Relation Maitre Valet

utilise la comédie afin de faire une satire de la société française. II / Thèmes , thèses, intention de l'auteur, conclu Dans cette comédie l’un des thèmes principaux est la relation maître/valet qui revient souvent dans les pièces de théâtre. Arlequin fait l'expérience d'un statut de dominant en devenant le maître d'Iphicrate. Arlequin refuse désormais d'obéir à Iphicrate et lui promet l'épreuve de souffrance et d'humilité. Cette inversion des pouvoirs constitue le nœud dramatique de la pièce

raison du départ précipité de Dom Juan, alors qu’il l’a fait sortir d’un couvent pour l’épouser. Sganarelle, valet vantard de Dom Juan, donne une première ébauche du personnage en lui apprenant qu’un « mariage ne lui coute rien à contracter », et qu’« un grand seigneur méchant homme est une terrible chose ».  Nous pouvons donc nous demander quel portrait Sganarelle donne-t-il de son maitre et indirectement le sien. Dans un premier plan nous allons traiter le portrait de Dom Juan que fait Sganarelle

Beaumarchais : « La plus badine des intrigues. Un grand seigneur espagnol, amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu, que son rang, sa fortune […], rendent tout-puissant pour l’accomplir ». L'originalité et l'intérêt de la pièce sont ailleurs, dans la critique des abus de l'époque. L'intrigue masque les messages sociaux dans un mouvement de débauche, de

de son maître. De quelle manière, la relation entre Sganarelle et Dom Juan tourne t-elle au comique ?, et comment Dom Juan se décrit-il en tant qu'hypocrite ? Dans notre extrait, (acte 5, scène 2) nous allons donc, dans un premier temps observer la relation comique qui se joue entre le valet Sganarelle et son maître Don Juan. Puis nous étudierons le portrait d'un hypocrite. A l'annonce de Dom Juan à son père dans la scène 1, Sganarelle surpris et heureux de la conversion de son maître, laisse

chevalier, et qu’il s’exprime comme un associé (notre probité) et non comme un simple valet : sa réplique permet de comprendre par avance certains enjeux dramaturgiques de la sc. 9. L’ironie est inséparable du jeu de scène des deux personnages qui sont laissés seuls dans l’antichambre : ils peuvent donc parler librement, sans déguiser leurs pensées. L’ironie de Frontin met ainsi à jour les mobiles de son maître. Trois moments ponctuent cette courte scène, avec un crescendo sur le second temps

pièce nous est révélée : Dubois se propose d’aider Dorante, son ancien maître, dans sa conquête amoureuse d’Araminte. Dorante doute de la réussite de l’entreprise car « Cette femme-ci a un rang dans le monde » et il questionne Dubois : « et tu crois qu’elle fera attention à moi, que je l’épouserai, moi qui ne suis rien, moi qui n’ai point de bien ? ». Dubois, héritier du valet machiniste de la comédie traditionnelle, rassure son maître en lui affirmant que leur « affaire est infaillible, absolument infaillible »

d’un duel. « L’appartement de Don Juan » est le lieu utilisé pour l’acte IV pour finir le dernier acte de la pièce se déroule dans « une campagne, non loin de la ville » II. Les personnages 1) Don Juan est un personnage infidèle, Sganarelle, son valet, dit qu’il est « un épouseur à toutes les mains » acte I scène 2 et qu’« il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui » acte 1, scène 1 autrement dit que toutes les femmes lui conviennent. Don Juan estime que rester fidèle c’est comme

pièce de théâtre : les noms des personnages précèdent leurs paroles qui ne sont donc pas intégrées dans le récit comme il est d’usage dans un roman. Quant à ces personnages, nous n’en saurons que bien peu : l’un s’appelle Jacques, l’autre est son maître mais le narrateur refuse de nous en dire davantage. C’est une autre particularité de cet incipit. Le narrateur-auteur ne cesse d’intervenir non seulement pour commenter l’action mais surtout pour commenter l’écriture d’un roman en train de s’écrire

dévots qui est elle aussi très mal perçue et interdite. Molière se censure lui-même avec Dom Juan, il a coupé des parties. DJ est un libertin qui ne cherche qu’à mener son entreprise amoureuse et rejeter la religion, ainsi que de la morale devant son valet Sg, son père, Dom Louis, le sermonne, en vain. Il drague les femmes et nargue ses victimes (leur promet le mariage et part).   PROBLEMATIQUE : QUELLES FONCTIONS CETTE SCENE REMPLIT-ELLE ? OU COMMENT DANS CETTE SCENE MOLIERE FAIT-IL APPARAITRE LE

 c'est l'apogée de l'acte, quatre personnages sont en scène, le  gouverneur de l'île est parti. Que va t­il se passer ? Sur 48 répliques, 23 sont attribués à Cléanthis, 24 à Arlequin, et aucune à Euphrosine. Domination des valets, les valets ont le droit à la parole, ils ont donc le pouvoir sur leur maître. Les femmes parlent moins que les hommes. Il y a une différence d'une réplique entre Arlequin et Cléanthis est entre Iphicrate et Euphrosine. Marivaux fait paraître son caractère misogyne (contre les femmes)