Registre Pour Dénoncer Une Injustice

révèle une partie de lui-même dans son oeuvre, il fait partager ses sentiments. Elle sert souvent l'expression d'un "moi" intérieur. Le lyrisme I ] La poésie est un moyen pour le poète d'extérioriser ses sentiments, notamment par le biais du registre lyrique. Elle lui permet d'exprimer l'authenticité de ses émotions, de sa sensibilité, de son intimité. Le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème

dans les fables de La Fontaine. L'auteur d'une histoire peut aussi varier les registres. L'auteur peut composer son histoire et ses personnages selon ses visées pour mieux diriger la réflexion du lecteur. Il peut adapter des situations, des événements et des personnages pour les mettre au service de la dénonciation ou du plaidoyer, pour apitoyer de façon pathétique comme Fantine dans Les Misérables ou pour mieux dénoncer comme Javert dans Les Misérables, ou encore pour faire rire comme avec le pamphlet

peut aussi varier les registres : dans le corpus, le dessin de Plantu est humoristique ; le discours d’Hector a des accents lyriques, épiques et par endroits pathétiques L’auteur peut composer son histoire et ses personnages selon ses visées pour mieux diriger la réflexion du lecteur. Il peut adapter situations, événements et personnages pour les mettre au service de la dénonciation ou du plaidoyer, pour apitoyer (pathétique : Fantine dans Les Misérables) ou pour mieux dénoncer (Javert dans Les Misérables)

Elles sont toute deux jouées en V actes mais sont écrites différement, Molière étant plus respectueux des conventions, écrivait en vers alors que Beaumarchais en prose.La règle des 3 unités est respectée dans les deux oeuvres.La comédie est formé de registre comique: comique de langage, de geste,caractère et de situation.Dans la pièce de moliere le comique de langage est essentiellement mis en place par les deux servants -Alain et Georgette- "La femme est justement le potage de l'homme"Actes III scène

pieds. »Ces deux propositions mettent en lien les « avantages » (beauté, amabilité), terme qui valorise les attributs féminins et l’hyperbole « cent fortunes » + image de la soumission des hommes face aux charmes de la femme « à ses pieds » donc elle dénonce ici un état qui ravale la femme à un statut proche de celui de la prostituée qui se donne en échange d’avantages financiers. La femme, dénuée de toute indépendance financière, en est donc réduite à cette triste extrémité : se comporter immoralement

raison et l’intelligence du destinataire. Le registre didactique est souvent employé (? fiche 6). B Persuader Persuader, c’est jouer sur la sensibilité et les sentiments du destinataire. Aime-t-il rire de son adversaire, s’en moquer ? Quel est son système de valeurs ? Il s’agit de trouver ce qui pourrait lui plaire, ou au contraire le choquer, de manière à obtenir son adhésion. Ici on déploie tout l’art de la rhétorique et on joue sur divers registres (? fiche 6). C Délibérer • Délibérer, c’est

davantage aux yeux du comte. Le conte qui ne veut pas être vu, se précipite à son tour derrière le fauteuil. C’est une situation typique de la comédie où des personnages se dissimulent dans des cachettes inattendues. Il y a d’autres procédés comiques du registre populaire; on donne et on reçoit beaucoup de gifles qui retentissent sur la joue d’un personnage autre que celui à qui elle était destinée. On trouve dans l’acte V un grand nombre de quiproquos qui provoque le rire, comme lorsque le comte prend sa

inquiétude, quelque chose qui trouble la société. Il s’agit d’un registre dramatique voir tragique, les deux premières rimes son « fureur, terreur » ces mots en fin de vers sont associés à la terre dernier mot du 3eme vers. Les allitérations en R accentuent cette impression de fatalité, de dureté « fureur, terreur, guerre, terre ». Ce mal est la peste « un mal qui... Mal que… » (Puisqu’il faut l’appeler par son nom) l’auteur dénonce la paraphrase qui insiste sur ce mal. Hyperbole « capable d’enrichir

ornée de candélabres, de fleurs, de guirlandes… Préparée pour donner la fête La Comtesse veut piéger son mari. Suzanne rédige un billet destiné au Comte. Antonio découvre Chérubin déguisé en fille. Comtesse avoue qu’il était chez elle. Fanchette dénonce libertinage du Comte et lui demande Chérubin en mariage (évite Comte puni Chérubin). Chérubin avoue avoir sauté par la fenêtre. Figaro dit qu’ils ont sauté tous les deux. Le mariage est célébre (IV,9) Comte pense qu’il retrouvera Suzanne après

évidence la critique de Diderot des institutions religieuses. Diderot cherche dans ce récit à émouvoir le lecteur. Il crée ainsi cette compassion du lecteur par les discours narratif et descriptif, le point de vue interne, et la présence du registre pathétique. La religieuse est un texte narratif divisé en deux parties. La première est constituée de deux phrases au passe « je devins »l1, « je sentis » l1, qui introduisent un texte accusateur au présent de narration. Ce présent