Reliquaire

par une perméabilité aux influences extérieures (formules héritées de l’antiquité romaine, importations byzantines), par le retour en force des images cultuelles en trois dimensions à partir du IXè siècle, avec les images de majesté, les statues-reliquaires, le crucifix, qui prélude à l’essor de la statuaire romane, puis gothique. La culture médiévale a su développer un rapport original entre la figure et le fond, la construction de l’espace ne se faisant pas en perspective mais par superposition

monastères . Tout les fondateurs laïques , seront considérés après leur mort comme des saints => ils seront entérrés en dessous . Ils vont devenir un lieu de pélérinage de vénération de saint Le corps ou une partie du corps sera mis dans un reliquaire => donner lieu à des vénérations/ pèlerinages => certains considéré d'avoir des dons sacrés Conclusions : Le monde de clovis plus complexe de ce qu’il parait . Pour comprendre les enjeux , il faut ce mettre dans la peau des gens de l’époque

Léopoldine immensément aimée, donne naissance à un véritable culte, avec constitution de reliques. Le dessin de Madame Hugo représentant sa fille lisant (daté de 1837), souvent présenté dans le salon rouge, en est un exemple : le dessin est devenu un reliquaire façonné par l’écrivain. Le souvenir de la défunte inspire de nombreux poèmes, notamment dans Les Contemplations qui paraîtront en 1856. Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans

monde gothique ne réduit pas les choses à une typologie, il a d’autres priorités. La Renaissance fait l’opposé, il y a un souci de synthèse, une réduction rationnelle. Le gothique tend à idéaliser systématiquement, on le voit notamment dans le reliquaire d’Ugolino Di Vieri. Le Beau est un principe d’harmonie dans l’univers et entre les hommes. Les choses sont potentiellement belles. Si on tend tellement à la Beauté, c’est parce qu’elle est un moyen de redonner une place au spirituel dans le quotidien

silence. NOTES POÉSIES A quelques exceptions près, Rimbaud n'est pour rien dans la publication de ses vers. La majorité de ses poèmes parut, après son départ pour VAfrique ou après sa mort, dans de petites revues, puis en deux éditions: Le Reliquaire (Genonr ceaux, i8gi, avec une préface de Rodolphe Darzens) et Poésies (Vanier, 1895). Pierre Petitfils a étudié la tradition manuscrite de ces pièces (Études rimbaldiennes, 2, igyo). Nous retiendrons ici: le recueil constitué, en octobre 1870, pour

«Voici les reliques que vous devrez mener à Jérusalem. La croix à double traverse qui contient des morceaux de la croix du Christ, le livre des miracle de sainte Foy, le A de Charlemagne, le reliquaire de Saint Pierre, le reliquaire monstrance, le bras reliquaire de Saint Georges et bien évidemment la statue reliquaire de Sainte Foy. Tous ces objets ont une valeur inestimable. Ils sont l'histoire de notre Seigneur et de tous ceux qui ont souffert en son nom.» La torche donnait à ces merveilles en or, argent

côté de la porte d’entrée de la maison. On le touche avant d’entrer. Doc. 2. … au Nouveau Testament Panneau de coffret en ivoire réalisé vers 420. Londres, British Museum. Il s’agit de l’un des quatre panneaux d’un coffret, peut-être d’un reliquaire. L’auteur est anonyme. La crucifixion n’est représentée de manière narrative qu’à la fin de la période antique. Cet ivoire est donc précurseur d’un genre qui fut extrêmement prisé à partir du Moyen Âge. Le personnage principal est le Christ en croix

>1248 Elle constitue un chef-d’œuvre du Gothique rayonnant. Si sa superficie intérieure est celle d’une petite église, la largeur du vaisseau est unique et comparable à la nef de la cathédrale de Laon. L’ensemble est conçu comme une châsse reliquaire et entièrement vitré. L’impression d’élégance ressort de la hardiesse de l’architecture et de la suppression quasi totale des murs au niveau des fenêtres de la chapelle haute. L’ensemble des sculptures et des vitraux est tout à fait exceptionnel

bois sculpté et doré du XVIème siècle a été conservé. A la croisée du transept se trouve l'autel papal et son baldaquin du XIVème siècle. Cet autel gothique est réservé au Pape. Le baldaquin est supporté par des colonnes et contient deux bustes reliquaires avec les crânes de Saint Paul et de Saint Pierre. Le transept de Saint Jean de Latran a gardé une grande partie de sa décoration du XVIème siècle avec des fresques présentant entre autre la fondation de la basilique. L'abside est décorée d'une

Jeanne à constituer le sien. La jeune fille se voue donc très tôt au ressassement des souvenirs et cette tentation s'accentuera. Peu avant le déménagement des Peuples à Batteville, Jeanne monte, un jour, au grenier, qui est pour elle surtout un reliquaire : « [Certains] vieux petits objets insignifiants [...] dont elle se rappelait parfaitement les places aux premiers temps de son arrivée, prenaient une importance soudaine de témoins oubliés, d'amis retrouvés. Ils lui faisaient l'effet de ces gens