Registre Mithridate

de l’ambiguïté : explication rationnelle : l’enfant a une malformation de naissance et il s’est fait kidnapper. Absence d’explication : l’enfant est le fils du diable, celui là hante ses parents et à enlever l’enfant. Le texte s’inscrit dans le registre fantastique car il possède toutes les caractéristiques requises dont l’ancrage dans un monde réel, c’est-à-dire des élements du réel comme « habitants de Paris » l1, « Luxembourg », l3 « Jean de la lune » l5, « Benoit XIII » l5, « les historiens »

fatal, la terreur ( pour soi-même) et pitié pour les personnes, La fonction morale = le spectateur éprouve des sentiments, 3 unités : de temps ( 1 seule journée), de lieu (1 seul lieu), d'action (1 action principale), Expression de la douleur ( registre pathétique). Le poids de la fatalité et du destin des personnages prisonniers de leur existence l'impossible alliance entre raison et passion : En effet, au fil de leurs rendez-vous, on se rend compte que la passion entre

Le choix de la première personne permet de conférer un registre pathétique à l'évocation. Le narrateur donne surtout la parole à la victime pour plus de retentissement affectif sur le lecteur. De plus, le Nègre dit souvent « nous », soulignant ainsi son appartenance à une communauté souffrante dont il est solidaire. En fait, Voltaire est derrière son personnage : la tonalité change à partir de « cependant, lorsque ma mère... ». Le registre gagne en pathétique et l'analyse de la situation devient

Le registre tragique présente des personnages hors du commun aux destins marqués par la fatalité, montrant une solution sans issue qui repose sur l'intervention d'une force supérieur ou sur l'emprise d'une passion. En effet, Zola, dans son célèbre roman La Bête humaine, de la série des Rougons-Macquart, publié en 1890, met en scène un personnage tragique, d'une famille type, victime de forces qui le dépassent contre lesquelles il ne peut pas lutter. Celui-ci tient une relation amoureuse avec Séverine

passage est sublimé par la personnification des éléments "cymbales du soleil", et par le champ lexical du châtiment "céder; détruire; malheur". Enfin, la révolte contre les paroles d'espoir et de quiétude de l'aumônier, que Meursault n'accepte pas. Le registre tragique y apparait par la notion de la mort, le champ lexical de la colère "larmes; crier" puis dans un second temps l'apaisement, le champ lexical du calme "paix; espoir". Néanmoins, Meursault n'en porte pas d'importance et préfère musarder "c'est

maudit » ainsi que le terme « opprobre » (= grande honte, déshonneur). II- La pitié que ces enfants inspirent. Dès le premier vers du poème, Hugo emploie une modalité interrogative. Il souhaite interpeller le lecteur grâce au registre pathétique du poème. Il met en opposition sous la forme d’une antithèse « tous » et pas « un seul ». En fait tous ces enfants devraient rire. Il suscite l’intérêt du lecteur. Victor Hugo décrit avec réalisme l’état physique des enfants. Il insiste

Esclaves de Marivaux, les valets ont de véritables revendications sociales, ils veulent être reconnus, sur un plan moraliste, pas politique, ils ne veulent pas devenir maîtres. 2) Les variations des différentes formes comiques Le comique : un registre littéraire qui consiste à provoquer le rire grâce à divers procédés. Différentes formes de comique : - Comique de caractère d’un personnage : comique qui réside dans la personnalité, les manières, le phrasé, les défauts et les manies du personnage

Les questions rhétoriques ligne 13 à 15 font progresser le développement et réfléchir le lecteur. Elles soulignent l’indignation de l’auteur    B. il associe la torture à un acte de cruauté Nous retrouvons le champ lexical de la douleur Le registre pathétique insiste sur la douleur L 13-14 anaphore « que » insiste sur la douleur et la cruauté L 14-15 une souffrance infligée sans véritable motif    II.    Montaigne remet en cause le système judiciaire.  A. il met en avant l’inutilité de

Dom Juan est une pièce de théâtre écrite en 1665, écrit par le dramaturge Molière, à l’époque classique. Bien qu’il s’agisse d’une œuvre de registre tragique, de nombreux aspects y relève de la comédie. Le passage que nous avons à étudier, une tirade (acte IV, scène 4), est cependant, de registre tragique. Dom Juan y est confronté à son père, Dom Louis, moralisateur, qui vient lui rappeler quelle devrait être ses valeurs aristocratique. Dom Louis furieux et honteux, après qu’on lui ait rapporté les

véritable victime car il finit comme Phèdre, mort et pardonné mais lui n’a fait que aimé Aricie alors que Phèdre l’a fait bannir. Dans cette pièce, Racine utilise de nombreux registres mais les plus présent sont : le registre pathétique, comme le montre le ver 273 : "je le vis, je rougis, je pâlis a sa vue" et aussi le registre tragique comme il l’est dit dans le vers 306 : "C’est Vénus toute entière à sa proie attachée" il est ici fait allusion au destin des dieux.