Revue de la littérature

particulièrement bien représenté en France (Verlaine, Rimbaud, Mallarmé, etc.) et en Belgique (Verhaeren, Maeterlinck), le symbolisme peut profiter de l'existence de nombreuses revues qui répandent sa nouvelle esthétique : le Symbolisme, la Revue wagnérienne, la Plume, la Revue Blanche, la Pleiade devenue ensuite le Mercure de France. C'est dans ses colonnes que Albert Aurier, en 1891, expose « la doctrine de la nouvelle peinture symboliste» qu'il présente comme «synthétique et décorative ». Le symbolisme

nous diriger vers la littérature : les poètes, les dramaturges, les romanciers, les philosophes et les différents courants littéraires qui ont contribué à l’évolution des Nations. La France est l’exemple le plus intéressant à contempler de près, surtout au 19ème siècle, qui est une époque d’une grande diversité en ce qui concerne les courants littéraires. Le premier est : le réalisme. C’est un mouvement réaliste, apparu en France vers 1850. Ce mouvement consiste, en littérature, à " s'inspirer des

mais représenter les hommes et la société comme ils le sont. (La théorie du mouvement prend forme avec la publication du recueil d'articles de Chamfleury ( le Réalisme 1857) et la création de la revue Le Réalisme en 1856 par Duranty.) Le terme « réalisme» apparaît pour la première fois en 1826 dans la revue « Le mercure de France » b) Définition du naturalisme. Le terme « naturalisme » vient du latin « naturalis » signifiant « naturel ». Le naturalisme est un mouvement littéraire (1865-1890) qui

diffusion. La Recherche en Management : Quoi ? Comment ? Par qui ? Les Différentes Etapes d’une Recherche Une recherche en management comprend les étapes suivantes : 1) Détermination d’un thème de recherche ou d’une problématique 2) Revue de la littérature/état de l’art ou état des connaissances existantes 3) Elaboration d’hypothèses (éventuellement) 4) Collecte de données 5) Analyse des données 6) Présentation des résultats 7) Analyse/Interprétation des résultats 8) Discussion des résultats

De toutes époques, la littérature a marqué la société et en a été le reflet ou plutôt fut-elle l’image des changements à venir. En effet, les artistes ont de tous temps écrit afin de faire bouger la société, de créer un choc dans le but de créer du mouvement, des modifications. Toutefois, chaque changement n’est pas créé de toute pièce, il découle d’autres idéaux, d’autres pensées qui furent modifiées. Ainsi fut-ce le cas pour des mouvements littéraires comme le dadaïsme et le surréalisme. Dans le

Léopold Sédar Senghor, Guy Tirolien et Birago Diop qu’apparaît pour la première fois le terme de Négritude. Le journal l’Etudiant noir est une revue créée par le Sénégalais Léopold Sédar Senghor, le Martiniquais Aimé Césaire et le Guyanais Léon Gontran Damas à Paris où ils étaient alors étudiants. Il y est question de l’identité du noir. Le seul numéro de la revue est paru le 1er septembre 1934. La négritude est un mouvement à la fois littéraire et politique, fondé à Paris par des étudiants noirs des

Léopold Sédar Senghor, Guy Tirolien et Birago Diop qu’apparaît pour la première fois le terme de Négritude. Le journal l’Etudiant noir est une revue créée par le Sénégalais Léopold Sédar Senghor, le Martiniquais Aimé Césaire et le Guyanais Léon Gontran Damas à Paris où ils étaient alors étudiants. Il y est question de l’identité du noir. Le seul numéro de la revue est paru le 1er septembre 1934. La négritude est un mouvement à la fois littéraire et politique, fondé à Paris par des étudiants noirs des

1863, le premier roman de Jules Verne, Cinq semaines en ballon, paraît chez l’éditeur Pierre-Jules Hetzel. A la suite du succès de ce premier roman naît le projet des « Voyages extraordinaires » qui compteront soixante-quatre volumes publiés dans une revue destinée à la jeunesse, « Le Magasin d’éducation et de récréation ». C’est ainsi que paraîtra en 1874, L’Ile mystérieuse, robinsonnade dans la lignée du Robinson Crusoe de Daniel Defoe. L’histoire des cinq naufragés de l’île Lincoln remporte un franc

Le mot « littérature » vient du mot en latin « litteratura » signifiant écriture et pourrait se distinguer de l'ensemble de la production écrite pour son souci esthétique . Mais cet aspect esthétique est-il le seul objectif poursuivi par les écrivains ? A priori , ce n'est pas le cas , puisque Jean-Paul Sartre a pu écrire en 1964 , dans Les mots , que certains auteurs ont pris leur plume pour une épée . Si en effet , certains auteurs produisent une littérature engagée , on peut se demander dans

Revue Acta fabula: La bonne œuvre de François Bon, par Mahigan Lepage. Sur Dominique Viart, François Bon. Étude de l'œuvre, Paris, Éditions Bordas, coll. « Écrivains au présent », 2008. Le fait littéraire, par C. Barbafieri.Sur Emmanuel Fraisse et Bernard Mouralis, Questions générales de littérature, Paris Le Seuil, coll. " Points/Essais-Inédits ", 2001. Le statut de la littérature, par Christine Baron. Sur Jean Bessière, Quel statut pour la littérature ?, Paris