Reta

– M. Mason le connaît ; M. Eyre a été le correspondant de sa maison pendant quelques années. Quand votre oncle reçut la lettre où vous lui faisiez part de votre union avec M. Rochester, M. Mason se trouvait à Madère, où il s'était arrêté pour le réta- – 465 – blissement de sa santé, avant de retourner à la Jamaïque. M. Eyre lui communiqua votre lettre, parce qu'il savait que M. Mason connaissait un gentleman du nom de Rochester ; M. Mason, étonné et épouvanté, comme vous pouvez le supposer

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coups de fusil, deux hommes tombèrent ; mais cependant la marche de ceux qui restaient debout ne se ralentissait pas. Arrivés au bas du bastion, les ennemis étaient encore douze ou quinze ; une dernière décharge les accueillit, mais ne les ar– 633 – rêta point : ils sautèrent dans le fossé et s’apprêtèrent à escalader la brèche. « Allons, mes amis, dit Athos, finissons-en d’un coup : à la muraille ! à la muraille ! » Et les quatre amis, secondés par Grimaud, se mirent à pousser avec le canon de leurs

coups de fusil, deux hommes tombèrent ; mais cependant la marche de ceux qui restaient debout ne se ralentissait pas. Arrivés au bas du bastion, les ennemis étaient encore douze ou quinze ; une dernière décharge les accueillit, mais ne les ar– 633 – rêta point : ils sautèrent dans le fossé et s’apprêtèrent à escalader la brèche. « Allons, mes amis, dit Athos, finissons-en d’un coup : à la muraille ! à la muraille ! » Et les quatre amis, secondés par Grimaud, se mirent à pousser avec le canon de leurs

coups de fusil, deux hommes tombèrent ; mais cependant la marche de ceux qui restaient debout ne se ralentissait pas. Arrivés au bas du bastion, les ennemis étaient encore douze ou quinze ; une dernière décharge les accueillit, mais ne les ar– 633 – rêta point : ils sautèrent dans le fossé et s’apprêtèrent à escalader la brèche. « Allons, mes amis, dit Athos, finissons-en d’un coup : à la muraille ! à la muraille ! » Et les quatre amis, secondés par Grimaud, se mirent à pousser avec le canon de leurs

coups de fusil, deux hommes tombèrent ; mais cependant la marche de ceux qui restaient debout ne se ralentissait pas. Arrivés au bas du bastion, les ennemis étaient encore douze ou quinze ; une dernière décharge les accueillit, mais ne les ar– 633 – rêta point : ils sautèrent dans le fossé et s’apprêtèrent à escalader la brèche. « Allons, mes amis, dit Athos, finissons-en d’un coup : à la muraille ! à la muraille ! » Et les quatre amis, secondés par Grimaud, se mirent à pousser avec le canon de leurs

coups de fusil, deux hommes tombèrent ; mais cependant la marche de ceux qui restaient debout ne se ralentissait pas. Arrivés au bas du bastion, les ennemis étaient encore douze ou quinze ; une dernière décharge les accueillit, mais ne les ar– 633 – rêta point : ils sautèrent dans le fossé et s’apprêtèrent à escalader la brèche. « Allons, mes amis, dit Athos, finissons-en d’un coup : à la muraille ! à la muraille ! » Et les quatre amis, secondés par Grimaud, se mirent à pousser avec le canon de leurs

fusil, deux hommes tombèrent ; mais cependant la marche de ceux qui restaient debout ne se ralentissait pas. Arrivés au bas du bastion, les ennemis étaient encore douze ou quinze ; une dernière décharge les accueillit, mais ne les ar– 633 – rêta point : ils sautèrent dans le fossé et s’apprêtèrent à escalader la brèche. « Allons, mes amis, dit Athos, finissons-en d’un coup : à la muraille ! à la muraille ! » Et les quatre amis, secondés par Grimaud, se mirent à pousser avec le canon de

coups de fusil, deux hommes tombèrent ; mais cependant la marche de ceux qui restaient debout ne se ralentissait pas. Arrivés au bas du bastion, les ennemis étaient encore douze ou quinze ; une dernière décharge les accueillit, mais ne les ar– 633 – rêta point : ils sautèrent dans le fossé et s’apprêtèrent à escalader la brèche. « Allons, mes amis, dit Athos, finissons-en d’un coup : à la muraille ! à la muraille ! » Et les quatre amis, secondés par Grimaud, se mirent à pousser avec le canon de leurs