Representations Citoyens Européens

et notamment dans les 27 états de l’Union Européenne, parce que l’Europe est une quasi fédération ; elle présente une caractéristique : l’imbrication des ordres juridique. Sur le sol de l’Union Européenne coexiste l’ordre juridique européen et l’ordre juridique des états membre et évidemment il y a des frictions entre les normes Européennes et les normes nationales. Ainsi il existe une difficile conciliation entre le principe de primauté du droit européen et le principe de suprématie des constitutions

d’autres pour obtenir des élus là où ils sont forts, en échange d’un report de voix ailleurs. En revanche, ceux qui ne souscrivent pas d’alliance sont souvent privés de toute représentation. 2 Sénat Les sénateurs sont élus par un collège d’environ cent cinquante mille grands électeurs. Ce système aboutit à une très forte représentation des petites communes rurales au sein du collège des grands électeurs, puisqu’on compte environ trente mille communes de cette nature en France. Le mode de scrutin diffère

Citoyenneté nationale et citoyenneté européenne Selon Jean Monnet, « les nations souveraines du passé ne sont plus le cadre où peuvent se résoudre les problèmes du présent » (J. Monnet, Mémoires, Fayard, Paris 1976). Cependant, on peut dire que pour l’instant, il n’existe pas de citoyenneté indépendante de la citoyenneté nationale : c’est le fait d’être français ou allemand qui confère la citoyenneté européenne. En effet, le traité de Maastricht stipule que « est citoyen de l’Union toute personne ayant

dissert TD2« Le citoyen européen et la démocratie de l’union » Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban déclara lors d’un discours le 26 juillet 2014 ceci: « Nous prenons nos distances avec les dogmes de l’Europe de l’Ouest, nous nous en affranchissons .. » il ajouta par la suite que « la démocratie à l’occidentale (a) fait son temps ». Pour cet ancien premier ministre d’un état membre de l’union la vision de la démocratie communautaire est en désaccord avec celle qu’il souhaite pour son

Politiques « La citoyenneté européenne » Dans un article du journal Le Monde de mai 2008, il est dit « Les Roms, citoyens européens, devenus expulsables ». Ce titre montre alors toute l'ambiguïté qui règne au sein de la citoyenneté européenne. Or l'article 17 du Traité instituant la citoyenneté européenne dispose : « Est citoyen européen toute personne ayant la nationalité d'un État membre. ». Au niveau juridique, la citoyenneté définit l'appartenance d'un citoyen à un État au regard de ses droits

Gouvernance et responsabilité politique L’Union Européenne : un « déficit démocratique » latent ? Table des matières 1. Problématique 3 2. Démocratie et transformation des sociétés 6 I. Démocratie directe versus démocratie représentative 6 II. Les quatre principes des régimes représentatifs 7 3. « Déficit démocratique » et légitimité 10 I. La position de Fritz Scharpf 10 II. Quelle légitimation

secteur public qui n'a plus été caractérisé par le progrès. Les capacités d'intervenir sont moins importantes qu'avant. Les débats le plus vif ne porte plus sur le contrôle des moyens de production, on a pointé une crise des idéologies, mais des citoyens ont été au fil des ans un peu désorientés par une définition mouvante de la carte politique. À partir des 80's s'est développé le vote contestataire, et c'est à partir de là qu'on subit un abstentionnisme structurel. Une autre donnée est les enjeux

En 1992, le traité de Maastricht impose le droit de vote aux élections locales de tout citoyen de l’Union où qu’il réside en Europe. L’argument inspiré de la révolution américaine (no taxation without representation) consistant à dire que « puisque les étrangers payent des impôts, ils doivent pouvoir voter » est totalement fallacieux. En effet, il y a déjà une contrepartie aux impôts, ce sont les diverses prestations dont ils bénéficient (école, sécurité, santé, justice…). Cet argument ne tenant

aujourd’hui l’acte majeur du citoyen. Il constitue, à la fois, l’expression de la souveraineté populaire et la source de la légitimité des gouvernants. Ses finalités, ses fonctions et ses usages ont varié depuis l’Antiquité. Il a pris son sens actuel avec l’avènement des régimes politiques représentatifs : révolutions anglaise, américaine, française. L’individu-citoyen est devenu alors la base de la représentation. Si le principe a été acquis tôt, la réalité du vote-citoyen a demandé de longs combats

Cependant, la spécificité du pouvoir politique dans un régime démocratique tel que le nôtre est que le citoyen français peut choisir celui qui va exercer le pouvoir selon le politique qu’il veut effectuer. (« Le politique » à distinguer de « la politique »*). C’est donc ce privilège qui établit la légitimité légalo-rationnelle de l’Etat. L’abstention est le comportement d’un acteur politique (le citoyen) qui consiste à ne pas participer au vote. Le taux d’abstention est calculé à partir du nombre d’électeurs