Révolution scientifique

et fondés sur des relations objectives vérifiables [sens restreint] »1. La volonté de la communauté savante, garante des sciences, est de produire des « connaissances scientifiques » à partir de méthodes d'investigation rigoureuses, vérifiables et reproductibles. Quant aux « méthodes scientifiques » et aux « valeurs scientifiques », elles sont à la fois le produit et l'outil de production de ces connaissances et se caractérisent par leur but, qui consiste à permettre de comprendre et d'expliquer

ralisme.pdf http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9alisme_(litt%C3%A9rature) I. Le Réalisme 1) Contexte historique de la formation du réalisme + les auteurs représentatifs Le réalisme est né dans un contexte de découverte scientifiques et suite à la révolution de 1848 qui mit fin aux illusions romantiques de cette époque. Stendhal et Balzac sont dis « les pères du réalisme », ils font partie des premiers écrivains à être influencés par le mouvement réaliste. 2) Qu’est-ce qui intéresse

Spinoza et son èxégèse de l'ancien testament ou encore Leibniz et la monadologie cherchèrent le savoir dans la seule raison. De cette confrontation naitra l'idée libératrice de Kant qui partira de la forme épurée d'une simple question: les vérités scientifiques sont-elles issues de l’expérience, ou bien viennent elles d'ailleurs, d'une structure les précédant? À quoi reconnaît-on que des connaissances rationnelles (mettant en oeuvre des principes inhérents à la raison, qui ne sont donc pas tirés de l'expérience)

la monarchie de juillet sous tous ses aspects. * Tulard Jean. Philippe Vigier. « La monarchie de Juillet », Journal des savants, 1964, vol. 2, n° 1, p. 168(QSJ 1002, BU Albi, Espace multimédia) Cette revue scientifique (le journal des savants est le plus ancien périodique scientifique d’Europe) aborde les grands points de la monarchie de juillet. * NOUSCHI Marc, Petit Atlas historique du XIXe siècle, Paris, A Colin, 2008, 207p (909.81 NOU. BUC Mirail) Ce manuel universitaire aborde de

On peut situer l'origine du progrès scientifique au début de l'Histoire, à partir du moment où l'homme a pu formaliser les connaissances sur des supports écrits (papyrus, parchemin, papier, bases de données informatiques). Dans les grandes civilisations, que ce soit celles issues du christianisme, de l'islam ou d'autres religions, le progrès scientifique était intimement lié à la religion. Il a pris une tournure nouvelle à partir du xviie siècle, lorsque le savant Galilée a été jugé pour hérésie

Guy Debord – La planète malade La « pollution » est aujourd’hui à la mode, exactement de la même manière que la révolution : elle s’empare de toute la vie de la société, et elle est représentée illusoirement dans le spectacle. Elle est bavardage assommant dans une pléthore d’écrits et de discours erronés et mystificateurs, et elle prend tout le monde à la gorge dans les faits. Elle s’expose partout en tant qu’idéologie, et elle gagne du terrain en tant que processus réel. Ces deux mouvements antagonistes

Empire - Bonaparte renforce les acquis de la Révolution (Code Civil et organisation de l'administration). - 1815 à 1848 : Restauration - Louis XVIII et Charles X puis Louis-Philippe ne répondent pas aux attentes du peuple, plongé dans la misère par la société industrielle. - 1848 : Révolution - De nombreux écrivains comme Lamartine et Hugo s'engagent aux côtés du peuple dans la Révolution de 1848. - 1848 : Deuxième République. Société : Révolution Industrielle en Europe entre 1800 et 1850. -

philosophe américain Thomas S. Kuhn dans son œuvre "la structure des révolution scientifiques" oriente sa réflexion sur la notion de paradigmes suggérant l'idée d'une science gouvernée par un ensemble de schémas conceptuels accepté par la communauté scientifique et même la société. Ainsi Kuhn réfute la prétendue neutralité d'une démarche scientifique et conçoit l'action probable d'un certain nombre de présupposés sur la recherche scientifique. Pour lui, l'histoire des sciences se résumerait par une suite

certaines prééminence du discours scientifique sur les discours philosophiques ou religieux. Le discours scientifique a obtenu au fil des années, une plus grande audience voir une plus grande assise dans l'espace social que les autres types de discours. Il paraît fort logique de se demander s'il est fondé d'accorder cette crédibilité au discours scientifique. Dans l'affirmative, qu'est ce qui caractériserait ou favoriserait cette prééminence du discours scientifique par rapport aux discours philosophiques

de toutes considérations marxistes, en dehors de ce socialisme dit scientifique que développent Marx et Engels et qui marque toute la seconde moitié du XIXème siècle. Il faut se pencher alors sur ce qui constitue le socialiste d’avant 1848, sur ce qui caractérise ce socialiste qui est à cette époque majoritairement français, anglais ou allemand, et donc de comprendre ce qui différencie ce socialiste qui n’est pas dit scientifique mais utopique. En effet, être socialiste avant 1848 a un sens, mais