Représentations Du Spleen De Baudelaire

bouteille de picrate en diagonale surmontée d'un Charles Baudelaire en frac et chapeau claque en compagnie d'une jeune demoiselle, - une créole de préférence -, le sourire éclatant, le bras serrant la taille de son poète favori et la main levée pour faire "coucou c'est nous !" aux passants ébahis, ravis, épanouis et ruisselants s'il pleut. On pourrait même songer à une campagne jumelée dont le but serait la promotion et du "chasse-spleen" et de l'édition dans la collection de La Bibliothèque de

est présent dans les deux textes. On s’aperçoit finalement que lorsqu’ils expriment leurs souffrances ils ne peuvent le faire sans parler de la mort. A l’inverse de « Spleen » les deux œuvres ne cherchent pas une mise en distance entre l’œuvre et l’auteur, l’utilisation de la première personne le démontre. « Spleen » de Baudelaire lui se veut plus en retrait l’utilisation de la première personne n’est présente qu’à la toute fin et la figure de style imagé semble indiqué finalement que l’auteur cherche

HYMNE A LA BEAUTE DE BAUDELAIRE problématique : comment ce poème exprime-t-il l'admiration du poète pour la Beauté et sa recherche d'une définition ? Plan : I-L'origine et la nature de la Beauté a) recherche de l'origine, un mystère qui s'interroge b) Une oscillation entre le Bien et le Mal c) une nature et des effets contradictoires II) une hymne à la toute puissance de la Beauté a) un pouvoir de fascination b)le rôle dans l'existance du poète c)un hymne d'amour et de mort INTRODUCTION : Charles

de la représentation. La pensée symbolique procède par images et analogues, à la différence de la pensée logique. Pour Platon, les réalités concrètes ne sont que des images des idées pures. En littérature, le mot symbole combine les deux définitions précédentes : comme en religion, il rend une réalité abstraite en une image concrète (allégorie). D'autre part, les mots du symbole littéraire sont des analogies ( ressemblances ) de puissances, de vérités ou de mystères cachés. ( Baudelaire, par

Les Fleurs du mal, Baudelaire, 1857 (2ème section : Tableaux parisiens) LXXXIX - Le Cygne A Victor Hugo ←poème dédié à l’exilé volontaire I 1 2 3 4 Andromaque1, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir où jadis resplendit L'immense majesté de vos douleurs de veuve, Ce Simoïs2 menteur qui par vos pleurs grandit, 5 6 7 8 A fécondé soudain ma mémoire fertile, Comme je traversais le nouveau Carrousel. Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville ←les grands travaux d’Haussmann

Baudelaire : Le Spleen de Paris Tableau synoptique et analyse du recueil Titre | Sujet/Thème | Type de texte | Aspects « poétiques » ou «anti-poétiques» | Difficultés | I. L'Étranger | Un homme, interroge un autre homme « énigma- tique », un étranger et lui pose une série de questions pour savoir qui il aime. | Dialogue entre le questionneur et « l'étranger ». Texte explicatif et dialogué. | C'est un poème car on retrouve des jeux sur les rythmes et

• Le poème en prose pousse plus loin l’identification de la femme aimée et du pays idéal que ne le fait le poème en vers, même si ce dernier l’annonce dès le 6 ème vers : « Au pays qui te ressemble ». • Le poème en prose figurant dans Le Spleen de Paris insiste plus nettement aussi sur le caractère illusoire de cette rêverie poétique. • Problématique : en quoi le pays idéal décrit dans le texte fonctionne-t-il comme une métaphore de l’amour parfait dont rêve le poète ? I/ Une métaphore

séquences des Fleurs du Mal (spleen et idéal-tableau parisiens…). Baudelaire dans un premier temps, nous fait part du réel (l’aube sur le Soleil), d’une sorte de paysage extérieur mais qui va devenir progressivement un paysage intérieur (mental). Le soleil est donc à la fois évidemment le soleil du réel mais aussi ce qu’on va appeler le soleil comme figure du poète. Dans ce poème composé de 2 octains (huitain) et d’un quatrain et écris en alexandrin aux rimes suivit. Baudelaire à partir de ce paysage

l'astre. Ce mouvement vers le haut symbolise l'atteinte de l'idéal. Conclusion partielle : Profusion, richesse, mais équilibre, harmonie (caractéristiques de la beauté de la nature, de la plénitude de l'amour). La statue : Si la première représentation de la beauté est mouvement, la seconde est immobilité ==> altière, noble, déifiée, immortelle, éternelle : colossale Venus, piédestal, immortelle Déesse, immortelle Beauté, Déesse, marbre Transition : le contraste comme rupture => difficulté

cadavérique, le personnage semble avoir été totalement déshumanisé par l’artiste. Silhouette fantomatique tout de noir vêtue qui ondule et flotte dans les airs, est-ce véritablement un être humain à part entière qui est représenté ici ou bien la représentation d’une âme tourmentée, voire, aliénée ? De même, l’expression de stupeur qui habille ses traits fait penser à l’empreinte de la mort qui étend ses longues griffes sur une âme de malheur et lui arrache un cri d’agonie. Deux ombres s'éloignent