourg, du Royaume de Norvège, de la NouvelleZélande, du Pakistan, du Royaume des Pays-Bas, de la Rhodésie du Sud, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, de la Syrie, de la République Tchécoslovaque et de l'Union Sud-Africaine, Reconnaissant que leurs rapports dans le domaine commercial et économique doivent être orientés vers le relèvement

le rugby, le tennis et le cricket. Le football fut, il est vrai, en pointe pour dénoncer l'apartheid et dès le 9 avril 1973, une équipe mêlant joueurs noirs et blancs représente l'Afrique du Sud lors d'un match international non officiel face à la Rhodésie[34]. Les Britanniques jouent pourtant un rôle important dans la diffusion du football, notamment grâce aux ouvriers dépêchés aux quatre coins du monde pour mener à bien des chantiers. Le football est par exemple introduit en Amérique du Sud par

l’occurrence au RU. Il s’est agit de la proclamation d’indépendance de la Rhodésie du Sud devenu après le Zimbabwe Libre par le gouvernement contre la volonté du RU. Tout de suite, le conseil de sécu a réagi face à cette proclamation illégale d’indépendance, et en se basant sur l’art 39, le conseil de sécu adopte toute une série de résolutions successives qui consacre un embargo éco contre ce gouvernement illégal de la Rhodésie du S. On va commencer par des sanctions sélectives avant d’arriver un embargo

Casques bleus ont péri. Voir le Rapport du Secrétaire général sur les activités de l’organisation, A/50/1, 22 août 1995, paragraphe 611. (7) Avant 1989 le Conseil n’avait autorisé la force armée que trois fois : en Corée (1950), au Congo (1960), et en Rhodésie (1965). (8) Boutros-Ghali a défini le maintien de la paix comme consistant « à établir une présence des Nations Unies sur le terrain, ce qui n’a jusqu’à présent été fait qu’avec l’assentiment de toutes les parties concernées, et s’est normalement

adultères secrets. Les azandes, avec la potion magique de la vengeance qui détecte le sorcier et lui administre en même tps la peine capitale. L’univers semble émettre des jugements sur la valeur morale des rapports humains. Le malweza des tongas de Rhodésie du nord est un malheur qui s’abat sur ceux qui commettent des actes incompatibles avec le code en vigueur et qui punit des délits qui échappent normalement aux sanctions punitives ordinaires. En gros les primitifs ne distinguent pas tout à fait les

par la reconnaissance il entre en relation officielle avec d’autres Etats. Ce n’est qu’à ce moment là qu’il peut faire valoir des droits que l’Etat non reconnu n’est guère en mesure d’invoquer puisqu’on lui refuse la qualité d’Etat ( ex: la RDA, la Rhodésie, Israel, la Corée du Nord, Taiwan ). Les conséquences sont les suivantes : il n’y aura donc avec l’Etat non reconnu ni relation diplomatioque ( pas de consulats pas d’ambassade ), ni traité, ni coopération judiciaire, pas de conversion monétaire

maintenir un flux positif d’investissements étrangers et qui disposent aujourd’hui d’une industrie fortement diversifiée (industries alimentaires, métallurgie, chimie, pétrole, textile, etc). Dominée par la présence de quelques grandes entreprises, l’ex-Rhodésie peut fabriquer actuellement une gamme de plus de 6000 produits industriels à des coûts compétitifs. Pourtant, par suite d’une forte dépendance aux intrants importés, en raison du surdimensionnement des unités, de leur inadaptation aux évolutions

particulièrement). Après avoir créé en 1889 la British South African Company, il devient en 1890 1er ministre de la colonie du Cap et s’efforce de soumettre à l’administration de la compagnie le territoire des Matabélés au Nord du Transvaal (dénommé Rhodésie à partir de 1890, sa capitale reçoit le nom de Salisbury en hommage au 1er ministre anglais de l’époque). Il incarne alors l’impérialisme britannique en Afrique à son plus haut degré, sur le plan financier et politique, (comme Kitchener va l’incarner

politique se complique donc d’une donnée « raciale » et les Britannique hésitent à accorder l’indépendance sans avoir de garantir sur l’avenir et les droits de chaque communauté. La création de la Fédération d’Afrique Centrale, regroupant les deux Rhodésie et le Nyassaland (1953), répond à ce souci. Dans son principe, le système politique, avec une assemblée fédérale et trois assemblées territoriales, est fondé sur « l’association des races » et se veut multiracial. Mais les faits, faute d’une représentation