Relations Personnages Britannicus

autour du fleuve. Il n'y a plus de récit. Cette idée que la peinture ou que l'écriture picturale survient sur fond d'absence s'entrevoit aussi quand Marin Marais et Sainte-Colombe au chapitre XII reviennent de chez Baugin. Ils entendent des vers de Britannicus de Racine, précisément l'extrait de la tirade de Néron sur Junie extraite de l'acte II, scène 2. Cet extrait rappelle la beauté de Junie, or nous remarquons que nous avons affaire ici à une véritable hypotypose, Junie devient peinture : elle apparaît

donc descendant de Vénus et d’Arès (Venus Gemetrix). On lui reprocha sa relation passive avec Nicomède, roi de Bithynie (notamment ses soldats lors de son triomphe, qualifié de « convicium » et par Catulle qui dénonce sa relation avec Mentula (quéquette) et il les surnomme les lopettes). Après être battu à Phrasale, Pompée part en Egypte et se fait tuer par le pharaon, César en pleure (dépit, chagrin ?) et commence sa relation avec Cléopâtre épouse de son frère pharaon et conquière l’Egypte. À son

l’Eglise, au porche puis dans la rue. « Théâtre en rond » : structure souple partagée en plusieurs « mansions », c'est-à-dire plusieurs lieux (pancartes explicatives : paradis, enfer, monde…) Les « mystères » deviennent « moralités » : personnages sont figures de la Bible, représentations allégoriques. A la longue : histoire sainte dans son ensemble (de la création du monde à la Passion et la Résurrection) 2. La pépinière arrageoise Théâtre constitue

par Natacha Cerf Une saison blanche et sèche André Brink Fiche de lecture Document rédigé par Natacha Cerf maitre en philosophie (Université libre de Bruxelles) Une saison blanche et sèche André Brink lePetitLittéraire.fr RÉSUMÉ ÉTUDE DES PERSONNAGES 7 12 Ben Du Toit Gordon Ngubene Emily Susan Suzette Stanley CLÉS DE LECTURE 15 Le contexte historique Un roman engagé Deux mondes séparés La thématique de la solitude PISTES DE RÉFLEXION 24 POUR ALLER PLUS LOIN 25 André Brink Professeur

ayant avec lui une relation logique. Entre autres, la métonymie permet de prendre : le contenant pour le contenu « Boire une bonne bouteille, manger un plat délicat » la cause pour l’effet « avoir une belle main », par exemple, pour dire avoir une belle écriture l’effet pour la cause « boire la mort (le poison), avoir la mort dans l’âme (un chagrin mortel) » le lieu pour ses habitants « Rome à ne vous plus voir m’a-t-elle condamnée ? » ? Rome = les Romains – Racine, Britannicus la matière pour

Georges ZARAGOZA Professeur de littérature comparée Président du jury d’agrégation externe de lettres modernes   6   Première composition française Alain Robbe-Grillet écrit : « Comme il n’y avait pas, dans nos livres, de « personnages » au sens traditionnel du terme, on en a conclu, un peu hâtivement, qu’on n’y rencontrait pas d’hommes du tout. C’était bien mal les lire. L’homme y est présent à chaque page, à chaque ligne, à chaque mot. Même si l’on y trouve beaucoup d’objets

ridicule, emprunte de l’argent à son éternel rival, le Dottore (Docteur). Molière a mêlé ces deux personnages, s’inspirant sans doute de La Belle Plaideuse de Boisrobert (1655) pour la rencontre du fils et du père usurier, il a ajouté sur la « lésine » des anecdotes qui formaient une sorte de saga burlesque d’origine italienne (Acte III, scène 1), il a tiré de La Dame d’intrigue de Chappuzeau (1663) le personnage de Ruffine (devenue Frosine). Tous ces éléments sont mis en œuvre dans une perspective de jeu

D’un côté, une ligne qui rassemble les personnages par un jeu complexe de lignes courbes. De l’autre, la tension entre Minerve qui repousse de son bras le guerrier et Mars qui résiste en se tournant vers le groupe qui lui échappe. 3. Les coloris les plus clairs, blancheurs soyeuses des chairs, assombries pour le satyre, font du camp de la paix le camp de la lumière. Ces blancheurs sont rehaussées par les couleurs lumineuses des étoffes qui drapent trois personnages féminins : le bleu, le rouge et le

l’Est, symbole de la mise en place d’un Etat moderne, s’est imposée aux dépends des coutumes de l’Ouest. L’un des films les plus représentatifs de ce période transitoire est assurément L’homme qui tua Liberty Valance de John Ford (1962). Les trois personnages incarnent les trois âges de l’histoire de l’Ouest : Liberty Valance (Lee Marvin) représente l’Ouest primitif à la sauvagerie débridée, Tom Doniphon (John Wayne) l’Ouest mythique des coutumes et des valeurs morales, et Ransom Stoddard (James Stewart)

semblent être autant de moments où le poète échappe au spleen qui le guette. Concentré de la femme baudelairienne, cette inconnue fait écho aux autres figures féminines qui parcourent les Fleurs du mal, mais ici le côté fatal est gommé au profit d’une relation salvatrice qu’on ne retrouve ni dans le « Poison », ni dans le « Vampire ». C’est d’ailleurs plutôt vers des poèmes tels que « la chevelure » qu’il faut se tourner pour retrouver le plaisir sensuel du poète. [...] [...] b) L’ambivalence : On retrouve