Respect Autrui Jugement Philosophie

quelque chose » (Méditations cartésiennes, 1929). C'est l'intentionnalité de la conscience. • C'est aussi en ce sens que Freud dit qu'être normal, c'est « aimer et travailler » (puisque le fou inconscient ne peut établir de vraies relations avec autrui, ni même avec la réalité). • La conscience psychologique est-elle fiable ? On peut voir en elle un principe. Pour René Descartes, la conscience de soi est une certitude échappant au doute (le cogito : je suis, si je pense). C'est la première vérité

organisations, privées ou publiques, et toutes les professions, du bas en haut de la hiérarchie. Elle prend la forme de revendications de salaires, de statuts, mais aussi d’une demande plus générale et plus diffuse qui porte sur la personne elle-même, le « respect » et la dignité que chacun estime dus. Que se cache-t-il donc derrière cette notion de reconnaissance ? De quoi parle-t-on ? Objet insaisissable car multidimensionnel, elle est à la fois individuelle et collective, quotidienne et ritualisée ;

l’horreur, l’indicible, l’impardonnable, le scandale indépassable, l’indésirable, le génocide, l’exploitation, la misère, tout ce qui dans la vie quotidienne altère en chacun l’humanité.  Depuis les hauts accomplissements de la pensée antique, la philosophie enseigne l’unité voire l’identité de l’être et du bien, du réel et du vrai. Or le mal met en question cette unité, arrache le bien à l’effectif. Le monde est autrement qu’il devrait être et cette altérité est le mal.[2]  Le vingtième siècle, époque

des époques et des civilisations. Pour la philosophie occidentale antique, la justice est avant tout une valeur morale. La « justice morale » serait un comportement alliant respect et équité à l'égard d'autrui. Cette attitude, supposée innée dans la conscience humaine serait elle-même à l'origine d'un « sens de la justice », valeur universelle qui rendrait l'être humain apte à évaluer et juger les décisions et les actions, pour lui-même et pour autrui. La justice en tant qu'institution est l'organe

KEMIKBAS Mercredi 12 janvier 2011 Aysegul T.ES Dissertation de philosophie |Note : Observations : | | | |

intellectuelle française, riche en débats et ruptures retentissantes ( avec Raymond Aron, puis avec Albert Camus, deux autres grands intellectuels français du 20ème s.), qui se concentra dans le quartier parisien de Saint-Germain-des–Près. Sa philosophie, l’ Existentialisme, finit même par servir de nom commun pour désigner cette époque si créative d’après-guerre. Politiquement, changé par l’expérience de la guerre et de l’occupation, Sartre s’est engagé à gauche et même à l’extrême gauche, proche

BATT Guillaume Philosophie : Dissertation TS1 Peut-on rire de tout ? Est-ce qu'on peut se permettre un rire universel? A première vue rien ne semble interdire le rire, d’apparence si attirant, toutefois il peut susciter des ressentiments déplaisants et même blessants, prouvant qu’il faut s’en méfier. De ce fait la question qui nous importune finalement le plus au sujet du rire est : Dans quelles conditions peut-on rire de tout ? Le rire est exclusivement réservé à l’homme. L’une

Droit et morale Droit = ensemble des règles obligatoires qui organisent la vie entre les hommes, susceptibles d’être imposées par la contrainte. Morale = principes de jugement et de conduite qui s’imposent à la conscience individuelle ou collective comme fondés sur les impératifs du bien; ensemble de règles, d’obligations, de valeurs. Pour étudier droit et morale, il faut partir de l’acception commune, c’est-à-dire des règles ou des lois du côté du droit et des valeurs plus ou moins communes

Fondement de l’éthique 2014-2015 Introduction A) Quel lien entre l’éthique et le droit ? En une première approximation, l’éthique désigne, à la suite de Paul Ricoeur, « la visée de la vie bonne, avec et pour autrui, dans des institutions justes ». (in Soi-même comme un autre, Paris, Seuil, 1990, p.202). Même sans autres explications, on pressent déjà le lien avec le droit. Qu’il s’agisse de promulguer de nouvelles lois ou qu’il s’agisse d’appliquer la loi, dans les deux cas

dans la mesure où celle-ci nous renvoie à notre vécu et comment nous le vivons...Nous considérons-nous comme des victimes ou des oppresseurs ? Et si oui comment le vivons-nous ? Je me plais à dire que notre environnement est à l'image de notre philosophie (considération toute aussi valable à l'échelle individuelle que communautaire)...car c'est bien le comment nous percevons et concevons les choses qui déterminent notre volonté, force et détermination qui permettront de faire face aux différentes