Registre paroissial

 L’organisation du texte argumentatif І- Les marques énonciatives. 1. Les pronoms personnels. L’argumentateur peut s’exprimer directement à travers la 1ère pers. «je» comme il peut s’associer aux gens qui partagent son opinion à travers le pronom personnel «nous».De même, il peut s’exprimer indirectement à travers le pronom «on» qui peut l’impliquer ou qui désigne les tenants de la thèse adverse. 2. Les marques de subjectivité de l’énonciateur. a) les modalités de la phrase. Les phrases

romains lié à leur absence de moralité. -   Capable de critiquer Rome : Il critique le fonctionnement de la vie à Rome avec un regard critique et distancé. -    Capable de prendre de la hauteur mais il souffre pour son peuple : (vers 50 & 66) 2) Le registre pathétique -    Souffrance exprimée à travers les champs lexicaux ; inégalité des rapports de force : innocence, simplicité, souffrance. -    Personnification ver 33. -    Allitération en [r] ver 56. -    Multiplication des questions rhétoriques

efficace. Plan I) Argumentation directe 1- Lecteur confronté directement aux idées, touché par implication de soi, subjectivité, enthousiasme. 2- Impression de clarté (arguments rationnels, facilement "décryptables", convaincre) 3- Les registres appropriés (polémique, satirique, voir lyrique etc...) Transition La stratégie directe a bien des vertus : le lecteur touché dans sa raison et ses sentiments par la force de conviction ou de persuasion adhèrera aux idées de l’auteur. Cependant

"Accroupis sous les dents d'une machine sombre". Pour attirer l'attention du lecteur Victor Hugo utilise l'anaphore " jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue" vers 11 ou encore "tout est d'airain ,tout est de fer" vers 10. Victor Hugo a utilisé le registre pathétique car on remarque le réalisme on retrouve les champs lexicaux de la souffrance et de la tristesse. La ponctuation très expressive du texte est déterminante. Les premiers alexandrins nous plongent dans l’étonnement du spectateur, étonnement

« Tu nous l’avais donné, pêcheur céleste » en parlant du bonheur (l. 21-22), « cette route céleste, qui nous aurait conduits à toi dans un baiser » (l. 26-27). L’auteur donne à travers la réplique de Perdican sa vision de la vie humaine dans un registre lyrique : sentiments (« la vanité », « la colère » à la l. 26), interjections exclamatives (« Hélas ! » à la l. 19, « Ô mon Dieu ! » à la l. 20-21, « Ô insensés ! » à la l. 28), nature (« un vent funeste » à la l. 19, « une perle si rare dans cet

dangers de l'alcool III) Compléter un tableau d'analyse pour justifier les titres de 2 axes trouvés Citations Procédés d'écriture Interprétation « aristo » (l.7) « mufes » (l.12) « tonnerre de dieux » (l.58) « un fichu grelot » (l.64) Registre de langue familier et argot Le texte est ainsi proche de le façon de parler des ouvriers Parisiens de le fin du XIXe siècle. Le lecteur a l'impression d'entendre dans le bar et d'entendre les conversations des clients. l.58-63 Discours indirect

Séance ... : EXPRESSION ÉCRITE : Réviser la narration, la description et le dialogue dam le récit SUJET 1 : Rédiger la suite d'un récit  Lisez le texte de Maupassant ci-dessous puis imaginez comment la nouvelle pourrait se poursuivre et se terminer. Quand j'entrai dans la salle des voyageurs de la gare de Loubain, mon premier regard fut pour l'horloge. J'avais à attendre deux heures dix minutes l'express de Paris. Je me sentis las soudain comme après dix lieues à pieds ; puis je regardai

messages exprimés par la parole. Il est préférable d’utiliser le même registre de langue que son interlocuteur pour une bonne compréhension du message. Les principaux registres sont : REGISTRE FAMILIER : Le locuteur (celui qui parle) utilise des mots et expressions populaires ou l’argot par exemple. REGISTRE COURANT C’est le langage usuel le locuteur utilise du vocabulaire simple et des phrases correctes. REGISTRE SOUTENU Il correspond au langage littéraire dont le vocabulaire

long du poème : « « captives » déjà cité, « guet-apens », « fatals nœuds » v.10. Paradoxe une nouvelle fois quand on sait que l’araignée utilise sa toile pour prendre au piège ses proies, et que l’ortie piège le promeneur au moindre contact. Registre tragique. Créatures placées sous le joug de la fatalité (v.10) qui les condamne à ne pouvoir s’échapper des regards sombres qui se posent sur elles. « pour peu qu’on leur jette un œil moins superbe » v.25. Ne peuvent échapper à la haine : v.2 + vers

plus que les os"(v1) puis il marque la privation qu'il ressent grâce a une énonciation de quatre adjectifs commençant par "dé" : "Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé"(v2). Il n'hésite pas a exposer clairement la déchéance de son corps usant du registre tragique mais aussi de champs lexicaux tel que celui de l'anatomie : "os"(v1), "bras"(v4), "oeil"(v7), "corps"(v8), "face"(v11), "yeux"(v12). Au vers 3 on peut relever une personnification de la mort "Que le trait de la mort sans pardon a frappé"(v3)