Renoncule

a montré ses griffes Et qu'au premier versant boisé Qui ne reflète que frissons S'ouvre l'abîme des hauteurs Quand ta robe s'ouvre à pic Donnant le jour à ton corps tendre Offrant tes seins lustrés soumis Tes seins qui n'ont jamais lutté Renoncules tigrées de plomb Eclipses fatales aux forts Degrés d'hermine sacrifiée Ou quand ton visage se trouble Ce que j'aime dans ton visage c'est l'arrivée D'une lampe ardente en plein jour. La blanche neige(APOLLINAIRE)

qu'elle la disculperait! Se ressaisissant, elle passa à la pièce voisine. Il s'agissait de la chambre, lui apprit le lit deux places impeccablement fait. Du papier à lettre, un pot à crayons, posés sur un bureau blanc orné d'un splendide bouquet de renoncules. Une armoire de bois peinte en rose. Des rideaux presque transparents. Une petite bibliothèque. Une commode renfermant des piles d'habits soigneusement pliés. Difficile d'imaginer l'austère Mme Thabet dans cette chambre charmante, presque le

la fécondation. Les fleurs se doublent rarement par le calice, presque jamais par les étamines. Leur multiplication la plus commune se fait par la corolle. Les exemples les plus fréquents sont dans les fleurs polypétales, comme œillets, anémones, renoncules ; les fleurs monopétales doublent moins communément. Cependant on voit assez souvent des campanules, des primevères auricules, et surtout des jacinthes à fleur double. Ce mot de fleur double ne marque pas dans le nombre des pétales une simple duplication

potassium) sont : Pour l’azote : le purin d’ortie, le purin de consoude, purin de legumineux et tous les fumiers Pour le phosphate : le purin de renoucule, le purin de rumex et tous les fumiers Pour le potassium :le purin de rumex, le purin de renoncule, le purin de plantain, le purin d’ortie, le purin de consoude et tous les fumiers

ainsi que toute la surface de la vallée, depuis la rivière jusqu’aux montagnes qui l’entouraient, étaient tapissées d’un gazon vert-tendre, épais, court, parfaitement égal, et parfumé de vanille, mais si bien étoilé, dans toute son étendue, de renoncules jaunes, de pâquerettes blanches, de violettes pourprées et d’asphodèles d’un rouge de rubis, que sa merveilleuse beauté parlait à nos cœurs, en accents éclatants, de l’amour et de la gloire de Dieu. Et puis, çà et là, parmi ce gazon, s’élançaient

complexe «contrarie» la mesure des décasyllabes, dont le treizième, semblable au premier, relance une lecture indéfinie du poème. Une discordance affecte neuf vers sur treize (les quatre autres formant une sorte de refrain ). «Dahlia, lys, tulipe et renoncule» est en quelque sorte séparé du reste du poème (on note la présence de tirets). L'évocation de ces fleurs qui apporte des précisions au cours de cette longue phrase que constitue le poème, n'est donc pas indispensable et le poème conserve sa logique

CROISSANCE EN ÉPAISSEUR 3.2.3. Notion de pachyte Pas de cambium (Monocotylédone) → Pas de tissus secondaires de conduction Ex. : Asperge Cambium non fonctionnel (Eudicotylédones primitives) → Pas de production de tissus secondaires de conduction Ex. : Renoncule 75 3. CROISSANCE EN ÉPAISSEUR 3.2.3. Notion de pachyte Pas de cambium interfasciculaire (uniquement de l’intrafasciculaire) → Pachyte discontinu Ex. : Clématite Cambium inter- et intrafasciculaire → Pachyte continu Ex. : Sureau 76 3. CROISSANCE

tous les désirs des autres à son gré Sans qu’elle y songe Sa vie aucune vie sinon la vie sa poitrine est sans ombre et son front ne sait pas Que sa chevelure ondulée le berce obstinément. Des mots quels mots noir ou Cévennes Bambou respire et renoncule Parler c’est se servir de ses pieds pour marcher De ses moins pour racler les draps comme un mourant Les yeux ouverts sont sans serrure Sans effort on a la bouche et les oreilles Une tache de sang n’est pas un soleil accablant Ni la pâleur

aérienne (ex : Iris, Anémone, Sceau de Salomon) Tubercule : Tige ou portions de tiges souterraines renflées et gorgées de matières de réserve (ex : Pomme de terre, Renoncule ficaire, Dahlias)) Corme ou faux bulbe : Renflement souterrain de tiges verticales enveloppées d’un petit nombre de feuilles transformées en écailles mines. La majeur partie de l’organe de

Rougeoie et tremble à l’ardent horizon De l’Espérance en flamme qui recule Et s’agrandit ainsi qu’une cloison Mystérieuse où mainte floraison – Dahlia, lys, tulipe et renoncule – S’élance autour d’un treillis, et circule Parmi la maladive exhalaison De parfums lourds et chauds, dont le poison – Dahlia, lys, tulipe et renoncule – Noyant mes sens, mon âme et ma raison Mêle, dans une immense pamoison, Le Souvenir avec le Crépuscule. – 25 – III. – Promenade sentimentale Le couchant dardait