Requisitoire Contre Don Juan

paysan simple et naïf, qui se laisse (bien) vivre dans sa ferme-auberge avec sa femme. Arrive un homme de la ville qui la séduit. Elle quitte Jean et lui laisse la ferme. Jean échange la ferme contre deux charrettes, une charrette contre l’amitié, la seconde contre un manège, le manège contre une oie, l’oie contre la compagnie des hommes… Il est finalement dépouillé de tout. Commentaire C’est un conte des frères Grimm du même titre qui inspira à Brecht cette pièce qui est très différente de ses

contemporaine en mêlant l’étude littéraire et l’enquête sociale (l. 26 à 29). Dans le deuxième paragraphe du Texte 2, Zola souligne une autre innovation de son roman  : donner une forme littéraire à la langue du peuple (l. 16-19). Évoquant les réactions du public, un chiasme met en valeur cette nouveauté  : La forme seule a effaré. On s’est fâché contre les mots (l. 15-16). La dernière phrase du troisième paragraphe insiste sur la véracité inédite de l’œuvre à travers une personnification de L’Assommoir, le

consiste à accorder l'ensemble des impressions produites. Au cinéma, la musique peut être utilisée à diverses fins. Dans certains cas, elle constitue un fond sonore qui se borne à accompagner l'action du film. Parfois, au contraire, elle contribue à donner à l'œuvre tout entière le rythme d'un ballet, d'un divertissement ou d'une opérette. C'est le cas de Sous les toits de Paris de René Clair ou, plus près de nous, du ciné-ballet West-Side Story et de l'"opérette cinématographique" originale, les Parapluies

tensions. Progrès ne change pas que les hommes, change aussi le lieu de vie, décorations changent, les femmes commencent à aimer le beau. A une certaine époque, l’homme ne se contentait que de ce que la nature offrait. Avec le temps, commence à créer, va donner ensuite le goût de chacun, l’envie d’ acheter et de posséder un tel objet. Modernité va changer la société. Rôle de la femme va changer, elle va se valoriser à travers les créations vestimentaire sou par les bijoux, va être utilisée pour la vente

est prise par les Turcs. Une exposition est organisée le 24 mai, à la Galerie Lebrun, 4 rue du Gros-Chenet63 afin de récolter des fonds pour soutenir leur cause. Delacroix y présente d'abord Le Doge Marino Faliero(Wallace collection de Londres), Don Juan et Un officier tué dans les montagnes, qu'il remplace en juin, par Le Combat du Giaour et d'Hassan et en août, par La Grèce sur les ruines de Missolonghi (Musée des Beaux-Arts de Bordeaux). Il s’agit pour le peintre d’alerter l’opinion publique alors

— Il s'agite en cent façons : — Tout finit par des chansons!») annoncent l'esprit de la Révolution, tout comme le fameux monologue de Figaro, invective contre son noble rival («!Qu'avez-vous fait pour tant de biens!? Vous vous êtes donné la peine de naître et rien de plus!»). En effet, s'il veut encore faire rire, Beaumarchais entend aussi donner à penser : «!en faveur du badinage, faites grâce à la raison!», place-t-il en exergue. La pièce valut à son auteur une popularité extrême, qui diminua cependant

elle se plaît à l’enchaînement de proverbes). C’est une comédie de moeurs aux dialogues étincelants. Originalité : Molière y a mis beaucoup de lui-même, y expose ses propres idées. Il faut même penser que, s’il se déclare alors contre l'émancipation des femmes après avoir défendu, tout au long de son œuvre, leur liberté, il faut presque certainement supposer un grief personnel, une rancune particulière. Au fond, c'était de lui que Molière se moquait, lui qui, après avoir surveillé

il est pris d’une frénésie destructrice. Il est appelé « meurtrier ». On observe une gradation ascendante : on passe de « larron » à « meurtrier ». On en déduit que le tyran est quelqu’un qui ne fait aucun cas de la vie humaine. Il a une attitude contre-nature en violant les enfants du peuple et en se « vautrant dans les sales plaisirs ». C’est un homme dépravé, pervers. Par le terme « luxure », on a une référence aux péchés capitaux. Il se complait sans les plaisirs par le verbe « se vautrer ».

que Binet, sollicité, s'esquiva. Réfugiée chez la mère Rollet dans l'attente, vite déçue, de l'arrivée de Léon, elle eut soudain l'idée de s'adresser à Rodolphe. Elle fut d'abord toute tendresse en retrouvant son premier amant. Mais il ne put lui donner les trois mille francs qu'elle lui demandait : il ne les avait pas. Elle s'emporta et le quitta, bouleversée. Son tourment était tel qu’elle avait des hallucinations. Elle courut chez Homais, y avala de l'arsenic qu’elle prit dans le « capharnaüm »

de positionnement plus ou moins délibérée (elle n’a pas besoin d’être consciente et calculée), qu’elle peut recevoir le nom de posture »10. Dès lors que le terme « posture » apparaît et se substitue à celui d’« image d’au- teur », il convient d’en donner une définition plus étayée. I. 2. La notion de posture La langue française aurait pour la première fois emprunté le terme « posture » à l’italien « pos- tura » vers 1566. Ce terme italien vient lui-même de la forme latine « positura » – dérivée du