Rhinite

les asthmatiques et les personnes atteintes de bronchites chroniques. A court terme, les polluants peuvent provoquer une inflammation des muqueuses respiratoires, et favoriser l'apparition d'autres pathologies. Les symptômes ressentis sont des rhinites, de la toux, parfois des crises d'asthme. A long terme, la pollution chronique favorise la poursuite de l'inflammation des bronches. Le risque de cancer est rarement évoqué par les autorités, mais il est réel pour certains types de pollution (comme

fréquentes. Il faut y penser si la personne a déjà eu des ennuis cardiaques et si le traitement anti-asthmatique n’est pas efficace.   L’asthme peut-il être associé à d’autres maladies ?     En dehors de la fréquente association entre asthme, rhinite et sinusite, l’asthme peut être associé à d’autres maladies ou en être un des signes : > Le reflux gastro-oesophagien qui se manifeste par des sensations de brûlures dans la poitrine ou de reflux acide en bouche peut constituer un facteur aggravant

signalés *EPI et outillage non isolé *travail sous tension *emploi de machines électriques en milieu humide *présence de poussières *protections collectives insuffisantes (aspiration ...) *réactions de l’organisme (asthme, allergies, toux, rhinite …) *EPI *poste de travail mal éclairé *fatigue visuelle *niveau d’intensité lumineuse faible *sources lumineuses adaptées NON OUI SI OUI SOUVENT SI OUI PAS SOUVENT MODELE 2 METTRE CE SCHEMA LE NIVEAU DE GRAVITE ET LE NIVEAU

dans les situations suivantes : Bouche : maux de bouche aphtes, lèvres gercées, herpès labial, maux de dents, gingivite, désinfection de la brosse à dents, dissoudre le tartre, hallitose (mauvaise haleine) etc. Nez – Oreilles - Visage : Rhume, rhinite, sinusite, pharyngite, toux, enrouement, laryngite, maux d’oreille, hygiène des oreilles, inflammation de l’oreille moyenne, acné, boutons, impuretés de la peau, rasage etc. Cheveux : Shampooing traitant, pellicules, démangeaisons du cuir chevelu

d’histamine par les cellules immunitaires, à l’origine de l’allergie à la source. Ils peuvent être pris par la bouche, le nez, sous forme injectable ou en collyre. Les vasoconstricteurs sont souvent associés aux antihistaminiques dans les cas de rhinite. Ils existent sous forme de comprimés, par voie nasale ou en collyre. Les cromones permettent d’anticiper la réaction allergique au début de l’inflammation. Existe par voie nasale, collyre ou ampoule buvable.(lLOMUDAL) Les corticoïdes (locaux par

isolé*travail sous tension*emploi de machines électriques en milieu humide | | | | | Risques liés aux poussières | *présence de poussières*protections collectives insuffisantes (aspiration ...)*réactions de l’organisme (asthme, allergies, toux, rhinite …)*EPI | | | | | Risques liés à l’éclairage | *poste de travail mal éclairé*fatigue visuelle*niveau d’intensité lumineuse faible*sources lumineuses adaptées | | | | | MODELE 2 METTRE CE SCHEMA EN 2.2 LE NIVEAU DE GRAVITE ET LE NIVEAU

fraction alvéolère 4 Un ( Micromètres ) · Pour la fraction thorasique 10 Un ( Micromètres ) Les effets sur l'homme sont: · Sur la peau: Eczéma, rougeurs. · Sur les yeux: Larmoiements, conjonctivite, gonflements. · Sur les voies respiratoires: Rhinite, éternuements, asthme, toux, bronchite, cancer des bronches et des poumons. Les mesures préventives, il s'agit de priviligier la protection collective ( ventillation générale, captage des poussières à la source ) à la protection individuelle (

traitement d’urgence des manifestations allergiques Le traitement des manifestations allergiques repose sur les antihistaminiques les corticoïdes les bronchodilatateurs et l’adrénaline -Si œdème des lèvres et/ou du visage sans signe d’asphyxie, rhinite, conjonctivite, urticaire généralisé simple : antihistaminique et les corticoïdes par voie orale pendant 2à5 jours -Si bronchospasme aigu : Bronchodilatateurs par voie inhalée 2 bouffées à répéter si besoin -Choc anaphylactique : Adrénaline

voire parfois un choc anaphylactique, peuvent mener un enfant à une situation d’urgence médicale. Pour autant, il n’est pas possible et ne serait pas compris de refuser un élève au seul motif qu’au jour du départ il est sous traitement pour une rhinite allergique saisonnière ou un rhume. Or les PAI étant des processus administratifs lourds, ils s’adressent uniquement à « des enfants atteints de maladie chronique et pour lesquels il paraît souhaitable que l’école apporte son concours aux parents

examen médical « A » a eu quelques régurgitations sans signe de gravité, avec une évolution du tonus normal. Son évolution est normale, poids, taille, périmètre crânien et développement psychomoteur. En janvier 2020, il y a un épisode de toux et de rhinite, il y’a une présence de sibilance traité par Ventoline. En février 2020 « A » a de nouveaux des épisodes de sibilance, encore traité par ventoline. En mars 2020 « A » possède des plaques d’eczéma et une gêne respiratoire. En mai, les parents