Retable

La première et la deuxième guerre mondiale - Révolution Russe - Début de la république de Chine - Hitler au pouvoir Description de l’œuvre : Le triptyque rappelle la forme des retables de la Renaissance, il évoque une œuvre majeure de la Renaissance appelée: Le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald. (un retable est une construction verticale qui porte des décors sculptés et/ou peints en arrière de la table d'autel). - A gauche du tableau (montrer la partie), on peut voir des soldats qui

plusieurs volets (diptyque, triptyque). | |Retable : | |Sous sa forme la plus rudimentaire, le retable se présente comme un simple panneau rectangulaire placé verticalement en retrait de l'autel. | |Partie postérieure et décorée d'un

la fille du Prophète -, ou une lumière transcendantale) tout en haut du tableau. Otto Dix aussi a été un engagé volontaire et a combattu au front. Son tableau, intitulé « La guerre », a une connotation religieuse par sa forme, qui est celle des retables [3] ; mais le contenu du tableau est sécularisé. Les dessins représentent le côté hideux de la guerre (amoncellement de cadavres qui pourrissent). Le seul élément optimiste dans le tableau d’Otto Dix est une solidarité entre les hommes, représentée

brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. Cette œuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque. Il évoque avec son triptyque une œuvre majeure de la Renaissance : le RETABLE D ISSENHEIM 1513-1515, de Mathias Grünewald REFERENCE AU RETABLE D ISSENHEIM Dans le retable d'Issenheim il est aussi question de mort de souffrance et de résurrection puisque le panneau central est une crucifixion (c'est à dire le Christ sur la croix). GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien

rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. Cette œuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque, rappelle la forme des retables de la Renaissance que le peintre n'a pas choisie par hasard puisqu'il évoque avec son triptyque une œuvre majeure de la Renaissance : Le retable d'Issenheim de Mathias GRÜNEWALD. Dans le retable d'Issenheim, il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion que GRÜNEWALD

ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim II Les éléments plastiques (les moyens utilisés pour réaliser une œuvre) La Guerre est une peinture à l’huile réalisée sur des panneaux de bois (qui sont donc les SUPPORTS) de l’œuvre. Dans le retable d'Issenheim (détails reproduits ci-contre) il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation

marchent dans la brume épaisse comme une armée de fantômes sans visages , sans identité. Au-dessus de leur têtes , le ciel est menaçant . Dans le panneau centrale , en bas à droite , des corps déchiquetés à la peau parsemée de pustules qui renvoie au retable d’Issenheim de Mathias Grünewald . Un cadavre , sur un résidu d’architecture , désigne de son doigt la mort qui s’entassent plus bas . L’arrière plan occupé par la représentation de ruines : restes de maison écroulées ou calcinées , paysage désertique

peinture de Hans Holbein (peintre et graveur allemand du XVIème siècle) : « Le Christ mort », 1521. Soldats morts (pas d’action), tombe collective. Gris coloré, noir, orangé, espace boîte, résultat de la guerre : mort. Le retable d’Issenheim de Mathias Grünwald Dans le retable d'Issenheim il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion. Sens : Otto Dix dénonce la guerre à travers ce tableau : violence, mort, soldats

l’espace DOMENICO VENEZIANO, Retable de Santa Lucia dei Magnoli, v.1445-1450, détrempe sur bois, 209 x 216 cm, Florence, Offices. - La problématique proposée par 1 des étudiants était imprécise et incomplète : elle était : « Comment D. Veneziano a-t-il, dans son œuvre, mis en valeur les différents éléments dans l’espace ? » Il faudrait « inverser » en disant : « Comment les éléments de l’œuvre [mettent-ils en valeur] participent-ils à l’élaboration d’un nouvel espace du retable, la pala unifiée ? Cette

Le Retable de Brera est une image de dévotion plus qu'étonnante. Elle se présente tout d'abord à notre regard sous l'apparence d'un recueil spirituel: le groupe de personnages s'amasse en demi-cercle autour de la Vierge en Prière – nous faisons face –, sur laquelle repose l'Enfant Jésus profondément endormi. D'un point de vue plus technique, nous remarquons que de par les positions frontales des différents sujets, entre autre, Sainte Marie située au centre de la tempera – le point de fuite étant