Renaissance de Harlem

s'installèrent en nombre à Washington Heights. Les Noirs venant du Sud du pays se regroupèrent dans les quartiers de Harlem ou de Bedford Stuyvesant qui devinrent dans les années 1940 des ghettos. New York, foyer culturel et sportif d'envergure nationale New York devint également un centre artistique majeur, notamment avec les comédies musicales de Broadway, de Tin Pan Alley et la Renaissance de Harlem. Ce rôle s’amplifia vers la fin des années 1930 avec l’afflux de réfugiés politiques européens, qui comportaient

120 morts. ¾ des victimes sont afro-américaines. Problème = concurrence entre groupes ethniques. Naissance des ghettos. Phénomène qui commence avant 1ère GM (ex : Harlem en 1920). Dans grandes villes du Nord-est (Chicago, Detroit, Harlem), arrivée d’immigrants venus du Sud provoque départ des populations blanches dans ces quartiers. Harlem, pas quartier pauvre à l’origine, quartier résidentiel avec immeubles élégants en brique. Premiers AA arrivés sont de classe moyenne. Entre 1910 et 1920, AA vivent

paséthiopité ou éthiopianité ?  I- Émergence du concept de négritude chez Césaire A Paris, il côtoie d'autres étudiants noirs d'horizons différents et fréquente le salon littéraire de Paulette Nardal. Il découvre ainsi le mouvement de la Renaissance de Harlem et fait la connaissance de Claude McKay. Le jeune Aimé Césaire et son ami guyanais Léon Gontran Damas, qu’il connaît depuis la Martinique, découvrent progressivement une part refoulée de leur identité, la composante africaine, victime de l'aliénation

non seulement de la collaboration entre les Noirs du groupe, mais aussi de l’unité de leur race. Ces inquiétudes ont inspiré la négritude. Les fondateurs de négritude étaient en partie inspirés par leurs rencontres avec les membres de la « Harlem Renaissance », comme beaucoup d’entre eux vivaient en France pour s’échapper au racisme et à la ségrégation aux Etats-Unis. Parmi d’autres, ils ont rencontré les écrivains Langston Hughes et Richard Wright et les musiciens jazz Duke Ellington et Sidney

par ailleurs un centre culturel d'importance mondiale. Ce rôle s’amplifia vers la fin des années 1930 avec l’afflux de réfugiés européens, qui comportaient de nombreux intellectuels, musiciens et artistes. Les quartiers de Greenwich Village et de Harlem devinrent les principaux lieux de création artistique et littéraire. Avec l'Armory Show (1913) puis l'ouverture du Museum of Modern Art (1929), du Whitney Museum of American Art (1931) et du Musée Solomon R. Guggenheim (1937), New York devint l'une

non seulement de la collaboration entre les Noirs du groupe, mais aussi de l’unité de leur race. Ces inquiétudes ont inspiré la négritude. Les fondateurs de négritude étaient en partie inspirés par leurs rencontres avec les membres de la « Harlem Renaissance », comme beaucoup d’entre eux vivaient en France pour s’échapper au racisme et à la ségrégation aux Etats-Unis. Parmi d’autres, ils ont rencontré les écrivains Langston Hughes et Richard Wright et les musiciens jazz Duke Ellington et Sidney

non seulement de la collaboration entre les Noirs du groupe, mais aussi de l’unité de leur race. Ces inquiétudes ont inspiré la négritude. Les fondateurs de négritude étaient en partie inspirés par leurs rencontres avec les membres de la « Harlem Renaissance », comme beaucoup d’entre eux vivaient en France pour s’échapper au racisme et à la ségrégation aux Etats-Unis. Parmi d’autres, ils ont rencontré les écrivains Langston Hughes et Richard Wright et les musiciens jazz Duke Ellington et Sidney

négritude et un anticolonialiste résolu. Concept de négritude A Paris, il côtoie d'autres étudiants noirs d'horizons différents et fréquente le salon littéraire de Paulette Nardal. Il découvre ainsi le mouvement de la Renaissance de Harlem et fait la connaissance de Claude McKay. Le jeune Aimé Césaire et son ami guyanais Léon Gontran Damas, qu’il connaît depuis la Martinique, découvrent progressivement une part refoulée de leur identité. En septembre 1934, C'saire fonde, avec

non seulement de la collaboration entre les Noirs du groupe, mais aussi de l’unité de leur race. Ces inquiétudes ont inspiré la négritude. Les fondateurs de négritude étaient en partie inspirés par leurs rencontres avec les membres de la « Harlem Renaissance », comme beaucoup d’entre eux vivaient en France pour s’échapper au racisme et à la ségrégation aux Etats-Unis. Parmi d’autres, ils ont rencontré les écrivains Langston Hughes et Richard Wright et les musiciens jazz Duke Ellington et Sidney

troubler les charmantes visions, les rêves dorés de cette intelligence obscurcie. Cependant, son activité littéraire souffrait à peine de cet état mental si profondément troublé ; il collaborait au théâtre avec Méry : le Chariot d’Enfant, l’Imagier de Harlem ; il écrivait des romans, des nouvelles : les Faux Sauniers, Lorely, le Roi de Bicêtre, les Filles du feu ; il faisait représenter Misanthropie et Repentir, drame traduit de Kotzebue (Théâtre-Français, 1855), et arrivait, peu à peu à jouir d’une notoriété